Age D Or De La Prospérité Capitaliste De 1945 1973

prévention des guerres au travers du principe de sécurité collective, la résolution des conflits par la négociation et l’amélioration globale de la qualité de vie. Basée à Genève, dans le Palais Wilson puis le Palais des Nations[2], elle est remplacée en 1945 par l’Organisation des Nations unies. La SDN, dont les Etats-Unis ne sont pas membres et qui ne dispose pas de forces militaires en propre, est considérée comme un échec et ne parvient pas a enrayer la guerre civile espagnole et la montée en puissance

des impérialismes, de crises économiques et politiques, qui conduit au monde contemporain qui se mettra en place après 1945. Chapitre 1 – Genèse de la société moderne : l’économie de marché et le capitalisme (XVe-XVIIe) Dans ce chapitre, nous aborderons deux périodes : 1) Celle qui précède le capitalisme (11 e-15e) : c’est la période des économies traditionnelles du Moyen Age (voir Brasseul, Tome 1), qui, malgré le poids des traditions et des blocages économiques, constituent un monde qui bouge

PARTIE 1 LES « TRENTE GLORIEUSES » (1945-1973) L’âge d’or du mode de développement fordiste υ Du point de vue du développement capitaliste, la période 1945-1973 correspond, dans les PDEM, à la maturité et à la plénitude du mode de développement fordiste ou fordisme. υ On évoquera synthétiquement ce mode de développement, en rendant compte successivement de ses trois « composantes » : ? Le mode d’accumulation, qu’on qualifiera d’intensif. ? Le mode de régulation, qu’on qualifiera

en 1914 (mais réussi en 1940). Les deux camps improvisèrent des lignes de tranchées défensives et de fortifications et ce durant 3 ans dans une guerre effroyable qui fit de nombreux morts. En effet, les français perdirent 20% des leurs hommes en age de porter des armes, l'Allemagne 13% et les Britanniques près de ½ million (de moins de 30ans). Toutes ses pertes et les horreurs ont provoqués une certaine animosité envers la la guerre et des conséquence encore plus sombres notamment sur le plan

internationalement et qui en a fait le paradigme mondial indiscutable. Face à une telle question, seule une étude historique sur la préexistence, la naissance et le développement de la globalisation financière est capable d’apporter des éléments de réponse probants. Or, bien que depuis les travaux de Karl Marx, Max Weber, Fernand Braudel, Werner Sombart, Michel Beaud, etc., les problématiques afférentes à l’histoire de l’internationalisation du capitalisme et à la mondialisation, en général, ont fait couler beaucoup

GENERALE DE 1914 A 1979 Introduction générale - Présentation du cours. Au cours de l’année dernière, nous avons évoqué le processus en très longue durée qui, à partir de l’essor continu de l’économie d’échanges intervenu depuis le coeur du Moyen Age, avait abouti à l’industrialisation, au XIXe siècle, de l’Europe occidentale et de l’Amérique du Nord. Cette industrialisation, inaugurée par la Grande-Bretagne dès le XVIIIe siècle, s’était elle-même accompagnée d’une domination renforcée de l’Europe

représentent une part importante de la fortune. 40 Développement du commerce et de la colonisation 40 Section 3 : L’industrialisation et ses conséquences : des exemples nationaux 41 Section 4 : Les principales doctrines économiques et le système capitaliste 41 Introduction 41 L’école classique: Adam Smith, David Ricardo et Thomas Malthus 42 B. Adam Smith hier et aujourd’hui 45 C. L’influence d’Adam Smith 46 Le capitalisme et éléments de la critique marxiste du capitalisme 47 La révolution attendue

|et plus récemment idées et informations) à l’échelle de la planète. | |industrialisations) ; |- Economie-monde (Fernand Braudel) : | |- après 1945, les pays occidentaux bénéficient d’une croissance |Ce terme désigne une partie de la planète dont les échanges intérieurs| |exceptionnelle qualifiée par l’économiste Jean Fourastié de « Trent |lui permettent d’être économiquement autonome

Le triomphe de cette dernière après la guerre, en Occident, sous tutelle américaine, s’accompagne néanmoins d’une inflexion vers un régime d’“économie mixte”, où l’État est très présent. Des pactes sociaux se scellent dans la plupart des pays capitalistes : sécurité sociale, conventions collectives, indexation et croissance des salaires sont au cœur du compromis par lequel la classe ouvrière accepte de se plier aux nouvelles normes de production venue des ÉtatsUnis et de renoncer à la séduction

privés - la hiérarchie et la nature de leurs relations - Edification d’un nouvel ordre mondial : - sur la base d’un libéralisme rénové - partageant l’animation de l’activité économique entre : - puissantes entreprises capitalistes - syndicats - pouvoirs publics - permettant un rétablissement relativement rapide de la production et des échanges - sans parvenir cependant à briser toutes les barrières cloisonnant l’économie mondiale I. Continuités