Albert de Broglie

défendu un an auparavant. A la suite d'une vaste campagne de pétition recueillant 1 456 577 signatures sur l'ensemble du territoire national (avec une prépondérance de signatures en provenance du bassin parisien, de l'Aquitaine et du Nord), le duc de Broglie déposa le 31 mai 1851 à l'assemblée une proposition de loi soutenue par 233 députés pour réviser la constitution et ainsi rendre rééligible le président de la république. Louis-Napoléon lui-même ne reste pas inactif et se rend en province où ses discours

ministres sachant que ses décisions doivent être contresignée par les ministres responsables. Les membres de l’exécutif peuvent être contraint à la démission, et il peuvent aussi se présenter physiquement devant les assemblées. B. La Constitution de Broglie C’est une tentative de se séparer de Thiers. Le texte prévoit que désormais les rapports entre les pouvoirs exécutifs et législatifs d’effectuent à travers les ministres. Le président de la République ne peut se retrouver devant les assemblées

gauche. Thiers en prend compte et décide de la rédaction d’une constitution républicaine, rejetée cependant par ce qu’il reste de monarchistes après un vote de confiance, qui le destitue. Le monarchiste Mac Mahon devient président et le duc Albert De Broglie son premier ministre. 2. La république des monarchistes. Pour la défense de l’ordre moral, que menace la République, se développe un cléricalisme de combat. En 1873, le Comte de Paris reconnaît le comte de Chambord comme roi, et Chambord, sans

texte ajoute =t que les ministres sont responsables devant l'assemblée. Le but n'est pas atteint pcq Thiers reste personnage très charismatique, du coup l'assemblée nationale va adopter une 2ème loi. b) la loi du 13 mars 1873, dite constitution Broglie : → Cette loi prévoit que les rapports de l'assemblée avec le président se feront par intermédiaire des ministres. En 1872, Thiers s'est prononcé pour les républicains, ce que l'assemblée monarchiste essaie de lui faire payer en lui limitant ses

Léon Gambetta. Désavouer la politique de Jules Simon, c’est le contraindre à la démission. Mac Mahon le remplace par le Duc de Broglie, une des chefs de la minorité monarchiste, ce qui signifie très clairement un retour à l’ordre ancien. Pour les républicains, cette nomination est une provocation. Toute la gauche refuse donc la confiance au gouvernement de Broglie. La réponse du Président ne se fait pas attendre : avec l’avis conforme du Sénat (donné le 16 juin par 149 voix contre 130) comme

inférieures. Il est donc au centre de ce "courant libéral philanthropique" ; il est un des fondateurs de la "société de morale chrétienne" (p385) qui réunit tous les bourgeois qui s'intéressent à ce problème du paupérisme ( Tocqueville, Constant, Broglie, Gérando, Villeneuve-Bargemont, La Rochefoucault-Liaucourt…) ; cette gouvernementalité capacitaire reste en vigueur jusqu'à la IIIème République. Ds les années 1850, le courant légitimiste souhaite revenir purement et simplement aux tutelles de l'Ancien

crise qui a été important quant à l'avenir de la III république. Cette crise commence le 16 mai 1877 car ce jour là Mac Mahon renvoie le président du conseil Jules Simon, le désapprouve sur une question de politique. Il le remplace par le Duc Albert de Broglie (de Breuil). La signification politique du renvoi est très claire: pour Mac Mahon, le président du conseil n'est pas seulement responsable politiquement devant les chambres mais aussi devant le Président de la République ce que ne prévoient pas

Le 16 mai 1877, le Président de la République adresse une lettre par laquelle il manifeste publiquement sa désapprobation envers la politique menée par le président du conseil des ministres. Ce dernier démissionne, et est remplacé par le Duc Albert de Broglie, au moment même où les deux chambres parlementaires sont ajournées jusqu’au 16 juin suivant. Les parlementaires vont contester cette décision qu’ils jugent comme un coup de force de la part du chef de l’Etat. Lorsqu’ils sont de nouveau réunis

lendemain et aussitôt, la République est proclamée. Le gouvernement provisoire est dirigé par Lamartine, un républicain modéré, mais il comprend aussi des membres plus radicaux, tels que le socialiste Louis Blanc, ainsi qu’un simple ouvrier, nommé Albert. Le gouvernement adopte le drapeau tricolore, abandonné depuis la Restauration. D’autres mesures suivent très vite : le suffrage universel, qui exclut néanmoins la moitié de la population, les femmes; le droit au travail, qui astreint le gouvernement

plus acides contre le Second Empire sont publiées. Thérèse Raquin n'a pas enthousiasmé Louis Ulbach, son directeur, mais il admire l'insolence du chroniqueur. Courageux, voire téméraire, Zola s'attaque avec dureté aux ténors de l'Assemblée comme de Broglie ou de Belcastel. Il vilipende une Chambre peureuse, réactionnaire, « admirablement manipulée par Thiers »17. Pendant un anN 11, il produit plus de deux cent cinquante chroniques parlementaires. Elles lui permettent à la fois de se faire connaître