Al-Qaïda en Irak

Raffinerie Pétrole: cause de conflits Etats-Unis/Irak: Il y a eu plusieurs conflits pour le pétrole dans le monde, mais le plus gros a été entre les Etats-Unis et l'Irak. L'Irak est l'une des plus grandes sources de pétrole au monde, c'est une des raisons pour lesquelles les Etats-Unis les ont attaqués. Les Américains ont trouvé que le moment opportun de s'approprier du pétrole était juste après l'attaque du 11septembre menée par Al-Qaïda. Les USA ont fait croire au peuple que c'était des représailles

l’Egypte déclarent la guerre à ce tout petit pays. 80000 hommes ont réussi en une année de gagner l’ensemble des armées arabes et agrandir son territoire. Cela explique que les Israéliens se battent pour une idéologie et leurs survies. EX2 : Irak et Afghanistan : pourquoi les puissances occidentales n’arrivent pas à s’imposer pour un seul objectif combattre le terrorisme. Le fait que les soldats partent d’une base française en Corse pour aller se battre dans les montagnes afghanes aux noms

sept a démontré le potentiel que recèle désormais la fonction pdcielle • Une symbolique en chasse une autre : jadis garant du progrès démocratique, le pdt est devenu l’incarnation d’un recul démo, le fauteur de tyrannie • Depuis la guerre en Irak, l’on assiste de nouveau à une réactivation de la tension qui structure le «dessein démocratique » am : la coexistence d’un anti-étatisme prononcé d’une part et d’autre part une forte volonté d’exprimer par le processus électoral une déf du bien que

conflits ont connu une évolution dans leur nature : De nos jours, de nombreux conflits parcourent encore le monde mais il ne s’agit plus, pour l’essentiel, de guerres entre Etats. Depuis trente ans, celles-ci sont limitées à quelques exemples : Iran et Irak (1980-1988), Argentine et RU (la guerre des Malouines en 1982), Tchad et Lybie en 1981, guerre du Golfe en 1991 puis guerre d’Irak en 2003. Aujourd'hui il s’agit désormais de conflits intra-étatiques qu’on nomme souvent « guerres asymétriques ». Les

propagande par le fait menacée d'épuisement. Les symboles sont, bien entendu, mobilisés. C'est là que prennent place les démolitions d'édifices cristallisant le Mal: les Talibans font exploser les statues mégalithiques d’Afghanistan, et les agents d'Al-Qaïda rasent les Twin Towers, comme avant eux les révolutionnaires français avaient détruit la Bastille parisienne ou la prison de Pierre-Scise a Lyon. Tous ces mouvements psychologiques émergent à l'horizon d'une culture, c'est-a-dire d'un ensemble complexe

alors de partir en croisade contre ce mal plein de menaces. Le coup du World Trad Center tombe à point nommé pour sonner le départ d’une campagne coloniale d’envergure digne du 19ème siècle. Dans cette mise en scène du "choc des civilisations" Al-Qaïda assure le rôle d’opposant diabolique lorsqu’il s’agit de justifier des invasions comme celle de l’Afghanistan par exemple. Avec l’avènement du "printemps arabe" les "terroristes" ont vite fait de troquer leurs habits d’antihéros contre ceux de révolutionnaires

Sud-Est asiatique (Organisation du traité de l'Asie du Sud-Est [OTASE], 1955), ils concluent cependant des accords de coopération militaire avec quelques pays, stratégiquement localisés en bordure des détroits, tels le Maroc et l’Egypte (Lemarchand et al. 1997). Pendant longtemps, avec moins de 300 militaires officiellement permanents et aucune base pérenne notable1, la présence militaire américaine en Afrique subsaharienne est modeste. Le continent africain apparaît alors comme situé dans un "angle

de moyens violents pour atteindre le but, est une secte des Nizâriens (Hachischins en russe) – une communauté mystique musulmane (chiite ismaélienne) active depuis le XIe siècle. Ils sont aussi appelés «Assassins». Autour de 1090 un certain Hasan ibn al-Sabbah, capturé la forteresse d'Alamut, située dans une vallée au nord de Hamadan (Iran moderne). Au cours du siècle suivant lui et ses adeptes ont été tués des centaines des califes et des sultans, chefs militaires et des représentants du clergé officiel

aussi parfois appelé ypérite, en référence à la ville d'Ypres, en Belgique, où il fut pour la première fois utilisé au combat le 11 juillet 1917. Il a, par la suite, été utilisé dans certains conflits coloniaux et plus récemment, lors de la guerre Iran-Irak (1980-1988). Pour punir les civils kurdes accusés d'avoir collaboré avec l'ennemi iranien, l'ancien dictateur irakien, Saddam Hussein, a ordonné à son armée, le 16 mars 1988, de bombarder la ville frontière de Halabja avec du gaz moutarde, faisant

situation a été plus complexe encore au Moyen-Orient et en Afrique. - Le Moyen-Orient se divise rapidement après la décolonisation entre Etats prosoviétiques, (dits "progressistes", à régime laïc, nationaliste et socialiste : Egypte de Nasser, Irak de Saddam Hussein, Algérie du FLN ou Syrie de Hafiz El-Assad) et monarchies conservatrices (islamo-conservatrices) comme le Maroc ou l'Arabie saoudite soutenues par les Occidentaux. Mais la situation est rendue confuse d'abord par le conflit israélo-arabe