Addition

valeur.  On fixe arbitrairement le sens de circulation du courant.  On tourne autour de la maille selon un sens ou l'autre. Certes ce n'est pas impressionnant car une simple addition suivie d'une division nous aurait fourni exactement le même résultat (et heureusement) sans passer par toutes ces étapes. (addition des résistances dans la maille 15+25+10 = 50 Ω puis calcul du courant en divisant la tension du générateur 100V par la résistance totale 50 Ω soit 2A). Cet exercice nous permet de

opérations avec des matrices : ?? x = [1 2 4 5 7 3] retourne le vecteur (1,2,4,5,7,3). ?? (a:k:z) retourne le vecteur (a,a+k,a+2k,a+3k,...,a+Nk), avec N tel que a+Nk ? z?? ?a+(N+1)k. ?? x(m:n) retourne les valeurs de x d'indice compris entre m et n. ?? additionner deux vecteurs x et y de même longeur z=x+y ?? multiplier terme à terme deux vecteurs de même longeur z = x.*y (notez le . avant le *) Liste non exhaustive de fonctions : ?? zeros (N) : crée une matrice N*N remplie de 0 ?? ones (N) : crée une matrice

approfondie des nombres et une familiarisation avec leurs propriétés. Concernant le socle commun, premier palier Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique L'élève est capable de : * calculer : addition, soustraction, multiplication. 2- Séquence proposée La séquence proposée s'inspire d'une séance proposée dans Euromaths CE1(1) intitulée « La soustraction : conservation des écarts ». Elle ne peut se concevoir sans qu'en parallèle et régulièrement

METHODE D’ANALYSE DE L’ANHYDRIDE PHOSPHORIQUE SOLUBLE EAU PAR VOLUMETRIE I PRINCIPE : On solubilise les ions H2PO4-, par agitation mécanique. Ces ions sont précipités à l’état d’ortophosphates triargentiques sans précipiter AgOH par addition de NaOH. La précipitation est totale à pH = 5,4. II DOMAINE D’APPLICATION : Engrais : TSP – NPK – ASP. III APPAREILLAGE ET REACTIFS : III-1 Appareilage :  Balance à 0,1 mg près.  Broyeur.  Matériel courant du laboratoire. III-2 Réactifs

toujours utilisé dans certains pays asiatiques. B. Les machines mécaniques à additionner Une machine à calculer mécanique est un outil qui a trois caractéristiques : un mécanisme servant de registre pour stocker les nombres ; un deuxième mécanisme pour additionner un nombre à celui stocké en registre et un troisième mécanisme d’addition ayant la possibilité de s’occuper des retenus. (1) La Machine à additionner de Wilhelm Shickard. Wilhelm Shickard de Tubigen réalisa en 1623 une machine à

Été 2010 Liste d’exercices pour l’examen 1. Livre : Algèbre linéaire et géométrie vectorielle, Charron-Parent, Beauchemin 3e édition. Chapitre / Section Obligatoires Supplémentaires % approx. de l’examen 1 Chapitre 1 : Notions de matrices. Addition et multiplication de matrices. Multilplication matricelle. Matrices particulières. 1.1 1.2 1.3 # 1 à 4, 5a), 6, 7, 10a) # 1 (sauf matrices E et F), 2 à 8 # 1 à 18 # 8 et 9 # 10 # 19 à 21 5% 5% 10% Chapitre 2 : Résolution de systèmes d’équations

d’entrer quelque chose, et de contrôler des erreur. 6 / 21 Opérateurs Opérateur * / + % ! < >= == != = Description multiplication division addition soustraction modulo (reste) unaire (pas) inférieur à inférieur ou égal à supérieur à supérieur ou égal à égal à n’est pas égal à affectation Exemple d’utilisation multiplication = 3*4 ; division = 4/2 ; addition = 3+2 ; soustraction = 4-3 ; modulo = 4%3 ; !unaire ; inferieur1 < inferieur2 ; inferieur1 superieur2 ; superieur1 >= superieur2 ; egal1 ==

On utilise le circuit suivant pour additionner les 2 nombres A et B. Compléter la figure suivante en écrivant les états logiques des entrées / sorties. ………………... C8=….. ………………... ………………... Additionneur binaire N°2 C4=….. ………………... ………………... 0.5 Pt C0=….. Additionneur binaire N°1 ………………... 6. Maintenant, on utilise le même circuit mais pour soustracter les 2 nombres A et B. a. Expliquer brièvement comment on peut changer la soustraction en addition entre deux nombres binaires A et B ?

et cubiques de nombres immenses, qui en outre prennent du temps et sont sujettes à d’innombrables fautes d’inattention (…) » Ainsi, Napier invente les logarithmes, qui ont pour objectif de substituer aux multiplications et aux divisions, des additions et des soustractions. Voici donc un exemple de l’utilité de cet outil innovateur, qui rappelons-le à l’époque, était d’une efficacité incontestée compte tenue que la calculatrice n’existait pas encore. On définit le logarithme tel que . Le

vecteur tournant on a dû trouver une solution pour les représenter :  Le moment est donc dans la  direction  de l'axe de la  liaison pivot.  Nous   allons   voir   deux   méthodes   pour   en   déterminer   son  sens  trigonométrique et sa valeur. S'il  y  a plusieurs  forces,  il  faut  additionner  les  moments  en  prenant en compte leur signe. I. MÉTHODE DU PRODUIT VECTORIEL : Cette méthode fonctionne dans la majorité des cas. Elle consiste à faire le produit vectoriel de  vecteur distance (entre le point et le point d'application de la force) et le vecteur force