Adolphe Thiers

Treize d'entre eux sont tués, donnant un nouveau tour à la révolution12. Le roi Louis-Philippe met alors en œuvre plusieurs solutions successives, faisant appel en l'espace de quelques heures à deux de ses anciens ministres, Mathieu Molé et Adolphe Thiers, qui ne satisfont pas les manifestants, puis à Odilon Barrot, l'un des leaders de l'opposition dynastique, qui ne parvient pas non plus à rétablir la situation. Le 24, la marche des insurgés vers le palais des Tuileries pousse le roi vieillissant

Parisiens qui ont résisté à l'ennemi pendant près de quatre mois. « Les insurgés vibraient d'un patriotisme de gauche que la honte de la défaite exaspérait » Adolphe Thiers est élu « chef du pouvoir exécutif » par l’Assemblée Nationale qui s’engage à rétablir l’ordre et la paix mais sans prendre position sur l’avenir du régime. Favre et Thiers mènent avec Bismarck des négociations de paix à Versailles. La France perd à la suite de ces négociations l’Alsace et la Lorraine, et les troupes prussiennes

allemand sur les Champs Elysées, et une indemnité de guerre importante, les monarchistes ne s’attèlent pas à provoquer un retour à la monarchie et préfère laisser aux Républicains la tache ingrate d’assumer la défaite. Les monarchistes conservent Adolphe Thiers au pouvoir le temps de solder les conséquences de la guerre tout en préparant le retour de leurs prétendants. Celui-ci, clairement républicains se verra de plus en plus en opposition avec une chambre des députés à tendance fortement conservatrice

députés peuvent de nouveau donner leur avis au pouvoir (p.138), en 1862, le Corps Législatif peut voter le budget des ministères et donc contrôle les finances nationales. Les élections de 1863 permettent de redonner de la voix à l’opposition emmenée par Thiers qui en 1864 prononce un discours sur les libertés nécessaires. Ensuite au niveau économique : le pouvoir en ouvrant le marché français à l’Angleterre permet la modernisation de l’économie et donne le coup de départ de la grande période d’industrialisation

France. 4 septembre : le Corps législatif) proclame la déchéance de Napoléon III; la République est proclamée à l'hôtel de ville de Paris par la foule parisienne. Formation d'un gouvernement provisoire de 1870. 12-18 septembre : Thiers est à Londres 18 septembre : début du siège de Paris) par les Allemands. 23 septembre : capitulation de Toul 28 septembre: capitulation de Strasbourg assiégée par les Allemands depuis le 9 août. Échec d'une insurrection

et s’efforce de restaurer la monarchie. Adolphe Thiers, le 17 février 1871) est nommé chef du pouvoir exécutif de la république française. Il participe à l’élaboration de la loi Rivet le 31 aout 1871, loi qui en ses articles 1, 2 et 3, réglemente la fonction du président. Le ralliement de Thiers à la république provoque un conflit avec l’assemblée d’où l’élaboration de la Loi des trente (ou constitution de Broglie) le 13 mars 1783, destinée à éliminer Thiers. Contraint de démissionner le 20 novembre

puis à Versailles, pour ne pas tomber sous les révoltes parisiennes comme cela a failli se produire pendant le gouvernement de la Défense nationale (31 octobre notamment). Depuis le 17 février, le gouvernement de la République est dirigé par Adolphe Thiers (chef du pouvoir exécutif) ; il cherche à conclure un traité de paix avec la Prusse. Les Parisiens, qui ont supporté un siège très dur, et sous le coup d'une fièvre obsidionale (« la folie du siège »[2]), veulent "protéger Paris des Prussiens"

sera pas Déplacée à Bordeaux à la suite de la défaite face à la Prusse, l’Assemblée nationale fait d’Adolphe Thiers le chef du pouvoir exécutif de la République française le 17 février 1871. Il se charge de finaliser la fin de la guerre avec Bismarck (traité de Francfort du 10 mai 1871) et de réprimer dans le sang l’insurrection des Parisiens qui proclame la Commune. Le 31 août 1871, Thiers obtient le titre de président de la République qui, à ce moment-là, lui permet de cumuler les fonctions de chef

l'enseignement primaire et sous sa direction, le nombre d'écoles primaires en France a augmentait jusqu’à 23 000 pendant 15 ans. Le 5 février 1840, il était envoyé comme ambassadeur à Londres mais la chute de son rival Adolphe Thiers le fait revenir au gouvernement. Démission de Thiers, trop militants pour le chef du gouvernement, conduisait maréchal Soult sur la poste de tête de gouvernement mais c’était Guizot qui était le réel chef du Cabinet de 1840 à 1848. Sa politique se résume en trois mots

(1824-1830), l'une d'elle, (ordonnance Poliniac), prévoie de supprimer toutes les autorisations de parution pour ne laisser renaître par la suite que les feuilles favorables au régime. Cette nouvelle est très mal accueillie, le national, avec a sa tète Adolphe Thiers, organise la résistance. Son appel est entendu et concourt au déclenchement de ce que l'on va appeler les 3 glorieuses, les émeutes du 27, 28 et 29 juillet 1830. A l'issu de cette période de restauration le journal n'est plus seulement n'est