Adolphe Niel

ainsi que de l'élaboration d'une nouvelle Constitution. La majorité étant monarchique, la paix est conclue. Lorsque Adolphe Thiers est élu Président de la République (pour ses convictions royalistes), on se rend compte de la faiblesse du pouvoir exécutif puisqu'il doit gouverner sous l'autorité de l'Assemblée, et par conséquent, d'une importante confusion des pouvoirs. Adolphe Thiers surprend l'Assemblée par son éloquence qui réussit à avoir une influence sur ses choix politiques, il devient même

nombreuses institutions sont mises en place, de nombreuses dispositions provisoires sont prises afin de contenter le peuple : * Le premier acte de l’Assemblée va être de nommer Adolphe Thiers à la tête du pouvoir exécutif de la République française. Cet acte fait référence au décret du 17 février 1871. * Adolphe Thiers a sa carrière politique derrière lui, plusieurs fois ministre entre 1830 et 1840, il était tout de même un opposant au Second Empire. Il incarne l’option pour la paix malgré

débute vers 1870, alors que Le second Empire (dirigé par Napoléon III) s’apprête à déclarer la guerre à la Prusse. Puis la guerre commence et se termine par la défaite française : la troisième République est alors proclamée (le 4 septembre 1870). Adolphe Thiers à la tête du pouvoir, les Parisiens (dont Jacques Damour et Berru) craignent le retour de la monarchie ; ceux-ci entrainent donc le soulèvement de Paris et proclament la Commune (subdivision administrative où le maire à une grande majorité

IHEP : « La république existe, elle est le gouvernement légal de la France, vouloir autre chose serait une révolution et la plus redoutable de toute » (Adolphe THIERS) « Mon principe est tout, ma personne n’est rien » (conte de CHAMBORD) « 7 ans, c’est le temps nécessaire pour que Dieu lui ouvre les yeux ou lui les ferme » (conte de CHAMBORD) «  Monsieur le président, lorsque le pays aura parlé il faudra vous soumettre ou vous démettre » (GAMBETTA) HDIP : RI : DC : « chacun a le droit

favorables à une armistice avec la Prusse tandis que les seconds veulent continuer la guerre. Paradoxalement pour une République, ce sont les monarchistes qui remportent les élections de Février 1871 et créent un gouvernement provisoire. Ils nomment alors Adolphe Thiers, républicain modéré à sa tête qui laissera sa place au monarchiste Patrice de Mac Mahon en 1873. Celui-ci, en tant que Président de la République va voir ses pouvoirs reconnus par la loi de Broglie du 13 Mars 1873. Le septennat du Président

aux républicains 1)République de fait et république de droit République proclamée à Paris le 4 septembre 1870 mais caractère provisoire car élections législatives de 1871 favorise monarchiste donc veulent restauration. Pouvoir exécutif confié à Adolphe Thiers qui exige le titre de « président de la République » quoique qu’il dise ne vouloir que réorganiser le pays sans préjuger de la question institutionnelle. Il avait admis avec le « centre-gauche » qu’une République conservatrice était la meilleure

caractéristique d’une instabilité ministérielle Après l’effondrement du second empire le 4 septembre 1870 et la proclamation de la république, l’assemblée nationale (à majorité monarchiste) est élue le 8 février 1871 et s’efforce de restaurer la monarchie. Adolphe Thiers, le 17 février 1871) est nommé chef du pouvoir exécutif de la république française. Il participe à l’élaboration de la loi Rivet le 31 aout 1871, loi qui en ses articles 1, 2 et 3, réglemente la fonction du président. Le ralliement de Thiers

défense nationale. Ce gouvernement adopte 9 décrets qui portent tous sur l’administration de la colonie algérienne, le septième est Le décret Crémieux, inventé par le ministre de la justice de l’époque et l’un des chefs du parties républicain, Isaac Adolphe Crémieux, descendant d’une famille juif de Nîmes, âgée à l’époque de 74 ans(Savès, p1), ce décret accordera la nationalité française aux juifs ainsi qu’aux colons étrangers venant du pourtour de la méditerrané des trois départements de la colonie

républicain modéré qui est choisi : Jules Grévy, président de l'Assemblée Nationale, qui deviendra plus tard président de la République. Le 17 février, l'Assemblée décide de confier le gouvernement à un orléaniste, ancien ministre de Louis Philippe, Adolphe Thiers, grande figure libérale ( élu dans 26 départements ). Il est nommé avec le titre de « chef du pouvoir exécutif de la République française ». C'est un titre qui agaçait un peu Thiers, qui disait que c'étaient les cuisiniers qu'on appelaient

question Prusse. Adolphe Thiers devient chef du pouvoir exécutif, la paix est ratifiée et la France cède l'Alsace et une partie de la Lorraine. B) L'échec d'une tentative de restauration Les monarchistes vont être divisés entre les plus radicaux demandant de rétablir une monarchie assurée par le comte de Chambord souhaitant le retour du drapeau blanc. Les orléanistes quant à eux souhaitent un régime royaliste et libéral politique et économique comparable au modèle anglais Adolphe Tiers devenant