ADN polymérase

2 anti-hypertenseurs : loxen ( inhibiteur calcique) , eupressyl ( alpha bloquant) Mis sous ATB : Augmentin, amox 02/10 : Pose de KT EER (mis sous hyno, diprivan) : epuration extra renal en femorale droite. UF : 3000. Arret des ATB PCR ( polymerase Chain reaction) positif a herpes. => confirmation encephalite herpetique. Reprise Zovirax (aciclovir) post dialyse Toujours HTA. PAM > 100. 03/10 : EER 2. UF : 3000. Données du jour : TA : FR :

maligne au sein de ce tissus. C'est un cancer sexuellement transmissible impliquant un virus : le virus HPV (Human Papilloma Virus) d'un type particulier « dit à haut risque » (ou oncogène).  Les papillomavirus humains (HPV) sont des virus à ADN, de petite taille, qui infectent spécifiquement la peau et les muqueuses. Certains types, dits « non oncogènes », induisent des lésions bénignes, telles que des verrues, des papillomes ou des condylomes, alors que les types dits « oncogènes » sont responsables

II. Les puces microfluidiques A) Fabrication de la puce microfluidique 1. Détails de la fabrication 2. Choix du PDMS 3. Inconvénients du PDMS p.5 p.5 p.7 p.7 p.3 p. 4 B) Description de la puce microfluidique 1. Laboratoire sur puce 2. Puces à ADN p.8 p.9 p.10 III. Autres applications A) Microfluidique dédiée au pH 1. Intérêt de la méthode 2. Description de la technique 3. Efficacité du dispositif de mesure p.12 p.12 p.12 p.14 B) Electro Osmose p.16 Conclusion Bibliographie

directement dans le tissu touché. Ce processus est employé pour traiter la mucoviscidose ( infusion directe du vecteur dans les bronches des poumons), détruire les tumeurs (p. ex., cancer du cerveau) . Vecteurs viraux On met au point des virus à ADN et à ARN qui servent de vecteurs en thérapie génique. Les virus constituent d'excellents vecteurs, car au terme de longues périodes d'évolution, ils ont acquis la capacité d'éviter d'être détruits par le système immunitaire humain (système de défense

Samedo et al. 2003). However, there appears to be little information about their occurrence among the human intestinal enterococci. In this study the occurrence of virulence determinants in human faecal E. faecalis isolates was screened using polymerase chain reaction (PCR) in order to get an indication of the potential role of the intestinal enterococcal microflora as a source of pathogenic variants. Correspondence to: Atte von Wright, Institute of Applied Biotechnology, University of Kuopio

TD1 – Clonage in silico Roubaud Leif , Albiges Pierre :Groupe 13 Aix-Marseille Université, site Luminy Résumé Dans ce TD , on va utiliser les capacité des enzymes de restriction ( proteines capables de scinder l ' ADN ) pour étudier le clonage moléculaire grâce à l'outil informatique , c'est le clonage « In Sillico ». Table des matièresTable des matières 1) Les enzymes de restriction :1 a) Le plasmide1 b) Les Enzymes2 2) Digestion du plasmide à l'aide des 2 enzymes de restriction2 3)

développent rapidement à l’échelle mondiale. La question que l’on se pose forcément est, faut-il craindre le développement des micropuces  I- Les Biopuces, une avancée considérable. a) Le fonctionnement La puce à ADN Tout d’abord nous allons parler de la puce à ADN qui est la biopuce la plus utilisée et la plus connue. Ce sont de petites plaques de verre, de plastique ou de silicium de la taille d’une lame de microscope (25mm x 75mm). Sur ces plaques, des séquences d’ADN vont être déposées

Le virus varicelle-zona (VVZ) est un virus à ADN de la famille des Herpesviridae. Il cause une maladie primaire (la varicelle), demeure latent dans les ganglions des nerfs sensitifs et peut être réactivé plus tard, entraînant un zona. Le VVZ se transmet par voie aérienne de même que par contact direct avec le virus présent dans les lésions cutanées. La période d'incubation varie de 10 à 21 jours et elle dure habituellement de 14 à 16 jours. La personne infectée commence à être contagieuse 1 à 2 jours

et a pour but de développer ces dispositifs capables de décrypter toute la complexité du vivant. Dans cette recherche plus de douze pays quasiment tous européens y participent. I. Le fonctionnement a) La puce à ADN Tout d’abord nous allons parler de la puce à ADN qui est la biopuce la plus utilisée et la plus connue. Ce sont de petite plaque de verre, de plastique ou de silicium de la taille d’une lame de microscope ( 25mm x 75mm ). Sur ces plaques, des séquence d’ADN vont être déposées

oligonucleotide primers (GSP1, 5 -TGGAATGCGGCCCTGTGACAT-3 ; GSP2, 5 -AGCTGCATTTCCCACTTGAGCT3 ). The partial cDNA of human PAX4 was amplified with these primers by polymerase chain reaction (PCR) with human placenta Marathon-Ready cDNA (Clontech, Palo Alto, CA) used as template. Thermal cycling was accomplished with Advantage cDNA Polymerase Mix (Clontech) at an annealing temperature of 60°C. Reaction products were subcloned and identified as the partial human PAX4 cDNA by sequencing. To isolate the 5