Affreux

principal sur les autres est extrêmement péjoratif. Il les considère comme des « êtres monstrueux, cruels, hideux, ignobles » (l.11). De plus, l’auteur les décrits comme une « race douée de raison » (l.11) « rampant » (l.22), et émettant un « bruit affreux et étrange » (l.23-24). Ici, l’Autre est donc animalisé. Sachant qu’à la fin du texte le lecteur découvre que les Autres sont des Hommes, on en conclu que l’Homme est animalisé, et presque déshumanisé. On peut aussi conclure que le point de vue qu’à

qui t’attend (en pleurant), apprends que je t’aimais ; apprends que je faisais mon bonheur de partager ton mauvais sort. Misérable Lindor ! J’allais tout quitter pour te suivre. Mais le lâche abus que tu as fait de mes bontés, et l’indignité de cet affreux comte Almaviva, à qui tu me vendais, ont fait rentrer dans mes mains ce témoignage de ma faiblesse. Connais-tu cette lettre ? LE COMTE, vivement. Que Votre tuteur Vous a remise ? ROSINE, fièrement. Oui, je lui en ai l’obligation. LE COMTE. Dieux

violence, de mort : « Je voulais me briser le front sur le pavé », la souffrance est telle que V. H. voudrait se donner la mort pour y échapper. Cela le pousse ensuite à se révolter. Le champ lexical de l’horreur (« terrible », « horrible », « affreux », « malheur sans nom ») évoque le choc éprouvé par V.H. lorsqu’il prend connaissance du drame qui le pousse à réagir. Vers 7 à 9, la ponctuation et la répétition des mots « et » et « puis » donne un rythme saccadé au texte pour recréer le cheminement

une ambiance étrange avec le personnage qui raconte ses souvenirs d’enfances. Par contre nous avons un peu de références géographiques, on sait que l’histoire débute dans un château lugubre « le château était infiniment vieux et infiniment affreux ». Nous savons aussi qu’il attend quelque chose durant de longues nuits, qu’il ne sait définir lui-même. « Ainsi, tout au long d’interminables crépuscules je rêvais et j’attendais ; j’attendais je sais quoi. » On ne sait pas non plus grand-chose

réputation que vous vous êtes acquise et que j’ai tant souhaitée. // Ayez la force et du courage, ma fille, retirez-vous de la Cour, obligez votre mari de vous emmener ; ne craignez point de prendre des partis trop rudes et trop difficiles, quelque affreux qu’ils vous paraissent d’abord : ils seront plus doux dans les suites que les malheurs d’une galanterie. Si d’autres raisons que celles de la vertu et de votre devoir vous pouvaient obliger à ce que je souhaite, je vous dirais que, si quelque chose

Montserrat se retrouve quelques instants dans la salle de garde. Il fait les cent pas, tout en regardant par terre. J’ai l’impression d’étouffer entre ces quatre murs ! Je me sens impuissant face à ce dilemme, c’est affreux ! Izquierdo est inhumain ! Il ne peut pas me réduire à un tel choix, je ne veux pas devenir comme lui, comme une machine à tuer, aveugle et cruelle, sans cœur. L’un détient la liberté, et les autres sont innocents. D’un côté un homme, de l’autre côté six hommes. Je demeure seul

rend le récit plus tragique, elles interviennent brusquement « Carnage affreux ! Moment fatal ! L'homme inquiet ! » nous avons une accumulation de phrases exclamatives pour insister sur la perte des soldats, on comprend ici que c'est la fin du combat. La phrase « Carnage affreux ! » a une connotation presque indéfinissable. De plus l'auteur utilise un pléonasme, car un carnage est forcément péjoratif et donc peut être affreux. Cependant la bataille a tellement une vision d'horreur que le carnage

Pourtant, dans cette année, des évènements affreux allaient avoir lieu. Entre ces évènements, on peut distinguer le bombardement atomique d’Hiroshima: Les japonais n’ont pas accepté les conditions de l’ultimatum de Potsdam réalisé par les États-Unis. Par conséquence, ce dernier lança, le 6 août 1945, une bombe atomique sur les villes d’Hiroshima et Nagasaki. Cette attaque tua plus de 140 000 personnes et dura 8 minutes et 37 secondes. Cet évènement fut si affreux et cruel, que de nombreuses oeuvres

nécessaire au financement du cadeau. Voler pour acheter l’affection des adultes… Ce n’était pas exactement du vol et ça n’acheta évidemment aucune affection. Le pot aux roses fut découvert lorsque, durant cette même année, j’offris à ma mère un de ces affreux jardins japonais qui étaient alors à la mode et qui coûtaient les yeux de la tête. L’événement eut trois conséquences : ma mère pleura (ce qui était rare), persuadée d’avoir mis au monde un perceur de coffres (le seul domaine où son dernier-né

douloureusement que nous, comme en témoignent les deux quatrains suivants. Dans la quatrième strophe, annoncé par "tout à coup", effet de surprise: bruit sinistre,. où les consonnes occlusives, le « c » et le « t » sont très présents. Le hiatus sur « affreux hurlement » renforce la tension et le mot « opiniâtrement » fait l'objet d'une diérèse. On observe également des assonances en « i » et « en ». L'image des cloches annonce l'enterrement dans le quatrain suivant. Elles sont personnifiées ("hurlement