Allégorie de la caverne

insisté sur la pensée de Platon comme étant une transcription de celle de Socrate. Mais dans « la raison et la réalité », on découvre la philosophie platonicienne, articulée autour de l’essence de l’être, du savoir et ainsi de sa célèbre allégorie de la caverne. Pour le disciple de Socrate, l’homme est malheureux et son savoir est amoindri. Plus précisément, nous vivons dans un monde d’apparence, confus, dans lequel il faudrait s’instruire de savoir pour pouvoir accéder au monde des idées qui est

justice. 2) Allégorie de la caverne : c’est une fable, lorsqu’il écrit l’allégorie il décrit une fable, et dans cela il y a toujours une morale, c’est une fixions. Platon imagine une caverne qui s’enfonce, et au fond de cette caverne il imagine des hommes qui sont attachés au fond de la caverne le visage tourner vers la paroi. Platon imagine que ces hommes sont la depuis leur naissance, et sont attachés de tel manière qu’ils ne peuvent pas tourner la tête. A l’extérieur a l’entrée de la caverne, Platon

de «l’allégorie de la caverne». Nous ne pensons pas trahir le texte de Platon en l’élevant, d’allégorie qu’il est au départ, au niveau d’un mythe et en en faisant une interprétation qui n’est pas la simple mise en image de la théorie platonicienne des Idées et de l’ascension du philosophe du monde sensible au monde intelligible. Nous verrons comment, à partir d’une interprétation plus moderne et moins spécifiquement platonicienne de ce qui est pour nous «le mythe de la caverne», ce dernier évoque le

�le�mythe�de�la�caverne�et�le�monde� des�“idées”�� Platon a donc été le maître d’Aristote. Il nous a transmis par écrit l’enseignement de son propre maître : Socrate (ve siècle av. J.-C.). Rappelons que Socrate pratiquait une méthode pour faire “accou- cher” de la vérité son interlocuteur et disciple, grâce à un questionnement adapté (“qu’est-ce que ?”) : c’est la maïeutique. Dans un chapitre de son livre La République, Platon fait dialoguer Socrate et livre, dans une célèbre allégorie, sa conception

aboutie à la déception de l'empereur . 2) Ling passe de l'indifférence à l'émerveillement et l'empereur , il passe de l'émerveillement à la déception . Les parcours de ces deux personnages sont en miroir . 3)La nouvelle de M.Y reprend le mythe de la caverne de Platon :L'empereur et Ling sont des ignorants qui vont sortir de l'ignorance . Ils découvre une vérité qui les enchantent ou les déçoivent . WF est soit un sage qui fait accéder à la vérité soit un manipulateur qui cache la vérité . Synthèse :-M

cyclope Polyphème. Il semble que cet épisode ait particulièrement marqué les Grecs puisque c’est celui qui a donné lieu aux représentations artistiques les plus anciennes. Par ailleurs son interprétation faisait l’objet de débats. Héraclite, dans les Allégories d’Homère, y voyait un passage moral fustigeant l’emportement sauvage, tandis que Sophocle et Euripide voyaient dans l’attitude d’Ulysse une glorification de la cruauté et de la fourberie. Aussi pourra-t-on se demander quelles significations on peut

ce sont des repérages géographiques. Les cavernes et les grottes sont des lieux de culte. Elles ont une dimension spirituelle importante. Il y a une idée d'une portée spirituelle face aux evenements (climatiques, naturels, ...). Ces dessins donnent une dimension magique : mieux je représente, mieux je m'approprie l'animal. Elle véhicule une dimension fétiche à l'image, à ce qu'elle représente, entre son propriétaire et elle Allégorie de la Caverne de Platon C'est une transposition anticipé

chaque pierre taillée, a sa place et où chacun est indispensable à l’autre pour grandir et construire ensemble. Etre libre est avant tout un travail individuel. Déjà dans l’antiquité Platon tentait de répondre au concept de liberté par une allégorie, définissant le fait d’être libre par la recherche d’une vérité qui ne serait pas construite sur les dogmes, les préjugés et la subjectivité. Il exposait ainsi le concept de liberté comme le fait de s’abroger individuellement des contraintes invisibles

Claude Bernard Introduction à la médecine expérimentale 1865 2 Ce ne sont pas nos sens qui nous trompent, mais nous qui jugeons mal, donc qui raisonnons mal. Texte Hachette page 232 Platon le mythe de la caverne Socrate Figure-toi des hommes dans une demeure souterraine, en forme de caverne, ayant sur toute sa largeur une entrée ouverte à la lumière ; ces hommes sont là depuis leur enfance, les jambes et le cou enchaînés, de sorte qu’ils ne peuvent bouger ni voir ailleurs que devant eux, la chaîne

en son corps, bien qu’elles n’y soient aucunement”. D’autres philosophes viennent appuyer son raisonnement , en commençant par Aristote :« Rien dans notre intelligence qui ne soit passé par nos sens »,et ensuite Platon à travers son « allégorie de la caverne » qui expose sa théorie de l'acquisition des connaissances selon laquelle la connaissance des choses nécessite un travail, des efforts pour apprendre et comprendre, et qu’elles ne proviennent donc pas des sens.