Algèbre

constituera l’algèbre (s’occupant de nombres réels ou complexes) et l’arithmétique (s’occupant des ensembles des entiers naturels, relatifs et des nombres rationnels) . Pourtant, de nombreuses propositions connues aujourd’hui en arithmétique et en algèbre étaient déjà connues des Grecs dans l’ordre géométrique : Ex. de propositions arithmétiques établies géométriquement (Fig.1):

SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION Groupe A Modules Langues et Informatique III Eléments de module Informatique II 25h Economie monétaire financière II 25h Politiques économiques 40h Analyse et diagnostic financiers 25h Introduction au marketing 40h Algèbre II 40h Echantillonnage et estimation 25h et Professeurs Pr. ZAHIDI Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi 15h-17h Début des cours 14/02/2011 Fin des cours 21/05/2011 12 séances 21/05/2011 12 séances 24/05/2011 13 séances 21/05/2011

Mais le texte laisse impensé le problème du rapport entre le langage usuel et le réel, problème que le mathématicien ne rencontre pas. Ce n'est pas un hasard si Leibniz avait le projet d'une langue philosophique universelle, qui serait comme une algèbre de la pensée. IV - DES REFERENCES UTILES Descartes, Discours de la méthode Leibniz, Monadologie Carnap, La construction logique du monde V - LES FAUSSES PISTES Une paraphrase qui ne saisirait pas les enjeux implicites, en particulier

récepteurs de son. Avant 1985, ce cours était constitué de 2 cours semestriels: physique et physique du bâtiment. Ces 2 cours étaient programmés dans le même semestre. 1.6 | Mathématiques / HIM 15 : MOO / Coefficient : 1 Algèbre. Géométrie plane. Géométrie analytique. Analyse des fonctions à une variable réelle. Calcul numérique et calcul graphique. 1.7 | Terminologie en langue française / TST 10 / Coefficient : 1 Ce module concerne l’apprentissage de la terminologie

nom « tp1.ggb » (respecter l'écriture !). Placer les points A(0 ; 0), B(8 ; 0), C(8 ; 12) et D(0 ;12), puis les relier en polygone ABCD. Faire disparaître le repère. Placer un point E sur [AB] et nommer « longueur » la longueur AE (fenêtre Algèbre) À l'aide du « compas », placer le point G sur [AD] tel que AG = AE. Mettre le cercle en pointillé fin. Tracer la droite perpendiculaire à [AB] passant par E et la perpendiculaire à [AD] passant par G. Placer aux intersections adéquates

connaissances et la discipline qui les enseigne : un développement limité, un développement en série entière, consistent à faire une approximation d'une fonction, et la possibilité d'un développement d'un produit de sommes s'appelle la distributivité. en algèbre, le développement d'une expression est un procédé inverse de la factorisation. en géométrie, on parle parfois de développement pour parler d'un patron. en géométrie différentielle, le développement (en) d'une surface consiste à faire rouler celle-ci

avec l’observation de la nature. Les arabes (moyen âge). Ils vont traduire les textes grecs en arabe, partir de l’apport grec et ajoutée leur propre découverte, ils apportent l’algèbre, atteignent un très haut niveau en médecine, chimie, algèbre… Aux 11 ème siècles, les occidentaux reprennent l’Espagne et la Sicile et découvre les textes traduit par les arabes. Averroès, grand médecin du 12 ème siècle, très grand philosophe qui vit en Espagne Avicenne lui aussi mais vie en Iran (Perse)

Probabilité 2.1.2 Algèbre-Tribu Définition 2.3. Soit Ω un espace échantillon, une algèbre A sur Ω est une partie de P (Ω) vérifiant : i. Ω ∈ A ii. A ∈ A ⇒ A ∈ A. iii. A, B ∈ A ⇒ A ∪ B ∈ A. Définition 2.4. Soit Ω un espace échantillon, une tribu ou une σ- algèbre F sur Ω est une partie de P (Ω) vérifiant : i. Ω ∈ A ii. A ∈ A ⇒ A ∈ A. iii. Si {Ak , k ∈ N} est une famille d’éléments de F alors ∪ Ak ∈ F. k∈N Exemple 2.2. Soient Ω un espace échantillon, A ∈ P (Ω), alors – A0 = {∅, Ω} est une algèbre sur Ω appelée

Représentation par complément à 2…………………………………………….. 4.1.c Représentation biaisée (par excès) ……………………………………………... 4.2 Représentation à "virgule fixe"…………………………………………………....... 4.3 Représentation "à virgule flottante"………………………………………………… Partie 2 : Algèbre de Boole……………………………………………………………… 1. Généralités……………………………………………………………………………... 2. Définitions……………………………………………………………………………… 2.a Variable logique ou variable binaire………………………………………………... 2.b Fonction logique……………………………………………………………………. 2.c Table de

d’exploitation (Windows, Mac OSX ou Linux) à la même adresse (cliquer sur Webstart). Une fois lancé le logiciel, on obtient un écran du type de la figure 1 avec : – une barre de menu et une barre de boutons ; – dans la colonne de gauche, la fenêtre « algèbre », où sont affichés les objets créés rangés par catégorie : – objets libres : ceux qu’on peut déplacer dans le plan ou sur un autre objet ; – objets dépendants : ceux qu’on a créés à partir d’autres objets (image par une transformation géométrique