Al-Qaïda en Irak

septembre 2001 à 8h 52 heure locale, l’une des deux tours jumelles du World Trade Center au cœur du quartier des affaires de New-York est frappé par un avion de ligne de l’American Airlines. Celui-ci a été détourné par des membres du groupe islamiste Al- Qaida dirigé par Oussama Ben Laden, un Saoudien issu d’une famille très riche d’Arabie qui s’est enrichie dans le bâtiment et la finance, domaine dont le leader terroriste est lui-même un bon connaisseur. Quinze minutes plus tard un autre appareil du même

internationale d'assistance à la sécurité, ou ISAF) ont été renforcés d’un bataillon. Malgré cela, les Occidentaux ne parviennent pas à endiguer la menace des insurgés dans le sud et l’est du territoire où la résistance des Talibans# et des combattants d'Al-Qaïda s’accentue. Le renforcement des effectifs est motivé par le risque d'un échec de la communauté internationale et de l'OTAN dans une zone hautement stratégique où les enjeux internationaux sont majeurs. Nombre d’éléments mettent en exergue la possibilité

l’ouverture des frontières prônée par la mondialisation. En effet, grâce à ce phénomène, les pays développés n’ont aucune difficulté à s’exporter vers ces pays et à contrôler l’exploitation de leurs ressources. L’exemple type est celui de la guerre en Irak qui a provoquée une prise de contrôle de l’ensemble des gisements de pétrole par des firmes américaines qui en tirent des profits incalculables au dépens du pays lui-même et de sa population qui n’a jusqu’à présent pas encore vu « la couleur de cet

pour tous les États d'appliquer le droit international [...] Notre idéal est une communauté internationale d'États de droit qui soumettraient leurs activités en matière de politique extérieure au droit ». 2 En 1991, à la suite de sa victoire sur l’ Irak, Georges Bush exprime de façon très claire une vision du monde reprenant cet idéal: « Maintenant, nous voyons apparaître un nouvel ordre mondial [… ], un monde où les Nations Unies, libérées de l’ impasse de la guerre froide, sont en mesure de réaliser

l’insularité ou de l’enclavement au centre des continents. - Peu d’intérêt des FMN (soucieuses de profits) pour ces marchés éloignés ou peu solvables. 3. De graves problèmes internes - Des menaces politiques : guerres civiles (Irak, Somalie), instabilité politique forte (Irak, Madagascar)… - Un isolement politique de certains Etats, soit volontaire (Corée du Nord) soit imposé (Cuba mis sous embargo). La mondialisation encourage les échanges commerciaux et l’uniformisation des comportements. Mais ce

en bonne forme relative. Il ne s’agit plus de gérer la crise mais d’entretenir la croissance. C’est d’ailleurs ce qu’Obama voulait marquer par ses mots inauguraux “il est temps de tourner la page”. Il voulait aussi tourner la page du terrorisme. Al Qaida n’est plus considéré comme une menace prioritaire, le mot n’ayant pas même été prononcé. De même, Guantanamo, qui n’est toujours pas fermée, a été abordée rapidement : Obama a réitéré sa volonté der fermer le camp en quelques phrases. 7) Quelle

D’abord, avant de se lancer dans une étude plus approfondie du phénomène, il serait intéressant de faire une brève mise en situation. Depuis des années, la population du Moyen-Orient se radicalise contre l’Occident, que ce soit notamment avec Al Qaida en Arabie Saoudite ou avec les Frères Musulmans en Égypte. De plus, cette haine est alimentée par un support occidental, pour ne pas dire américain, à l’Israël. Il faut aussi souligner l’éternelle rivalité entre Sunnites et Chiites, ces derniers

mondiale qu'ils dominent. Protectionniste pour euxmêmes, ils défendent la politique de la « porte ouverte » dans les pays où ils investissent. Le dollar est la seule monnaie convertible en or depuis 1918 et concurrence la livre sterling. Les dettes des al liés leur donnent un moyen de pression sur les Européens. Ils imposent ainsi un allègement des réparations allemandes (indemnités de guerre) avec les plan Dawes (1924) et Young (1929) du nom des deux banquiers américains qui les ont négociés. La crise

2012 Retrouvez chaque vendredi l’essentiel de la campagne. Sans langue de bois. la blague de la semaine Je trouverai des solutions aux problèmes des vivants et des morts en France. samir chaâbna, correspondant de l’ENTV et tête de liste du Front Al Moustakbal à Marseille. canard de campagne annaba : un SG remercié et une tête de liste dans de beaux draps La daïra de Annaba est sans secrétaire général. Ce dernier, selon des sources sûres, a été remercié en fin de semaine pour «relations et

dissidente des FARC, suive le même chemin que les FARC et que la médiatisation fasse grimper le Philippe Lobjois : Il faut bien comprendre que, dans le monde, il y a des otages politiques et d'autres financiers. On a vu, en Irak, que les otages pris par le groupe de Zarkaoui, donc Al Qaida, étaient quasi systématiquement exécutés. On est là dans une autre dimension. Il n'y a pas de négociations. Quelques personnes sont passées au travers mais il faut se rappeler de cette époque où les otages étaient exécutés