Adolphe Thiers

doit démissionner le 6 février 1891. Les élections de la nouvelle assemblée ont lieu le 8 février et les monarchistes sont majoritaires. Deux présidents de la république monarchistes sont successivement nommés : Adolphe Thiers puis Mac Mahon. Section 1 : La présidence de Thiers I. Les élections de février 1871 Une assemblée doit choisir : poursuivre la guerre ou conclure la paix face à Bismarck. Il faut aussi choisir un nouveau système : monarchie ou république. Les républicains (Gambetta)

suffrage censitaire depuis la loi de 1833. Le droit dʼéligibilité passe à 30 ans et le cens et abaissé de 1000 à 500 francs. Au sommet de la France se trouvent de nouvelles élites, comme des bourgeois universitaires tels que François Guizot et Adolphe Thiers, plusieurs fois ministres. Egalement une bourgeoisie industrielle avec Casimir Perier et Jacques Laffitte, riches banquiers devenus homme dʼétat français. Les mentalités changent et un système libéral et bourgeois basé sur le mérite et la richesse

gouvernement, manifestant par là la fermeté du régime et l’affirmation de son contrôle de la situation. Le droit du travail qui avait été évoqués dans les débats de l’assemblé est rejeté pour être remplacé par un droit à l’assistance. En effet, Adolphe Thiers évoquait comme argument la dangerosité de promettre un emploi aux travailleurs sans être certain de pouvoir effectivement tenir cette promesse. Ce droit au travail aurait pu également selon lui atténuer les efforts d’épargne des français, déjà

chute et la République est proclamée , le 4 septembre 1870 . L’armistice signé , les élections législatives du 8 février 1871 portent à l’Assemblée une majorité monarchiste laquelle désigne chef du pouvoir exécutif de la République française , Adolphe Thiers . Ce dernier exerce ses fonctions sous l’autorité de l’Assemblée , avec le concours de ministres qu’il choisit . C’est la fameuse « constitution » Rivet du 31 août 1871 qui investit l’Assemblée d’un pouvoir souverain . Le Président de la République

permis au pays de surmonter de redoutables épreuves, dont celle de la Première guerre mondiale. La troisième République voit le jour après la chute du second Empire et au lendemain de la défaite contre le jeune Empire Allemand en 1871. Adolphe Thiers en est le premier président. La défaite à Sedan avait fragilisé la nation française, dans le sens où le monde politique été partagé entre le retour à une monarchie et la mise en place d’une République durable. Le système politique français était

(1824-1830), l'une d'elle, (ordonnance Poliniac), prévoie de supprimer toutes les autorisations de parution pour ne laisser renaître par la suite que les feuilles favorables au régime. Cette nouvelle est très mal accueillie, le national, avec a sa tète Adolphe Thiers, organise la résistance. Son appel est entendu et concourt au déclenchement de ce que l'on va appeler les 3 glorieuses, les émeutes du 27, 28 et 29 juillet 1830. A l'issu de cette période de restauration le journal n'est plus seulement n'est

être trouvé car les monarchistes ont peu à peu renoncer à remettre une monarchie en place. Dès les élections du 8 février 1871, Adolphe Thiers est nommé chef du gouvernement : l’assemblée lui donne les pouvoirs exécutifs. Le premier pas législatif menant aux institutions de la IIIè République est le décret du 17 février 1871 qui a pour but de nommer Adolphe Thiers chef du gouvernement de la IIIè République française. Ce décret est provisoire en attendant une rédaction d’une Constitution. Le gouvernement

Elle est réunie le 12 février, à Bordeaux, et confie à Thiers, le 17 février, la fonction de chef du pouvoir exécutif de la République française. Le 1er mars, l’Assemblée approuve les préliminaires de paix reconnaissant la capitulation de Paris ; ce qui provoque un sentiment d’humiliation dans la population parisienne ; à Paris 36 députés sur 43 sont républicains et hostiles à la paix : Gambetta et Victor Hugo démissionnent aussitôt. Adolphe Thiers, le 18 mars, entend faire récupérer les canons et fusils

une armistice avec la Prusse tandis que les seconds veulent continuer la guerre. Paradoxalement pour une République, ce sont les monarchistes qui remportent les élections de Février 1871 et créent un gouvernement provisoire. Ils nomment alors Adolphe Thiers, républicain modéré à sa tête qui laissera sa place au monarchiste Patrice de Mac Mahon en 1873. Celui-ci, en tant que Président de la République va voir ses pouvoirs reconnus par la loi de Broglie du 13 Mars 1873. Le septennat du Président de

(petit-fils de Charles X, roi sous la restauration), et les orléanistes qui sont partisans du comte de Paris (petit-fils de Louis-Philippe, roi sous la monarchie de juillet). La division est aussi présente chez les républicains, une gauche conservatrice (Thiers) et une gauche traditionnelle (Grévy) et une extrême gauche (Gambetta). Personne n'est pressé de faire une constitution, chez les monarchistes il y a une solution, c'est que le comte de Chambord qui n'a pas d'enfants et est assez vieux, donc on attend