Adrian Morales

et lâcheté rester dépendant. Beaucoup de connecteurs marquent le raisonnement. La raison rend libre : il prône aussi la liberté sur un ton injonctif : chaque homme doit devenir libre. 2 registres : didactique et injonctif. Kant évoque la liberté morale et culturelle. Ce texte montre la lutte contre l’obscurantisme. : Lutte contre l’hostilité systématique au progrès de la civilisation.

(1545-1563) → concile qui vise a endiguer la propagation de l'hérésie protestante → vise aussi à reformer la communauté morale => Il s'agit de vivre en bon chrétien tous les moments de sa vie. → association du nom de François de Salles à la contre Reforme. Camus condamne la litté de fiction ms elle existe donc il va la pratiquer en la détournant à des fins morales. → litté édifiante. → Camus critique les romans, romans sont nocifs car émeuvent des passions qui poussent l'homme a agir

forces neuves. Lorsqu'elle se voit délaissée par Félix de Vandenesse, Mme de Mortsauf traverse une tragique épreuve. Son mal dépasse infiniment la vulgaire jalousie, il atteint les régions les plus sombres de son être et jusqu'à cette conscience morale qui paraissait si ferme. Tous les tumultes d'une nature violente, contenus pendant des années par les scrupules de la dignité religieuse et sociale, s'épanchent soudain. Malade, prématurément vieillie et sur le point de mourir Mme de Mortsauf se rend

Durkheim, « il arrive que le crime joue lui-même un rôle utile dans l’évolution ». Il est vrai qu’il prépare à de nouveaux changements utiles et nécessaire à toute la société. Par exemple, le crime de Socrate a permis à l’humanité de préparer une morale et une nouvelle foi dont la société Athénienne avait besoin. Sans son indépendance de pensée les traditions n’auraient pas correspondu avec leurs conditions de vie. D’autres exemples en sont la preuve comme la Révolution qui fut considéré à l’époque

l’homme : sentiment et vérité *se nou*r*rissent et se corrigent Lien du sentiment à la morale Dans cette deuxième partie, nous allons ainsi traiter des différents fils conducteurs entre le sentiment et la vérité. En premier lieu, une nuance de propos s’offre à nous : le sentiment peut autant relever du physique et du psychique, comme nous avons délimité dans notre premier partie, mais aussi de la morale : nous pouvons bien avoir le sentiment d e l’agréable ou du désagréable, et de façon plus

l'histoire et ce n'est pas pour rien, car cultiver son jardin est une métaphore de la croissance personnelle. Il faut « se cultiver ». Par le recours à la fiction et à l'ironie, Voltaire allie plaisir et enseignement. Cet enseignement laisse place à une morale : le bonheur est le fruit du travail et non du rêve. Voltaire dénonce donc l'utopie avec le passage de l'Eldorado (où tout est merveilleux). En effet la philosophie permet de comprendre le monde, mais elle ne pose pas d'action concrète comme le voudrait

son essence (exemple : l'être de l'homme). 5) Avec une majuscule (l'Être), l'être absolu, l'être parfait, Dieu. • étranger : Différent, inconnu. Il est un fait avéré c’est que si autrui n’était pas mon semblable il n’y aurait ni l’idée de morale de respect, ou d’égalité. Autrui est mon semblable parce qu’il est justement homme, tout homme est donc mon semblable. Les stoïciens envisagent la relation à l’autre à partir d’une relation primordiale à soi-même. L’oikoiésis désigne cette appropriation

susceptibles d'être imposées par la contrainte. La morale aussi est un ensemble de règles mais qui s'imposet à la conscience individuelle ou collective, fondés sur les impératifs du bien. Ces deux notions entretiennent une certaine proximité par leur forme et ont toutes deux pour but de réguler la société. Cependant, cette finalité n'est pas atteinte dans les mêmes conditions. On se demande alors est ce qu'il réside un conflit entre le droit et la morale? (quelles sont leur rapports). On étudiera

considération de Colin par rapport aux autres. À la fin, on voit qu'il est heureux, qu'il a un bon travail, et qu'il est stable financièrement. Au contraire, Jeannot, qui a gaspillé son argent, qui a été trahis mainte fois, finit par se ruiner. La morale du conte se situe à la fin du texte : « le bonheur n’est pas dans la vanité », mais il existe aussi d'autres expressions qui montrent les leçons à tirer : « Toutes les grandeurs de ce monde ne valent pas un bon ami » « Les richesses ne servent qu’à

Fleurs du mal. Il est en même temps critique d’art et journaliste et défend Delacroix et Balzac. Le célèbre recueil paraît en 1857. Dès sa parution il fait scandale, et, toujours en 1857, Baudelaire est poursuivi pour « outrage à la morale religieuse » et « outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs ».Il sera jugé, paiera une amende et retirera quelques poèmes du recueil. Baudelaire part alors pour la Belgique en 1866.Il organise des conférences mais sans grand succès. Il meurt alors de la syphilis