Adjuvant Opposant Conte

défend est la nécessité d’abolir la peine de mort, et la dénonciation de sa barbarie. n Dans les essais, les lettres ouvertes ou les articles, les auteurs défendent explicitement un point de vue : ils ont recours à l’argumentation directe. Dans un conte philosophique, une fable, ou même un roman, les auteurs se servent d’un récit pour appuyer leurs idées et l’argumentation est en partie implicite : ils utilisent l’argumentation indirecte. Convaincre, persuader et délibérer sont trois stratégies argumentatives

tout mais n’arrivent à rien) L’Education sentimentale (le héros empêché. Amour platonique de Mme Arnoux) II/ Création d’un personnage 1/ Fonction¸idée, personnage De la fonction au personnage La morphologie du conte de Propp : le héros, adjuvants, opposants. ▪ Don Quichotte : Don Quichotte/ Sancho Pansa : le héros et son valet ▪ Laclos, Les liaisons dangereuses : manipulateurs/manipulés ▪ Céline, Voyage au bout de la nuit : Robinson/Bardamu : doubles inversés

défend est la nécessité d’abolir la peine de mort, et la dénonciation de sa barbarie. n Dans les essais, les lettres ouvertes ou les articles, les auteurs défendent explicitement un point de vue : ils ont recours à l’argumentation directe. Dans un conte philosophique, une fable, ou même un roman, les auteurs se servent d’un récit pour appuyer leurs idées et l’argumentation est en partie implicite : ils utilisent l’argumentation indirecte. L’argumentation 25 ➜ 2. Les exemples n Les exemples

personnage socialement, son statut social. Caractéristiques psychologiques. Repérer tout ce qui fait le personnage moral. Rôle actanciel. Repérer les six classes d´actants qui construisent le récit: destinateur, objet, destinataire, sujet, adjuvant, opposant. Rôle thématique. Il s´agit d´identifier le personnage comme élément d´une sorte de dictionnaire socio-culturel: le corrompu, le traître, le prince, le justicier. Rôle axiologique. Identifier les indices produits par une société. Ce que représente

3-8 A) Qui est vraiment Lewis Carroll ? Pages 3-4 B) Les circonstances d’écriture Pages 5-6 C) Autour de Lewis Carroll et Alice Liddell Pages 6-8 II- Le texte et ses indices Pages 8-14 A) Le personnage d’Alice Pages 8-9 B) Les adjuvants et opposants d’Alice Pages 9-12 C) Le pays des merveilles Pages 12-14 III- Le mythe d’Alice Pages 14-17 A) Les adaptations Pages 14-15 B) Alice Liddell : une jeune centenaire Pages 16-17 Conclusion Page 18 Sources Page 19 Annexes Pages

Chapitre III Outils de l’analyse stylistique 1-Les notions propres au récit Le récit est un genre narratif. Du verbe latin recitare signifiant « dire à haute voix », le mot récit est lié au genre de l’épopée qui par la suite fut concurrencée par le conte, la nouvelle et le roman. Le récit est un « tissu narratif », il s’agit d’un processus de transformation qui fait passer un ou plusieurs personnages d’un état initial à un état final tout en s’inscrivant dans une succession temporelle et un cadre

roman désigne d'abord la langue vulgaire, langue parlée de communication, par opposition au latin. L'expression mettre en roman renvoie donc à la transcription et à l'adaptation en langue romane de textes divers, alors que l'on nomme «estoire» ou «conte» le récit de fiction. Cependant, dans le prologue du Chevalier à la Charrette (1176 -1181 ), Chrétien de Troyes affirme «entreprendre un roman» : naît ainsi un rapprochement entre ce terme roman et une forme narrative spécifique, rapprochement qui

conte philosophique Un conte philosophique est un genre littéraire narratif apparu au 18S, un court récit qui a la forme d'un conte (court, imagé) mais une portée philosophique (sous une apparente simplicité et naïveté fait réfléchir sur des thèmes graves).Le conte philosophique est une histoire inventée dont le but est de susciter la réflexion sur de grandes questions humaines. Sa portée est symbolique. Sous les apparences d'une histoire simple, il nous livre un message profond. L'imagination

Don Quichotte (1605-1615) de l’espagnol Cervantès, qui refuse cette idéalisation. Il confronte l’idéal chevaleresque à la réalité. L’écart entre les deux crée la dimension critique du roman. Ce récit est considéré comme le 1er roman moderne. Il est conté par un narrateur (contrairement au théâtre). Il peut évoquer la vie quotidienne et des personnages de condition modeste. Le roman cherche avant tout à donner à voir le monde tel qu’il est, ce qui explique pourquoi on le considéra longtemps comme un

« l’esprit français » par son ironie romantique et son humour. A dix-neuf ans, Théophile Gautier rédige un article à la gloire d'Hoffmann, auteur fantastique allemand alors à peine connu en France. Un an plus tard, il publie le chevalier double, conte sous l'évidente influence de l'auteur berlinois. S'en suivent toute une série de récits mêlant ironie et poésie, amour et humour, dans lesquels l'écrivain met sa verve au service de ce genre très en vogue à l'époque. Le public connaît les contes fantastiques