Affaire Chantal Sébire

assisté, entre 1998 et 2005 les textes règlementaires et législatifs ont cependant élargi les possibilités de cessation de l'acharnement thérapeutique et étendu les droits du malade «à une fin digne» et dans la pratique judiciaire, la plupart des affaires ressortissant à ces questions donnent le plus souvent lieu, depuis le début de la décennie 2000, à des non-lieux ou à des peines symboliques. Dans le cas d'une personne n'étant pas gravement malade, la simple connaissance du projet suicidaire sans

assisté, entre 1998 et 2005 les textes règlementaires et législatifs ont cependant élargi les possibilités de cessation de l'acharnement thérapeutique et étendu les droits du malade « à une fin digne » ; et dans la pratique judiciaire, la plupart des affaires ressortissant à ces questions donnent le plus souvent lieu, depuis le début de la décennie 2000, à des non-lieux ou à des peines symboliques. Dans le cas d'une personne n'étant pas gravement malade, la simple connaissance du projet suicidaire sans

 après discussion et accord de la famille, le Dr Frédéric Chaussoy  décide d'arrêter toute mesure de réanimation et d'injecter du chlorure de potassium, entraînant  le décès de Vincent Humbert.  Cette affaire a relancé le débat sur l'euthanasie en France.  Vincent Humbert Marie Humbert Chantal Sébire    Chantal Sébire était une enseignante française, atteinte d'un esthésioneuroblastome, une  tumeur évolutive des sinus et de la cloison nasale, qui lui déforme cruellement le visage. Cette  maladie rarissime et incurable

signataire de CEDH dont l'article 2 dispose que la mort ne peut être infligée intentionnellement à quiconque. Le Code pénal, envisage l'euthanasie active comme un homicide volontaire. Cela afin d'éviter des déviances : euthanasies abusives → Affaire Christine K. L'euthanasie active est interdite, mais les médecins la pratique quand même. Selon une enquête menée par The Lancet, publiée dans le quotidien Le Monde le 8 mai 2002, l'euthanasie active est belle et bien pratiquée par les médecins

autres - Euthanasie active : débat perpétuel (affaire HUMBERT, affaire Chantal SEBIRE) Rappel de la définition : insister sur le fait que ce soit l’action d’un tiers. Prohibition totale de l’euthanasie active, personne ne peut disposer de la vie d’autrui même avec son consentement. Prohibé par le CP et Code déontologie des médecins Hypocrisie sur le sujet car la plupart du temps, auteur de l’euthanasie bénéficie d’un non lieu (affaire HUMBERT) - en dehors des cas ou l’individu peut

b) L'euthanasie passive et indirecte c) Les autres formes d'euthanasie:l'aide au suicide;le suicide assisté ;le testament de vie ;le droit de refuser les traitements II- Témoignages a) Ceux qui ont combattus pour la légalisation (Exemple de Chantal + procès des infirmières + Vincent Humbert)Ceux qui combattent toujours (associations etc …) + avis de la population b) Ceux qui sont contre (époux Vigand) c) L'avis de médecins III- Les limites et conclusion a) A partir de quel moment peut-on

assisté, entre 1998 et 2005 les textes règlementaires et législatifs ont cependant élargi les possibilités de cessation de l'acharnement thérapeutique et étendu les droits du malade « à une fin digne » ; et dans la pratique judiciaire, la plupart des affaires ressortissant à ces questions donnent le plus souvent lieu, depuis le début de la décennie 2000, à des non-lieux ou à des peines symboliques. Dans le cas d'une personne n'étant pas gravement malade, la simple connaissance du projet suicidaire sans

d'un accident sur la route. L'euthanasie étant interdite en France, son affaire a soulevé de nombreux commentaires face à son désir de mourir. Le 24 septembre 2000, Vincent, jeune pompier est victime d'un grave accident de la route qui le rend aveugle, muet et tétraplégique mais gardant toute sa lucidité. Il est alors hospitalisé au centre hospitalier Hélio-Marin, à Berck. En novembre 2002, à l'aide de son animatrice Chantal, Vincent rédige sa «quête de droit de mourir» au Président de la République

militent en faveur d’un "droit à mourir dans la dignité", d’autres s’interrogent sur le fait de "s’accorder le droit de donner la mort" et redoutent "des risques de dérives". La médiatisation de certaines affaires de fin de vie particulièrement dramatiques (Les cas de Vincent Humbert et Chantal Sébire) ont fortement marqué les esprits et contribuent à alimenter le débat. Enfin, l’euthanasie divise la classe politique. De nombreuses propositions de loi sont régulièrement déposées à l’Assemblée nationale

demande ou provoque une euthanasie active pour soi-même ou autrui (un membre de sa famille par exemple) ? * La tentative d'euthanasie est elle réprimée ? * Quelles sont les sanctions encourues ? * Actualité : législation et les "affaires" HUMBERT, SIMON, SEBIRE... SOINS PALLIATIFS * Quels sont les moyens mis en oeuvre pour le développement des soins palliatifs ? | | Qu'est-ce que l'euthanasie ? | * Ethymologiquement, "euthanos" signifie la "bonne mort". * Au sens moderne