Affreux

Vocabulaire guerrier « premier duel », « les dangers », « affreux combat », « lâcheté » + devoir qu’il doit accomplir « l’affreux combat que le devoir livrait à la timidité » - Futur marque la volonté de Julien « j’exécuterai », « je monterai ». - Aucunes désirs amoureux, juste devoir, défi. - Ennemis présents sur le champ de bataille Mme Derville et Mme de Rênal. - Ironie de la part de Stendhal qui se moque de Julien « affreux combat » > comme si c’était un combat de Titans. Création

référence a son parcours personnel : Il a été enfermé deux fois a la bastille. On a : 3 oxymores : Affreux Château ; palais vengeance ; crime et innocence. La personnification dénonce l’injustice, l’autorité qui enferme des innocents. (on a ici une critique des lettres de cachets)  Critique de la corruption à la cour a travers le personnage de Saint-Pouange qui livre à Mlle de Saint-Yves un affreux chantage. Corruption : La corruption est l'utilisation abusive d'un pouvoir.  « Pourquoi ai-je

: l’expression de la subjectivité donne au discours le ton d’une confidence adressée a son correspondant – et de ce fait au lecteur. On repère aussi l’expression des sentiments, par exemple dans la phrase : « j’entrai tout à coup dans un néant affreux ». 2. L’intensité dramatique Le récit présente une forte intensité dramatique, soutenue par différents procédés. La première catégorie de procédés tient à l’expression de la subjectivité, dont nous avons déjà relevé certains aspects. Nous

militaire Lexique du combat : « premier duel » « les dangers » « affreux combat » « lâcheté » … Futur, marque la détermination (volonté d'agir) « j'exécuterai » « je monterai » Présence d'ennemi : Mme Derville « près de son amie » 2- La parodie, le burlesque Ironie de Stendhal présent tout au long du passage : • Julien : piètre héros ; Stendhal se moque de sa lutte perpétuelle entre l’héroïsme et la peur → « affreux combat » → exagéré • décalage paroles de Julien héroïques et émotion

Il semble que, que quand il s’agit d’un parricide et de livrer un père de famille au plus affreux supplice, le jugement devrait être unanime, parce que les preuves d’un crime si inouï devraient être d’une évidence sensible à tout le monde: le moindre doute dans un cas pareil doit suffire pour faire trembler un juge qui va signer un arrêt de mort. La faiblesse de notre raison et l’insuffisance de nos lois se font sentir tous les jours; mais dans quelle occasion en découvre-t-on mieux la misère que

noire Qu'on appelle succès n'osant l'appeler gloire. C'est pourquoi tous, martyrs et bourreaux, je les plains. Hélas ! malheur à ceux qui font des orphelins ! Malheur ! malheur ! malheur à ceux qui font des veuves ! Malheur quand le carnage affreux rougit les fleuves, Et quand, souillant leur lit d'un flot torrentiel, Le sang de l'homme coule où coule l'eau du ciel ! Devant un homme mort un double effroi me navre. J'ai pitié du tueur autant que du cadavre. Le mort tient le vivant dans sa

violence intellectuel « on me faisait de force ingurgiter », « on me fourrait sous les os maxillaires » qui sont utilisés par des instruments de torture durant une séance de supplice qu'est devenus les mathématiques « un boisbertrand funèbre », « affreux chevalet des X et des Y », « du diviseur prêtant main-forte au quotient ». Ceci, désigne l'emploie de méthodes cruelles pour lui imposer les mathématiques. En troisième temps, le poème semble être une autobiographie de Victor Hugo, qui raconte

mort fut une bien grande punition pour lui, qui désormais n'a plus qu'à mourir. Nous parlerons ensuite de la peur, très présente dans le passage, et de la folie. On remarque un champ lexical de la peur poussé («frissonne», «horreur», «affreux»), qui montre bien que le sentiment qu'éprouve Oreste lorsque la folie l'atteint est bien de la peur, même inconsciente. Il est facile de discerner la peur d'Oreste lorsqu'il voit Pyrrhus et Hermione enlacés, cela semble être ce qu'il redoute le plus

dans sa forme, permet d’accentuer le côté tragique de cette description de l’aveugle. En effet le rythme lent du au rythme haché des trois premiers vers donne une impression oppressante et inquiétante : « Contemple-les mon âme ; ils sont vraiment affreux.  Pareils aux mannequins ; vaguement ridicules ; Terribles, singuliers comme les somnambules ; » Les sonorités du poème sont principalement des voyelles fermées. Les voyelles fermées sont plus utilisées pour exprimer la tristesse du poème

peut rien y faire, elle ne peut lutter contre son amour. « Faible mortelle »(victime des Dieux. N’a aucune puissance, ne peut lutter. « séduire » = égarer = faire sortir du chemin. « Fuis […] chassé »(amour démesuré + image d’un monstre affreux. Rechercher la haine d’Hippolyte. « Odieuse, inhumaine »( monstre. + rechercher la haine d’Hippolyte. « Inutiles soins »( Phèdre fait des efforts inutiles pour lutter contre cet amour : fatalité. « Tu me haïssais plus, je ne t’aimais pas