Adam Smith Théorie Des Sentiments Moraux Philosophie

Schumpeter et prolongements 1. Les théories de la croissance endogène : la croissance est traditionnellement dite exogène, c’est-à-dire que ses déterminants sont extérieurs à la sphère économique (croissance démographique, progrès scientifique…). Or, depuis les années 80, le progrès technique apparaît comme une cause et une conséquence de la croissance. La croissance provoque l’accumulation du progrès technique qui elle-même suscite la croissance : c’est la théorie de la croissance endogène. Pour

La culture Introduction Dans l’usage courant du terme, le mot "culture" renvoie à l’idée de posséder des connaissances diverses : arts, histoire, sciences…on parle dans ce sens de quelqu’un de cultivé. Mais en philosophie, la notion de culture est à la fois plus précise et plus vaste, elle se comprend en opposition avec celle de nature : est culturel tout ce qui n’est pas naturel, ce qui suppose l’intervention humaine par opposition avec ce qui existe antérieurement à cette intervention

en Europe dans un contexte de grande découverte. L’économie auparavant n’existait pas. PAUDIALI parle d’Un désencastrement de l’économie. Un problème majeur de l’autonomie distinct. Désigne un courant de pensé qui préconise un solde commercial. Adam Smith par sa doctrine dit que l’économie est un tissue d’erreur. 1. Présentation de l’époque Caractérisé par une pensée sociale, d’une crise sociale, progrès décisif, renouveau au niveau du plan démographique et économique. Début 1410 : Recul

universités actuellement. 1.2. La Justice La notion de justice est fortement polysémique ; on distingue ainsi : 1. le principe moral qui exige le respect du Droit et de l'équité ; on parle alors, dans des expressions figées, d'« idée de justice », de « faire régner la justice » ou encore d'« amour pour la justice ». 2. la qualité morale qui demande le respect des droits d'autrui, et, ainsi, accomplir tous les devoirs de la société ; l'expression « agir avec justice » exprime ce

l’exercice du culte, par le biais d’une pression morale injuste exercée sur les fidèles. L’inspiration des réformateurs est en priorité théologique mais aussi politique de façon indirecte.     Martin Luther (1483-1546) :    C’est l’initiateur de la réforme qui commence par s’insurger contre les indulgences qui se fondent sur un principe blasphématoire. Il prône un retour strict au christianisme pur de Saint Paul.   -        Sur le plan moral, il se livre à une critique cinglante de la corruption

mais qui a la particularité de se camoufler derrière la gratuité et la générosité, derrière le contraire de ce qu'il exprime réellement. Si je voulais résumer l'exposé que je vais faire, je dirais qu'on va tenter de passer progressivement d'une théorie ou d'une idée, celle de l'appât du gain, jusqu'à suggérer son contraire, l'idée de l'appât du don. Pour ce faire commençons par nous demander d'abord comment nous en sommes arrivés à penser ainsi en Occident. Comment s'est généralisée cette vision

grecs ou romains, et une grande place à la mesure. On retient donc une forte envie des intellectuels de cette époque de remettre le monde dans un droit chemin de mesure et de valeurs morales grâce à des moralistes tels que La Fontaine et ses Fables ou Racine avec notamment Phèdre qui est selon lui ≪ L’oeuvre la plus morale qu'il ait écrit ≫. A ce mouvement classique succède ≪ Les Lumières ≫ qui prônait une plus grande égalité entre les hommes et une meilleure instruction de ceux-ci. Le mot « lumière »

l’économie, la politique, le domaine social. Les changements importants au sein du libéralisme vont intervenir aux alentours du 19e siècle, période a laquelle, on commencé à se distinguer le libéralisme classique et le social-libéralisme. La plupart des théories du libéralisme se rapportent généralement au «système de régulation des marchés». On peut citer parmi les pères des courants libéraux, John Maynard Keynes, Jean Baptiste Say avec la «loi de «Say», David Ricardo et John Stuart Mill. La position

un an en Angleterre où il observe la monarchie constitutionnelle et parlementaire qui a remplacé la monarchie autocratique. De retour dans son château de La Brède au sud de Bordeaux, il se consacre à ses grands ouvrages qui associent histoire et philosophie politique : Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734) et De l'esprit des lois (1748) dans lequel il développe sa réflexion sur la répartition des fonctions de l'État entre ses différentes composantes, appelée

d'histoire des idées politiques -Dictionnaire de philosophie politique de P. Raynaud et S. Rials Plan qui se relie à Léo Strauss car il a publié une grande histoire de la philosophie politique. Il y a eu dans l'histoire de la philosophie politique une rupture fondamentale avec ce qu'il appelle philosophie politique antique et philosophie politique moderne entre lesquels il y a une radical « fossé ». Ce fossé consiste en ceci: avant la rupture le philosophie politique recherchait un idéal, mais depuis