Adolphe Thiers

Mouvement : ses partisans estiment que la charte de 1830 n’est qu’une étape vers un régime plus démocratique. Ils sont favorables à une extension du pouvoir du suffrage (abaissement du cens). On trouve dans ce parti le centre gauche dont le leader est Adolphe Thiers, et l’opposition dynastique dont le leader est Odilon Barrot. - Parti de la Résistance, ou centre droit, estime que l’essentiel a été fait avec la charte de 1830. Cette branche accède au pouvoir avec Casimir Perrier. Il met en œuvre une politique

critère pour accéder au droit de vote et une méthode restrictive. Il existe d’autres impôts et contributions qui ne sont pas prises en compte et qui pourtant pèsent sur une grande partie de la population. Le discours du 31 mai 1850 d’Adolphe Thiers à l’Assemblée législative concerne la restriction du suffrage universel. La gravure diffusée en avril 1848 aborde également le thème du suffrage universel, qui selon la légende, permet une lutte politique loyale. Ces deux documents ont un thème commun

l’avocat et journaliste Marrast. Le parti orléaniste, parrainé par Talleyrand, s’érige en contre et réclame la déchéance de Charles X et l’intronisation du duc d’Orléans. Tous ces opposants sont publiquement soutenus par les fondateurs du National, Adolphe Thiers, Armand Carrel et Auguste Mignet. La presse censurée ne cesse plus dès lors d’être à l’avant-garde du combat, jusqu’à être à l’origine directe des Trois Glorieuses. II. De la crise à la Révolution 1. Les ordonnances de Saint-Cloud

qui décidera de la paix ou de la guerre. Les élections ont lieu dans la confusion et donnent une large majorité à la droite qui s’est prononcée pour la paix. La nouvelle assemblée installée à Bordeaux désigne un président, Jules Grévy et nomme Thiers chef du pouvoir exécutif. Celui-ci forme un gouvernement d’union, des républicains modérés aux monarchistes. Le traité de Francfort (10 mai 1871) instaure la paix avec l’Allemagne au prix de la perte de l’Alsace et de la Lorraine et du paiement

ses œuvres. Ainsi, nous en analyserons certaines. {text:list-item} {text:list-item} -> Les journaux satiriques Après Les Trois Glorieuses, journées de révolte qui ont fait suite à l'appel du Journal Le National, dirigé par Adolphe Thiers (avocat, journaliste, historien et homme d’État français. Il fut notamment ministre et président du Conseil sous la Monarchie de Juillet, député sous la IIe République et pendant le Second Empire, et le premier président de la Troisième République

de mieux, à titre provisoire. B- L’implantation provisoire de la République On ne peut pas restaurer la monarchie mais il faut quand même quelqu’un qui dirige l’exécutif. On va donc dès le 12 février 1871, les députés vont donc désigner Adolphe Thiers qui est un député républicain modéré comme chef du pouvoir exécutif de la République française. Il a été plusieurs fois ministre sous la monarchie de juillet entre 1830-1848. C’est un député républicain très modéré. Son rôle est seulement de gérer

accueille donc en son sein 75 députés d’opposition comprenant entre une trentaine de républicains parmi lesquels siègent Léon Gambetta, Jules Ferry ou encore Jules Favre et Garnier-Pagès, et quelques 45 libéraux d’inspiration orléaniste avec Adolphe Thiers pour chef de file. Quant à la majorité bonapartiste, elle est divisée entre 80 députés favorables à un Empire autoritaire, les « Mamelouks », et un peu plus de 130 députés dits libéraux dynastiques, favorable à un régime plus souple et un essor

notes pour l’exposé du General Boulanger http://www.herodote.net/30_janvier_1879-evenement-18790130.php Ce quatrième président de la République française- convictions républicaines, qui a été précédé par Louis-Napoléon Bonaparte (bonapartiste), Adolphe Thiers (monarchiste/opportuniste), et Patrice de Mac-Mahon (monarchiste résolu). La présidence de Jules Grévy se signale quant à elle par l'affirmation sans ambiguïté du caractère républicain du régime. On adopte la Marseillaise comme hymne national

élue, mais avec une forte majorité royaliste qui remporte les sièges (risque important de voir un retour à la monarchie). Le 17 février, Adolphe Thiers devient chef du gouvernement à 77 ans. Il devient « chef du pouvoir exécutif, en attendant qu'il soit statué sur les institutions de la France », autrement dit, il est là de façon provisoire. On choisit Thiers parce qu'il a un programme de paix et propose un retour à l'ordre. C'est un libéral, et en plus, il a un passé orléaniste. On est dans une

idées d’ordre et de paix. 400 sont élus par les campagnes, plus 30 bonapartistes et 200 républicains venus des grandes villes. Majoritairement royaliste, l’Assemblée élit comme « chef du pouvoir exécutif de la République française » l’orléaniste Adolphe Thiers, qui travaille dans un esprit de neutralité. Il négocie avec Bismarck, conserve Belfort contre l’entrée des Prussiens à Paris mais perd l’Alsace-Lorraine (traité de Francfort du 10/5/1871). C’est alors que survient la Commune. Exaltée par la