Administration Territoriale

les impôts (incluant les taxes) , d’autre part, certaines cotisations sociales : les cotisations sociales "effectives" (réellement versées) obligatoires reçues par les administrations publiques. Les cotisations sociales volontaires, comme les cotisations sociales, même obligatoires, versées à d’autres organismes que des administrations publiques, ne sont pas des prélèvements obligatoires. Les cotisations sociales sont des prélèvements effectués sur les salaires affectés aux dépenses de Sécurité sociale

juridique précise du secteur public. De manière approximative, on peut le définir comme le secteur regroupant toutes les activités économiques et sociales prises en charge par les administrations, les organismes de sécurité sociale et les entreprises publiques. Font donc partie du secteur public : Les administrations de l’État qui prennent en charge des activités d’intérêt général. Les entreprises publiques ou, plus précisément, les entreprises dans lesquelles une personne publique détient la

collectivités territoriales, des organismes de Sécurité sociale, de ceux dépendants étroitement de l’État et des collectivités territoriales (établissements publics), de l’Union européenne. En effet, il existe plusieurs façons de les définir. Selon que l’on se place sur le plan juridique ou économique, il peut s’agir de : – l’étude des finances des personnes morales de droit public (État, collectivités territoriales, établissements publics) ; – l’étude des finances des administrations publiques, c’est-à-dire

Population cible, Mode d’administration et Type d’échantillonnage 2 Analyse des résultats 2.1 2.2 2.3 2.4 Déroulement de l’enquête Identification des enquêtés Taux de satisfaction globale Positionnement de l’Agence par rapport aux autres administrations publiques 2.5 Mesure de la qualité des services rendus 2.5.1 Services de base 2.5.1.1 Qualité de conception des documents d'urbanisme 2.5.1.2 Les notes de renseignements 2.5.1.3 L’instruction des dossiers de lotir et de construire 2.5.1.4

fruits de leurs réformes. Une raison de plus pour décortiquer ce concept et analyser ses enjeux et perspectives. En effet l’intérêt du sujet réside en le fait que le management public et la bonne gouvernance contribuent à la performance des administrations publiques, devenue le langage courant des responsables politiques et des citoyens et de la société civile de tous les pays du monde quelque leur niveau de développement. Cette performance est considérée comme nécessaire mais non suffisante au

Colloque Administrations publiques 2.0 La transformation de la relation citoyenne et de l’écosystème des villes et municipalités 4 novembre 2010 www.atelya.com info@atelya.com Thierry WEIBEL Directeur Activité Conseil en stratégie de système d’information & administration 2.0 Conseil en Management Entreprise 2.0 . Transformation des organisations . Collaboration Bureau Lyon : 11 – 13 rue des Aulnes 69760 LIMONEST Tél. 04 26 46 73 49 Bureau Canada : 405, avenue Ogilvy , bureau 101

marchande/non marchande, valeur ajoutée, formation brute de capital fixe ( FBCF), PIB, autofinancement, profit, pouvoirs publics, investissement, innovation, répartition primaire/secondaire, INSEE, importations/ exportation, budget, déficit, dette, administration publique solde commercial, balance des paiement, taux de couverture BIBLIOGRAPHIE Dans BLANCHETON BERTRAND, Maxi fiches, Histoire des faits économiques, lire les fiches 3, 8, 25, 26, 27, 28, 43, 45, 47. Pour approfondissement: Insee, Tableaux

SUJET N°1 : En quoi les administrations publiques contribuent-elles à la croissance économique ? Rappel : Croissance Economique : se définit comme une augmentation soutenue pendant une longue période, de la production de biens et de services d’un pays Définition d’administrations publiques : Administration publiques : ensemble des unités institutionnelles dont la fonction principale est de produire des services non marchands ou d’effectuer des opérations de redistribution du revenus et des

sont de 314,4 milliards d’euro. Les dépenses sont réduites de 42,41 milliards d’euro de 2011 à 2012. II. Les mesures visant à réduire le déficit public Le déficit public correspond aux besoins de financement des administrations publiques, des administrations territoriales et de la Sécurité Sociale. Le déficit public est un solde annuel négatif dans le cas où les dépenses publiques sont supérieures aux recettes publiques. En 2011, le déficit est de 6% du PIB soit -103 milliard d’euro, puis

(consommation et investissement) = besoin en financement était supérieur de 20 milliards d'euros par rapport au revenu disponible (argent après avoir payé impôts & transferts) des ménages, des entreprises, des institutions financière ou encore des administrations = capacité de financement → endettement 1990-1992 : l'endettement s'est réduit petit a petit 1992-2004 : effet inverse = capacité de financement supérieur aux besoins de financement 1999 : pointe à 38 milliards d'euros d'excédent pour la