Admonitio Generalis

Franconie; campagne en Saxe 785 : fin de l’insurrection saxonne ; soumission de Widukind ; capitulaire saxon 787 : révolte de Tassilon en Bavière ; expédition dans le duché de Bénévent 788 : soumission de la Bavière ; éviction de Tassilon 789 : Admonitio generalis ; soumission des Wilzes 790 : second capitulaire saxon ; aucune campagne militaire en 790 791 : campagne contre les Avars ; conquête de l’Istrie 792 : conspiration de Pépin le Bossu ; Libri carolini 793 : révolte des Saxons ; incursion sarrasine

Aussi, sur les moines reposent l’enseignement et la prédication des laïcs : «  que dans chaque monastère, on enseigne les psaumes, les notes, le chant, le calcul, la grammaire et que l’on ait des livres soigneusement corrigés » (capitulaire Admonitio generalis). La production littéraire et artistique s’appuie, elle aussi, sur les épaules des moines qui recopient les œuvres d’Homère, de Virgile ou de Cicéron dans les ateliers d’écritures (Scriptoria) à l’image des monastères de Saint-Armand ou de Saint-Gall

personnelles. Avec ces capitulaires autonomes, on a bien affaire à une législation moderne, à une législation commune à l’ensemble de la population. Parmi les capitulaires les plus célèbres, il faut citer l’ Admonitio generalis [Avertissement général] de Charlemagne (789). Dans ce capitulaire, Charlemagne prescrivit aux prêtres de procurer une bonne formation à tous les enfants [qu’ils soient d’origine servile ou de condition libre] et d’organiser, pour

ont fait passé avec l’appui du souverain leur volonté réformatrice. En atteste l’attention porté à l’écriture des textes, et à l’effort de normalisation dans la production du livre qui est celle de ses temps, par Charlemagne dans le célèbre admonitio generalis. il y a aussi le rappel fait à propos de crédit didactique accordé aux images : “que la connaissancede notre foi est dans le texte et non dans la peinture” Le livre doit être un bel objet voir objet dans lequel les images doivent prendre toute

arrêtée : Charlemagne est l’inventeur de l’école. Pourtant cette idée est fausse. Pourtant, Charlemagne (Charles Le Grand) a bien un rôle important dans le développement d’écoles aux VIIIème et IXème siècle. En 789 dans le capitulaire intitulé Admonitio generalis, il demande que « dans chaque évêché, dans chaque monastère, on enseigne les psaumes, le chant, le comput, la grammaire et qu’on ait des livres soigneusement corrigés ». Or cette prescription, qui sera d’ailleurs suivie de beaucoup d’autres

l’évangélisation à l’aristocratie : besoin de l’étendre au reste de la population et aux conquis via établissements ecclésiastiques. ⁃ Plan de réforme intellectuelle pour diffuser la culture antique et les valeurs de la foi, avec un programme d’éducation (admonitio generalis, 789) : organisation d’écoles de formation des curés, qui vont ensuite éduquer la population (écriture, calcul, lecture, chant) + bibliothèques au sein des monastères. Accroissement du patrimoine de l’église : constitué de biens fonds, il est

seulement au 12e siècle, mais l’église institue l’accord mutuel qui n’est pas évidant à l’époque mérovingienne et cela avec un seul conjoint où vient l’idée du bâtard. II. La renaissance carolingienne. A) Les écoles. 789 : le capitulaire ADMONITIO GENERALIS, il prévoit les fondations de l’empire. L’école du palais est l’Académie. Il y a 2 écoles : * Une qui forme les cadres * Palatine (fin du 8e siècle) qui forme des intellectuels et l’un des formateurs est ALCUIN qui est évêque de York

législatifs. En principe, les assistants n’ont qu’un rôle consultatif, le roi prenant la décision finale seul. A la fin de la réunion, de la session, le peuple (hommes libres) et les grands sont réunis, et le roi prononce devant eux un discours, une ADMONITIO GENERALIS qui lui permet de faire connaître son programme, discours de politique générale. Ca lui permet de donner ses ordres, de faire jurer aux personnes présentes d’observer sa législation, de charger les missi d’exiger l’obéissance de tous les habitants

du roi lombard, elle était moulu avec un clou de la croix du Christ), Charles devient alors roi des francs et des lombards. Par la même, il devient le protecteur de l’Italie et de Rome en particulier. b. en 789 Charles édicte un texte « admonitio generalis » (déclaration générale), il est prêcheur (chargé de faire se développer l’Eglise chrétienne et défenseur de la chrétienneté). Dès lors, il intervient dans les discussions théologiques et condamne l’iconoclasme byzantin et l’adoptianisme (fils

au service de l’Eglise. Un des effets de cette nouvelle vision du pouvoir politique va être dans un certain nombre de capitulaires transcrivent des commandements ecclésiastiques. Le 23 mars 789, une sorte de capitulaire, avec 88 chapitres, Admonitio generalis, était un conseil pressent. C’est une capitulaire de réforme des structures du royaume et de la société. Cette admonition met un point final à une évolution et à une aspiration de l’Eglise, qui avait commencé dès la fin de l’Empire romain par