Alcools Modernité

importante part d’expression subjective personnelle, mélancolique et sentimentale. Publié en 1913 « alcools » est le recueil principal de son œuvre qui a rencontré beaucoup de succès à sa sortie. Associé au cubisme et au surréalisme, la publication d’Alcools en 1913 manifeste cet « esprit nouveau » qui, en peinture avec le cubisme et en littérature avec le surréalisme ouvre le champ de la modernité en ce début du XXe. Le titre du recueil fait référence littéralement à la source d’inspiration poétique

celle de Picasso. Picasso est l'ami d'Apollinaire (Picasso peint Famille de saltimbanques en 1905). Ce poème est sans doute inspiré d'un tableau comme le sudgère la dédicace à Marie Laurencin, peintre et maîtresse d'Apollinaire. Ce poème est tiré d'"Alcools", recueil publié en 1913. Il est composé de cinq quatrains en octosyllabes. L'analyse de ce texte cherche à montrer les caractéristiques formelles de ce tableau, avant d'en étudier les aspects surnaturels, puis d'en analyser les éléments symboliques

diméthylpentane : Familles de composées ayant des fonctions oxygénées. |Famille |Groupe caractéristique |Nomenclature | |alcools |(R)-OH groupe hydroxyle OH |Nom de l’alcane correspondant + suffixe ol précédé du numéro du carbone portant| | | |la fonction

OEUVRES : 1905 : Les mémoires d’un jeune Dom Juan. 1909 : La poésie symboliste. 1913 : Alcools. 1914 : Les trois Dom Juan. 1916 : Le poète assassiné. 1918 : Calligrammes. 1920 : Couleur du temps. SON STYLE : Son oeuvre est variée et très inégale. Il est surtout poète mais s’est intéressé aussi au roman historique, à la littérature érotique et à la critique. Ses chefs d’oeuvre seront “Alcools” et “ Calligrammes”, deux recueils de poèmes. L’absence de ponctuation est le symbole du

Le pont Mirabeau (Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913) Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu’il m’en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l’onde si lasse Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont je demeure L’amour s’en va comme cette eau courante L’amour s’en va


Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines
 Ni temps passé
 Ni les amours reviennent 
Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heure
 Les jours s'en vont je demeure Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913

Texte 3 : « Le Pont Mirabeau » Guillaume Apollinaire Intro 1 : - « Le pont Mirabeau » est extrait du recueil Alcools, paru en 1913. Dans ce poème Guillaume apollinaire évoque sa rupture avec Marie Laurencin, et mêle le thème de l’amour perdu à celui de la fuite du temps. Le poème appartient au registre lyrique et est composé de 24 vers, 4 quatrains et 4 distiques identiques revenant comme un refrain et, rappelant les 24 heures d’une journée. Ce poème présente la perte de l’amour, aussi nous pouvons

accusé de recels d’objets d’arts venant du Louvre, incarcéré dans une prison parisienne durant une semaine, cet épisode le marquera beaucoup. Cela lui inspirera le poème « A la Santé » où il décrit sa brève détention. En 1913, il publie le recueil Alcools qui réunie tous ses poèmes écrit entre 1898 et 1913. C’est un grand succès. La première guerre mondiale arrive, et le poète s’engage sur le Front. Juste avant de partir, il rencontre à Nice Louise de Coligny-Châtillon et tombe complètement amoureux

grippe en 1918, il est tombé malade et s’affaiblissait de la blessure à sa tête, il est mort. De son premier recueil que le public a accueilli chaudement provient le poème célèbre « Le Pont Mirabeau », publié en 1913. Cette oeuvre porte le nom d’« Alcools » et il s’agit des thèmes des élégies, des contes, de l’érotisme et les drames. Le poème est un petit extrait de l’oeuvre entière, composée de vingt-quatre lignes en quatre quatrains et quatre distiques qui alternent. Dans chaque strophe, les rimes

plume il alors écrit dans le journal L’intransigeant, et il joue un rôle important dans la critique d’art .Il accompagne tous les mouvements d’avant-garde, il publie de courts récits dont : L'Hérésiarque et compagnie (1910) des recueils de poème : Alcools (1913) dans lequel il retranscrit les bouleversement de son époque avec des poèmes écrits pendant les quatorze années précédentes, défendant la peinture cubiste et la poésie moderne, il représente à travers son œuvre les transformations rapides d’une