Adénocarcinome

par la pratique de biopsies dirigées. E-Anatomie pathologique : *macroscopie :la tumeur peut ètre bourgeonnante (laplus fréquente);ulcérée ;infiltrante ou mixte. *microscopie  1-Carcinome épidermoide  +++. 2-Adénocarcinome. 3-Autres :sarcome. F-Examens complémentaires : Les examens d’imagerie permettent de réaliser le bilan d’extention locale et à distance : -TDM cervico-thoraco-abdominale : examen de première intention(envahissement+métastases)

foie, neuro, métastases cutanées, névralgies e) Types de formes du cancer Carcinome à petite cellules (haut pouvoir métastasique) 15 à 20% des cancers Carcinome non à petites cellules · Épidermoïde (35% des cancers)· Adénocarcinome (45%) · Cancer à grande cellules (10%) f) Les traitements · Chimiothérapie TTT ciblé Sels de platine + antimitotique (TAXANE) · Radiothérapie (thoracique / palliatif) · Chirurgie (pneumectomie, lobectomie)· Thérapeutiques

lunettes de vue, plus de dentier ni de prothèse auditive. Avant son AVC, madame R. était droitière. Elle aimait le tricot, la lecture et a beaucoup de connaissances. Elle est catholique. b) Histoire de la maladie En 2002, madame R. a fait un adénocarcinome du colon droit. Cette information me semble importante car elle impose un régime particulier à madame R. En effet, elle suit un régime sans fibre. Il s’agit d’un antécédent d’autant plus important que madame R. a été hospitalisée en 2006 et en

contre-courant Réabsorption de l’eau et du sodium (par contrôle hormonal) Régulation du taux de filtration glomérulaire Sensation de soif et goût du sel APARTÉ : Pathologies du système urinaire  Pathologies rénales:  Cancer du rein: « Adénocarcinome à cellules claires ». Se manifeste le plus souvent par du sang dans les urines ou par douleur au niveau des lombaires. Diagnostic posé le plus souvent par des examens radiologiques et confirmé par une biopsie.  Syndrôme néphrotique: Définit par

post-opératoire. ⚫ Le protocole de radiothérapie courte, ne peut pas être associé à de la chimiothérapieet ne peut être proposé qu’en pré-opératoire.INDICATIONS de la RTE • Adénocarcinomedu rectum T3-4 ou N+ RT-CT concomitante préopératoire • Adénocarcinome rectal avec facteurde risque de récidive locale (R1, T4, N+)Mais sans traitement préopératoire RT +/- CT postopératoire • Patient inopérable : RT +/- CT exclusiveDéroulement du traitement EXAMEN CLINIQUE • Examen général (PS), hépatique , ganglionnaire

18,2 18,2 0,0 La vessie, carcinome invasif 23 17,4 0,0 4,3 Cancer de l'ovaire séreux 40 15,0 0,0 7,5 Carcinome de l'endomètre 88 11.4 1.1 0.0 Utérin col carcinome épidermoïde 9 11,1 11,1 0,0 adénocarcinome de l'estomac 29 3,4 0,0 17,2 Médullaire cancer du sein 4 0,0 0,0 25,0 Petit adénocarcinome de l'intestin grêle 3 0,0 0,0 33,3 Rhabdomyosarcome 1 0,0 0,0 100,0 Dans une expérience unique, 13 des 128 types de tumeurs ont été identifiés qui pourraient être touchés par la cycline E amplification

anémie foie enflé (Cellules différenciées : elles ont un rôle déterminé) CANCER DU COLON ET DU RECTUM : Il s'agit de cancers très fréquents. Ils se développent aux dépens de la muqueuse du tube digestif et sont donc des adénocarcinomes (tumeur maligne de la muqueuse glandulaire). Il existe plusieurs facteurs de risque du cancer du côlon. Il semblerait qu'une alimentation riche en graisse animale et pauvre en végétaux (légumes verts...) soit associée à une augmentation du risque

interne. Elles sont relativement fréquentes, plus chez le chat (27%) que chez le chien. Mis à part les cas de papillomes et d’histiocytomes, les animaux âgés (7 à 11 ans) sont les plus atteints. Les tumeurs des glandes cérumineuses (adénomes, adénocarcinomes) sont les plus fréquentes chez le chien et le chat. Les tumeurs issues du cartilage sont très rares. Cependant, il faut noter que presque tous les types tumoraux sont susceptibles d’être retrouvés dans l’oreille. 3.5.1.1.Clinique La clinique

anarchique des cellules 3) Evolution des lésions cervicales par étapes: • Lésion intra-épithéliale cervicale • Invasion stromale (ne dépassant pas 1mm) • Cancer micro invasif (ne dépassant pas 5mm) • Cancer invasif (carcinome épidermoïde, adénocarcinome) 4) Extension dans les tissus adjacents (paramètres, tissus péricervicaux, vagin, corps utérin, vessie, cloison recto vaginale, rectum…) 5) Invasion lymphatique et métastases ganglionnaires (ilio-obturateurs, iliaques primitifs, lombo-aortiques…)

ultralégères n’est pas moins dangereux. Les fabricants de cigarettes savent, comme personne, ruser avec notre dépendance. Non seulement les cigarettes dites "légères" ne sont pas moins nocives, mais elles induisent une autre sorte de cancer des poumons (adénocarcinome) au pronostic tout aussi défavorable. Pour satisfaire son besoin de nicotine, un fumeur ou une fumeuse de légères a tendance à fumer plus, mais aussi à augmenter le nombre et l'intensité de ses bouffées. A retenir : c'est bien la dépendance pharmacologique