Affrontement Hemon Creon

met fin aux années d’exil qu’elle a partagées avec son père pour rentrer à Thèbes et tenter d’empêcher la guerre que s’apprêtent à se livrer ses 2 frères. Le roman conte donc les tentatives de conciliation, l’affrontement inévitable, les calculs de Créon et le duel fratricide. Il se fait aussi l’écho du passé des personnages, éclairant ainsi subtilement la complexité de leurs relations. Le temps du récit est moins resserré et c’est l’occasion pour l’auteur d’exposer les désirs, les failles, les bonheurs

mouvement lignes 1 à 13 : Créon, une figure paternelle- deux verbes à l’impératif présent : empressement de Créon, sentiment d’urgence à rendre Antigone heureuse, à la sauver d’elle-même ligne1- apostrophe : « Antigone » : il s’adresse à elle, l’invective, sentiment de supplication.- lignes 2/3 : métaphore de la vie et de la fuite du temps, toujours sentiment d’urgence, bonheur

entretués, Créon, leur oncle, prit le pouvoir, ordonna des funérailles somptueuses pour Étéocle, mort en défendant sa patrie, tandis qu’à l’égard du traître Polynice, à titre d’exemple, il promulgua que «Quiconque osera lui rendre les devoirs funèbres sera impitoyablement puni de mort» et décréta que son corps, laissé sans sépulture, devait pourrir sur le sol, ce qui, pour les Grecs, était la sanction la plus terrible. La « petite Antigone », leur soeur, rompt avec son fiancé, Hémon, le fils de Créon, sans

voix intérieure qui lui exige d'enterrer son frère Polynice malgré l'interdiction du Créon On peut conclure que le drame de Sophocle est basé sur l'antagonisme entre la fatalité et la volonté du héros. Cette lutte arrive à son point quand les deux protagonistes chacun d'eux insiste sur son point de vue sans y renoncer, en plus leur conflit permanent qui va aboutir à la fin à une situation dramatique. Par exemple Créon face à Antigone. Le style de Sophocle ressemble celui d'Eschyle surtout de côté simplicité

d’une confrontation entre deux approches du pouvoir, celle de Créon et celle de sa nièce Antigone * Différence, aussi, entre Antigone d’Anouilh et celle de Sophocle, qui et son intertexte principale : chez Sophocle, Créon est présenté comme un tyran, alors que chez Anouilh, il apparait comme un homme plus sage et plus mesuré. Si le pouvoir de Créon est illégitime chez Sophocle, c’est donc avant parce qu’il est mal exercé (en ce sens Créon s’oppose à Œdipe). En revanche, chez Anouilh, c’est la possibilité

2400 ans, et une réflexion sur les événements historiques contemporains. Antigone est fille d'Oedipe, souverain de Thèbes. Après le suicide de ce dernier, les deux frères d'Antigone, Etéocle et Polynice, se sont entretués pour le trône de Thèbes. Créon, le nouveau roi, a décidé de n'offrir de sépulture qu'a Etéocle et non à Polyce, qualifié de traitre. Il avertit que quiconque osera enterrer le corp du renégat sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice est abandonné

Un jour, Mr Jones, accompagné d'autres fermiers, tente de reprendre la ferme, mais les animaux, en particulier Boule de neige et le cheval Malabar, se battent avec courage et les repoussent. Tous deux sont décorés pour leur vaillance dans cet affrontement, que l'on nomme la bataille de l'étable. Quelques semaines plus tard, Boule de neige a l'idée de créer un moulin à vent sur la colline, pour générer de l'électricité et alléger le travail des animaux. Napoléon catégoriquement opposé à ce projet

mais les deux meurent —, et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »). Alors qu'Antigone s'en va accomplir ce qu'elle estime être son devoir religieux, Créon développe, avec quelque grandiloquence, devant le chœur des vieillards thébains — choisis pour leur docilité — sa philosophie

force quand l'Etat tombe en décadence”. Antigone, c'est l'histoire, mais non celle des pauvres. Ceux-là n'apparaissent pas dans la pièce. Ils ne comprennent pas l' histoire. On parle et on agit pour eux; Ils sont tout juste bons à mourir en serant Créon qui lui même ne fait que brandir le glaive que les marchands et les bourgeois lui ont donné pour défendre leurs intérêts. Assurément, comme l'affirme Brecht dans la préface écrite en 1948, ” même si on se sentait obligé de faire quelque chose pour

Sophocle : affrontement d’Oedipe et de Tirésias, v. 300 – 462. b. extrait d’Œdipe de Sénèque : affrontement d’Oedipe et de Créon, v. 660 – 708. 2. ANTIGONE : affrontement d’Antigone et de Créon, v. 446 – 581. 3. MÉDÉE : a. extrait de Médée d’Euripide : affrontement de Médée et de Jason, scène finale. b. extraits de Médée de Sénèque : affrontement de Médée et de Jason, v. 431 – 578 Médée tue ses enfants, scène finale. 4. LES ATRIDES : extrait de Thyeste de Sénèque : affrontement de Thyeste