Affirmation De La Souveraineté Royale

Europe fondés sur la souveraineté et l’égalité des Etats, ce qui donne naissance dans un troisième temps à un véritable système westphalien, dont certains vestiges subsistent encore aujourd’hui. I- La Guerre de Trente Ans permet l’affirmation de la notion d’Etat La Guerre de Trente Ans accélère l’affirmation de la notion d’Etat comme entité souveraine et acteur politique par rapport à une conception féodale du pouvoir qui dominait jusqu’alors en Europe. Cette affirmation sera consacrée en

féodal (système progressivement contesté donc centralisé entre les mains d’un pouvoir unique) Roi de France va affirmé sa souveraineté = puissance du roi supérieure aux autres. Souveraineté qui va s’exprimer vers l’extérieure = écarter autres pouvoir Souveraineté qui va s’exprimer vers l’intérieure = affirmation du pouvoir a l’égard des sujets ( pas citoyens) Cette affirmation se fait a l’intérieure d’un territoire avec monopolisation puis apparaît l’idée territorialisation de l’Etat. B) institutionnalisation

(le Parlement de Paris), idéologiques (les réactionnaires)… En 1759, Diderot est même emprisonné pendant quelques mois. Cependant, des personnes importantes usent de leur influence pour soutenir l’œuvre, comme Malesherbes, directeur de la Librairie royale, ou Mme de Pompadour (la favorite de Louis XV). La première édition se vend à 4300 exemplaires. En comptant les multiples rééditions, la diffusion atteint 25000 exemplaires avant 1789 : c’est un véritable succès. Textes de L’Encyclopédie

répression contre le protestantisme.Cela aboutit à un texte essentiel : l’Edit de Janvier, qu’on va appeler un édit de tolérance. Cet édit est central car il déclenche les guerres de religion. Dans ce texte voulu par Catherine de Médicis, donc le pv royal, on va réaffirmé dans ce texte :· La liberté de conscience· Octroi de la liberté de culte avec des conditions importantes (elles entrainent la guerre) : possibilité de pratiquer le culte dans les faubourgs de la ville, et un culte privé dans les foyers

sauf ceux qui ont des services distingués à Rome, ceux qui se sont distingués au combat, ou des princes et des rois de cités alliées. Section 2 : Les sources du droit romain Les trois périodes du droit romain : -    l’avant droit romain : la période royale (509 avant JC) et la période archaïque -    la période du droit classique qui concerne le République et l’Empire jusqu’en 284 après JC -    le droit postclassique ou tardif (de 284 après JC à 476 en Occident et jusqu’au milieu du 6ème siècle en Orient

SECTION 1ERE l’idéologie révolutionnaire : la DDHC de 1789 Paragraphe 1er l’objet de la déclaration : l’universalité 18.09.13 La volonté des députés est d’établir, de rédiger une constitution qui délimiterait les compétences du pouvoir royale, législatif et judiciaires. Du 17 août au 26 août 1789, il y a un grand débat constitutionnel à l’assemblée. Dans ce débat ressort la nécessité d’imposer des valeurs politiques, une idéologie politique et de cette idéologie découlerait les principes

l’absolutisme, c’est donc l’essence du pouvoir du roi qui est en jeu. L’absolutisme débouche sur une conception assez particulière de la souveraineté, héritée des temps les plus anciens, et qui se trouve, au XVIII° siècle, remise en question, discutée. Les philosophes demandent une redéfinition du pouvoir absolu du roi. Dire que le roi exerce une souveraineté absolue, c’est mettre l’accent sur le fait qu’aucune instance ne peut empêcher le roi de décider seul en dernier ressort. La monarchie,

.....27 §1. De la féodalité à la reconquête royale. ..........................................................27 § 2. La souveraineté absolue...............................................................................33 Section II. Les évolutions du droit ..........................................................................36 § 1. Les droits savants (droit romain, droit canonique). ......................................36 § 2. Les lois royales et coutumes : deux sources complementaires de

République, Editions Pion, Paris 1992. aussi bien que les doctrines, le grand recul du communisme, le grave déclin de son idéologie dont l'une des fonctions a été de servir de puissant vecteur à la thèse opposée de l'unité du pouvoir de l'Etat, les affirmations nouvelles d'une fin de l'Histoire au niveau d'un libéralisme inachevé et triomphant4, fortement controversées, mais stimulantes pour la réflexion et dans tous les cas caractéristiques de l'époque que nous vivons, ne peuvent que conforter le principe

figure, honnête et de bon conseil ». Et il raconte de Frédégonde (qu’il n’aimait pas) : « son influence est néfaste ». Il rappelle qu’elle est de basse lignée, qu’elle est une ancienne concubine devenu reine de Neustrie après avoir étranglé l’épouse royale (la sœur de Brunehaut), elle n’était que de vulgarité, que de bassesse. Elles passeront leurs vies à se discuter (Brunehaut pour étancher sa soif de vengeance envers sa sœur), et à déstabiliser le royaume. Elles se livreront à de nombreux combats