Alain Quiconque Pense

l'instruction publique, laïque, gratuite et mixte au moment même où l'universalité de ce principe est remis en cause. Autrement, il faudra envisager la fin de l'égalité des droits et des citoyens dans son principe même, puisque l'instruction publique est pensée comme une condition nécessaire à un progrès vers l'égalité et la liberté. Universalité ou dissolution de l'école? Tel paraît-être le nouveau contexte paradoxal pour relire les écrits sur l'instruction publique du plus grand héritier des

philosophie libérale pour ensuite analyser les fondements épistémologiques du néolibéralisme Pour finir nous etudierons le neoliberalisme sous le prisme du réel. I/ Le libéralisme classique. Le libéralisme désigne un ensemble de courant de pensées qui s'est développé entre le 17éme et le 18éme siècles en Europe occidentale. Du libéralisme, on peut distinguer 2 grands courants : le libéralisme politique et le libéralisme économique. Le premier aura pour but principal de montrer en quoi l'individu

qu’autrement les principes prônés par cette idéologie. L'individualisme est un mode de pensée qui est axé sur la valeur de l'individu et non d'une communauté ni d'un groupe. On peut donc affirmer qu'il protège les droits et intérêts de chacun. Cette philosophie refuse d’imposer à l'individu des devoirs de société. Dans un monde fidèle à leur pensée, tout le monde aurait droit à sa propre opinion sans que quiconque le juge. Deux principes sont mis de l'avant dans l'individualisme : la liberté individuelle

si rares : "je ne suis pas d'accord". L'aisance avec laquelle il confondait les faussaires, en | |littérature ou ailleurs, était et reste aujourd'hui encore exceptionnelle. Il est ainsi le seul à avoir osé dire publiquement le | |fond de sa pensée sur Camara Laye ou Ahmadou Kourouma. Et sa revue "Peuples noirs, peuples africains", fondée en 1978, ne fut pas | |tendre non plus pour quelques auteurs médiocres mais portés aux nues par d'infâmes faiseurs de rois.

combat de la famille soutenue par les médias, avec la Justice afin de rouvrir le dossier. Une enquête va donc être menée par le juge d’instruction (8) Michel Maestroni du Tribunal de Versailles, puis reprise par le magistrat Yves Corneloup, suivi de Alain Verleene. Cette enquête se conclura par un non-lieu le 20 septembre 1991 rendu par la jeune juge d’instruction Laurence Vichnievsky seulement neuf jours après que le dossier lui ait été confié. Un non-lieu qui sera confirmé par la chambre d’accusation

Valérien. Le nom de Thomas Elek est un des dix qui figurent sur « L’Affiche Rouge ». IV) Les sources utilisées par l’auteur pour écrire son roman selon qu’elles concernent la mémoire ou l’histoire. On peut classer les sources utilisées par Alain Blottière selon deux catégories : la mémoire et l’histoire. Pour les sources concernant la mémoire, il s’agit surtout de témoignages, de récits et de faits historiques que racontent des personnes pour que l’on se souvienne de ce qu’elles ont vécu ou

étant le plus proche de cet idéal) ou la démocratie représentative où il vote pour élire ses représentants (le système représentatif actuel en est un des exemples). Le citoyen évolue au cours du temps et avec les changements sociétaux du monde, on pense évidement à l’exemple des nouvelles technologies. Les théories du Contrat social plaçaient le citoyen au centre du système démocratique et donc étatique. Ce concept de citoyenneté est très difficile à saisir car bon nombre d’auteurs, tel J.L Régent

évocateurs . Et si Machiavel voulait nous faire emprunter des chemins détournés pour mieux parvenir à la vérité ! Nous nous laisserons ici guider par le mouvement général de l’œuvre et les invitations qu’il suggère pour mieux découvrir la substance de la pensée de l’auteur en ne perdant jamais de vue que l’auteur se place dans une situation qu’il veut changer, celle de la division italienne. Tout le problème de la politique chez Machiavel est celui de l’acquisition et de la conservation du pouvoir

; (3) le dogmatisme de l'école est aliénant ; (4) la société et l'école névrosent l'individu. Ensuite, nous montrerons les fondements anarchistes de la pensée libertaire, c'est-à-dire, la volonté d'émanciper l'individu, les liens qu'entretient l'anarchisme avec l'individualisme, le socialisme et le communisme et le lien direct entre pensée politique et projet éducatif. Puis, nous brosserons un portrait des précurseurs et des principales figures de l'éducation libertaire, et nous différencierons

transformations très profondes : acceptée autrefois comme une nécessité naturelle de la situation pédagogique, elle a reflué au point de s'identifier aux seules Georges Leroux 2 figures de la contrainte et de la coercition. Une autorité, pense-t-on communément, c’est d’abord un pouvoir de punir, une forme de contrôle. Ces figures sont devenues négatives, et la notion même d’une autorité nécessaire et positive constitue une position problématique pour tous ceux qui se demandent ce que