Adolphe Niel

Parisiens qui se sentent trahis. L'armistice de janvier 1871[->0] paraît insupportable aux Parisiens qui ont résisté à l'ennemi pendant près de quatre mois. « Les insurgés vibraient d'un patriotisme de gauche que la honte de la défaite exaspérait » Adolphe Thiers est élu « chef du pouvoir exécutif » par l’Assemblée Nationale qui s’engage à rétablir l’ordre et la paix mais sans prendre position sur l’avenir du régime. Favre et Thiers mènent avec Bismarck des négociations de paix à Versailles. La France

le gouvernement, manifestant par là la fermeté du régime et l’affirmation de son contrôle de la situation. Le droit du travail qui avait été évoqués dans les débats de l’assemblé est rejeté pour être remplacé par un droit à l’assistance. En effet, Adolphe Thiers évoquait comme argument la dangerosité de promettre un emploi aux travailleurs sans être certain de pouvoir effectivement tenir cette promesse. Ce droit au travail aurait pu également selon lui atténuer les efforts d’épargne des français, déjà

une présidence personnelle durant un septennat au profit de Mac-Mahon. Ce chef de l’exécutif n’était pas responsable devant elle et ne pouvait être révoqué par elle. Ces lois provisoires avaient donc pour but d'écarter Thiers. Le 17 février 1871, Adolphe Thiers, est élu « chef du pouvoir exécutif de la République française » et gouverne sous le régime de l'assemblée. En 1875, les lois constitutionnelles sont mises en place. Ces trois lois ne vont être mises en place que deux ans. En 1879 va émerger

l’avocat et journaliste Marrast. Le parti orléaniste, parrainé par Talleyrand, s’érige en contre et réclame la déchéance de Charles X et l’intronisation du duc d’Orléans. Tous ces opposants sont publiquement soutenus par les fondateurs du National, Adolphe Thiers, Armand Carrel et Auguste Mignet. La presse censurée ne cesse plus dès lors d’être à l’avant-garde du combat, jusqu’à être à l’origine directe des Trois Glorieuses. II. De la crise à la Révolution 1. Les ordonnances de Saint-Cloud

républicains eux sont divisés, favorable ou non a la paix. Elections ont lieu début du mois de février 1871, les monarchiques l’emporte, 400 siège sur 650. Ils sont majoritaires car ils ont fait campagne sur un programme, celui de la paix immédiate. Adolphe Thiers né a la fin du 18ième siècle, longue carrière politique, a été le président du conseil du roi Louis Philipe, il va jouer un rôle important dans les événements révolutionnaire qui se prononce en faveur de louis napoléon Bonaparte. Il est choisi

l'auteur et la date. Il y a deux plans possibles en histoire du droit: linéaire ou thématique. Ici il y a une certaine logique c'est donc un plan linéaire. Généralités: 11 janvier 1863: Face de libéralisation du régime de Napoléon III. Adolphe Thiers: C'est un Orléaniste, partisans d'une monarchie constitutionnelle il apparaît pour la première fois pendant les trois Glorieuses. Il est élu en 1863 à la Chambre c'est à dire au corps législatif (Chambre, Conseil d'État, et le Sénat) a ce moment

monarchistes triomphants ne se soucient pas immédiatement de rétablir la royauté. Les Républicains ne les inquiètent plus : ils sont ravis que ce soit la toute nouvelle république qui assume la défaite et rétablisse l'ordre à Paris. Ils chargent Adolphe Thiers de ces tâches ingrates. une indemnité de guerre importante (6 milliards de francs réduits après négociation à 5 milliards) l'Alsace (Belfort, qui avait été défendu avec acharnement, sous le commandement du colonel Pierre

de Paris, petit-fils de Louis-Philippe. Une telle assemblée ne pouvait tomber d'accord que sur un point : « ne rien faire de définitif ». Dans l'incapacité de gouverner, cette assemblée confie à un homme la responsabilité de gouverner en son nom : Adolphe Thiers. Il est nommé le 17 février 1871 avec le titre de chef du pouvoir exécutif de la République française. 2/ Le gouvernement de Thiers En vertu d'une sorte de contrat tacite entre les partis politiques appelé pacte de Bordeaux, Thiers doit pourvoir

la défaite de Sedan, le régime connaît un nouveau tournant : le 2 septembre 1870, Napoléon (1808-1873) capitule contre les Prussiens, et le 4 septembre, la République est déclarée par le républicain, Léon Gambetta (1838-1882). À la suite de cela, Adolphe Thiers (1797-1877) (oscillant entre un régime républicain et une monarchie constitutionnelle) est élu en 1871 chef du pouvoir exécutif afin de négocier avec Bismarck (le chancelier prussien) le traité de paix. La France perd l’Alsace et une partie

Constitution sont soumis à plébiscite qui est accepté à 81% par les Français. L’évolution du système plait et l’Empire acquière une légitimité populaire inattaquable, malgré la forte opposition menée par Gambetta1. Léon Gambetta Jules Ferry Adolphe Thiers 1 « Si vous n’avez pas oublié les 18 années d’oppression, vous ne pouvez voter oui »