Adam Smith Et Mercantilistes

siècle, d'expliquer, voire de justifier les échanges internationaux. L'apport des théories du commerce international au développement de ces échanges est indéniable. A. Fondements théoriques : 1) Les mercantilistes : Il n'existe pas, à proprement parler, de courant de pensée mercantiliste. On regroupe sous ce vocable des analyses qui ont tenté de conjuguer enrichissement des marchands et puissance politique de l'État. Si l'on se réfère aux politiques mises en œuvre par les différentes nations

classique, néo keynésien post marxiste) tTrois paradigmes (théorie de référence) ont lieu d'être étudier: La theorie classique et neo classique la théorie keynésienne la théorie marxiste Par convention, on considère qu'Adam smith est la source de la pensée économique dans son ouvrage intitulé: « Recherches sur les causes et la nature de la richesses des nations » paru en 1776. mais on peut faire remonter la réflexion économique bcp plus loin ds le temps La réflexion eco apparaît

ses activités commerciales et financières. Les valeurs guerrières traditionnelles de la société féodale s’effritent. Ce contexte est propice à l’apparition de la théorie du libéralisme économique dont les plus célèbres représentants sont Locke, Smith ou Montesquieu. Cette théorie économique applique les principes du libéralisme (refus de l’absolutisme, souveraineté du peuple, valorisation des individus et de ses libertés et neutralité de l’Etat par rapport aux opinions religieuses et aux conceptions

instruments de protectionnisme. 1° Les barrières tarifaires. 2° Les barrières non tarifaires. 3° Les règlements administratifs *Analyse théorique d’un nouveau protectionnisme *PROTECTIONNISME OU LIBRE-ECHANGE ? *La théorie des avantages absolus d’Adam Smith. *La théorie des avantages comparatifs de David Ricardo (1772-1823) *Le théorème HOS. Définition - Le protectionnisme - Le protectionnisme est une doctrine défendue par certains économistes, qui propose de protéger la production nationale de la concurrence

leur activité se développe plus ils s'enrichissent, plus ce sera facile pour le roi de prélever l'impôt. Ici, l'intérêt du souverain et des commerçants se rejoignent. Par le biais de la fiscalité, on va pouvoir s'assure un revenu. Pour les Mercantilistes, le commerce international est considéré comme « un jeu à somme nulle », c'est un jeu dans lequel ce qui est gagné par les uns est perdu par les autres (dans ceux qui participent). En d'autres termes, il ne peut y avoir des gagnants que parce

qui a dominé historiquement sont les pratiques protectionniste. Les théories traditionnelles du commerce international A. Analyses de Adam Smith et David Ricardo (18eme) Les analyses de ces deux auteurs sont à l'origine du commerce internationale, elles s'opposent au courant mercantiliste du 16eme siècle qui propose plus du protectionnisme. Smith montre que le LE est facteur d'enrichissement pour les nations qui participent au commerce internationale. Chaque nation doit se spécialiser

Compétitivité-prix -> compétitivité-hors prix -> compétitivité informationnelle La mobilité des biens commence en 1876. Le premier économiste qui s’occupe de la spécialisation et des échanges est Smith. Il propose une théorie de la spécialisation inscrit sur les avantages absolue. Selon cette théorie, un pays à intérêt à se spécialiser. Il créé la mobilité international du travail. DIT (division international du travail) = chaque pays a un avantage

une périodisation effective est celui de McCulloch (McCulloch, 1824) : cinq époques de la « Pensée Économique » y sont distinguées après l’époque préliminaire de la pensée antique. Celles-ci sont consacrées successivement aux mercantilistes, aux physiocrates, à Hume et Smith, aux continuateurs et/ou vulgarisateurs (Malthus, Ricardo, Storch, Say, Mill, etc.) et aux réformateurs sociaux (Owen, Saint Simon, Fournier). Cependant, l’histoire de la pensée économique, une fois créée, procédera à des subdivisions

LA PENSEE ECONOMIQUE Introduction générale : une approche générale de l’Economique en termes d’accumulation et de crises. Chapitre I : la pensée économique pré-classique. Section I : la naissance de l’économie politique : la démarche mercantiliste. Section II : la Physiocratie. Chapitre II : l’Economie Politique classique. Section I : Les fondements de l’approche classique. S.Sect. I – Les concepts fondamentaux. S.Sect. II – La théorie de la valeur. Section II : l’accumulation

classes bourgeoises commerçantes en Europe occidentale. Des déviants de ce courant seraient le Colbertisme , courant français mercantiliste industrialiste et le chrysohedonisme où l’or est placé au centre du bonheur. Machiavel dans son ouvrage «Le Prince» dira même qu’il est primordial que le roi soit très riche et que ses sujets très pauvres. En contradiction avec les mercantilistes , on retrouve les physiocrates pour qui la richesse d’un état implique la richesse de tous ses citoyens ou encore les coopérateurs