Affrontement Hemon Creon

élèves de former 4 groupes (2 groupes de 7 et 2 groupes de 8). ▪ Distribuer à chaque groupe un résumé de texte, l’extrait qui l’accompagne, ainsi que le questionnaire Résumé et extraits proposés o Jean Anouilh, Antigone – affrontement d’Antigone et Créon (extrait) o Eugène Ionesco, La Cantatrice Chauve – Scène 1 o Albert Camus, Les Justes – Acte deuxième (extrait) o Samuel Becket, En attendant Godot – Acte premier (début) et acte deuxième (fin) ▪ Consignes o 1ère

sur un affrontement à visage découvert. Nicomède évoque les manoeuvres de Rome pour s'assurer la maîtrise du Proche-Orient, et l'héroïsme d'un prince qui y résiste. Oedipe (1659) Délibérément, Corneille avoue avoir voulu s'être démarqué de l'histoire originelle en choisissant de prendre "une autre route" Oedipe est considéré par Dircé, fille de Laïos comme un usurpateur de son pouvoir. De plus, amoureuse de Thésée, elle refuse d'obéir à Oedipe qui veut qu'elle épouse Hémon, le fils de Créon. Une rumeur

mais un seul peut avoir une sépulture officielle. Créon décide arbitrairement que la dépouille d'Etéocle sera honorée et celle de Polynice laissée à la proie des vautours. Les corps des deux frères étaient tellement amputés qu'il était difficile de savoir qui était qui. Un corps laissé sans sépulture condamne l'âme du défunt à errer éternellement. Aussi Antigone décide-telle de rendre elle-même une sépulture à son frère, en cachette, car Créon a fait promulguer un édit qui punirait toute personne

d'Œdipe (roi de Thèbes) et de ses descendants. Dans l'économie du cycle, Antigone est la dernière pièce, mais elle a été écrite avant les autres. Résumé Antigone fait part à sa sœur Ismène de son intention de braver l'interdiction émise par le roi Créon (leur grand-oncle) d'accomplir les rites funéraires pour leur frère Polynice — tué par son autre frère Étéocle lors d'une bataille où chaque frère voulait la mort de l'autre pour devenir roi de Thèbes et où chacun d'eux perdit la vie. Antigone risque

points de vue des Edyevei~ en ce qui concerne leur primauté naturelle sur la populace. Mais une telle affirmation n'est pas du tout illustré par I'analyse des dites tragédies; Citti ne fait qu'une allusion sommaire aux contradictions et aux affrontements de la société athénienne et tout de suite aprPs i1 les authentifie grice 2 un tas de citations: des phrases que les personnages prononcent, sans aucun égard du moment oii ils les disent, devant qui, avec que1 objet7. Ainsi le caractcre dialectique

s'appelle Créon qui monte sur le trône et le premier ordre de ce dernier c'est d'interdire que soit rendu à Polynice les honneurs funèbres (Pour les grecs tout mort qui n'a pas reçu les rîtes funéraires sont condamnés à errer entre le monde des vivants et des morts sans jamais être en paix). La tragédie s'ouvre sur une discussion entre Antigone et Ismène pour rendre les rîtes à leur frères. Elle estime que c'est un devoir religieux. Dans la scène suivante, on voit le nouveau roi Créon qui devant

sous sa forme presque définitive en 1942. Après avoir reçu l’autorisation des Allemands, elle fut jouée pour la première fois le 4 février 1944 dans une mise en scène de Barsacq avec Monelle Valentin dans le rôle d’Antigone et Jean Davy dans celui de Créon. Plusieurs représentations eurent lieu plus tard à Paris, à Bruxelles, à Rome et à Londres. Elles furent toutes couronnées d’un succès total. 204 REPERES I- LE MYTHE Le mythe est un récit anonyme qui met souvent en scène un conflit entre

mort : désormais, l'issue funeste n'est plus une nécessité. Même si par la suite Jean Racine substitue la passion à l'action héroïque, il ne conçoit jamais la tragédie comme une déploration, mais comme une intrigue qui progresse au rythme des affrontements et des coups de théâtre. En définitive, si opposés qu'ils puissent être par ailleurs, Corneille et Racine fondent leur dramaturgie sur une conception du genre tragique qui n'est plus celle de l'écrasement de l'homme, mais celle des conflits intérieurs

C’est Oreste tuant Clytemnestre) · le héros connaît l'identité de sa victime, s'apprête à agir et renonce à son acte (situation révoltante et peu tragique car il n'y a pas d'acte pathétique. C’est Hémon devant Créon) · le héros ne connaît pas l'identité de sa victime et commet un acte de violence ; il ne reconnaît sa victime qu'après coup (ce qui est une bonne situation tragique) ·

prisonniers. Mais au début de l'année 422, ce démagogue belliciste mourut en Thrace, où il s'efforçait de reprendre une ville alliée d'Athènes, Amphipolis, tombée sous la domination du Spartiate Brasidas. Et Brasidas mourut dans ces mêmes affrontements. Cette double disparition affaiblissait le parti de la guerre dans les deux cités, les partisans de la paix parlaient avec plus de force et au printemps 421 était signée une trêve, prévue pour durer cinquante années. La représentation de notre