Alliterations

vers 7, il est « étendu », intensifie l’impression de confort ; vers 8 « un lit vert ». Nous voyons qu’il parait mort : vers 14 « deux trou rouges au côté droit », allitérations en R. A partir de ce moment nous basculons dans l’horreur, dénouement très brutal. III/ La chute « Il a deux trou rouges au côté droit », allitération en R. Il y a des contrastes de rouge. Le poète a employé des mots à double sens : Trou : Tombe

est à la base fait pour être chanté, pour ce faire le poète est à la recherche de rythme et d’effet sonore, par une musique « allitération assonance, rythme, rimes… ». Dans Mon rêve familier de Paul Verlaine le poète raconte qu’il fait tout le temps le même rêve où il y rencontre la femme de sa vie. Dans ce poème on peut voir dès la première ligne qu’il y a une allitération « je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant.» on remarque une répétition du son (é) ainsi que (en) ceci peut donc donner un

foudre pour une jeune femme croisée dans la rue ? I La violence de la rencontre a) Le contexte de la rue Evoqué : - Ds le titre : « passante » - Ds les mots : « la rue » Description péjorative : - Champ lexical du bruit (péjoratif) : - Allitération en « r » : Série d’assonances faisant écho : - « assourdissant » « hurlait « Métonymie : « la rue hurlait » : rue directement associée aux hurlements = accentuation péjorative Contexte agressif accentué par l’idée d’enferment : « autour

au vers 1. Celui-ci est "malade" = expression chargée de fatalité. Cela annonce la mort de l’été. Dans le mot "adoré", en retrouve "doré" qui est la couleur de l’automne. C’est peut-être à cause de cette couleur qu’Apollinaire aime l’automne. Allitération en [r] (vers 2) = son désagréable qui évoque le frisson, le grelottement, son guttural et agressif pareil au vent d’automne. "Ouragan" évoque la violence, la force des intempéries. Le futur au début du vers 2 évoque quelque chose de certain, qui

(et non tremblant : adj et non part présent, tremblement qui semble faire partie de l’essence même de ce vin), flamme, tordre, plus mouvement ondulatoire des longs cheveux. -Impression de mouvement vibratoire renforcé par  Les sonorités : allitérations en v/f, et liquides l et r ;  Le rythme ternaire du 1er vers ; enjambements sur l’hémistiche aux vers 1, 2 et 4. Atmosphère de mystères donnée. -Par le moment : la nuit et sa lumière étrange : flamme, lune ; éclairage mystérieux ; mystère

'' (v.1) et '' piliers '' (v.3) qui exprime encore cette idée de grandeur prouvant la simplicité architecturale et d'harmonie. Le sens de l'ouïe se ressent avec ''leur riche musique '' (v.7) qui montre une euphonie. Nous constatons également une allitération en '' T '' dans le premier vers des mots '' long-temps '', '' habité '', '' vastes '' et '' portiques ''. Ce poème est fait de façon symétrique : par exemple l'allitération en '' ou '' que l'on trouve au vers 5 est également présent au vers 8 (

2) Un combat violent Combat déjà terminé => plus-que-parfait "avait été" mais la violence est toujours perceptible : "le choc avait été très rude" - superlatif "très" - isolation de la phrase derrière la césure "rude"// -phrase brève, allitération de consonnes dures avec le "t" et le "d" (dentales), le "r" et le "c" dur lexique de la violence : "choc", "rude", "carnage" chiasme vers 3-4 "humaient" "carnage" "âcres" "parfums" => ivresse meurtrière des combattants 3) Les conséquences

torchon, se servir d'un couteau ébréché, s'y reprendre à plusieurs fois. » souligne la nécessité de s'y reprendre à plusieurs fois. Le rythme décroissant (11, 9, 8) souligne la lente progression + la violence de la lutte est rendue sensible par les allitérations en [r] et [q] (« curieux, coupent, cassent, coups, porte, marque »). - Volonté de saisir sous tous ses aspects, par les différents sens. * La vue : la taille « la grosseur », l'aspect « apparence plus rugueuse », la couleur « d'une couleur moins

est là pour exprimer la colère du poète. Deux périodes s’opposent : la période du bonheur, avant la guerre, et « maintenant » (v. 39). 3. L’expression de l’horreur. Champ lexicalde la pluie ( ) + champ lexical de la guerre et de la mort ( ) + allitération en (d) (v. 40-41) + déshumanisation ⇒ La pluie de la première partie est en réalité un bombardement. A partir du vers 46, plus aucun être humain n’est cité. Axe Outils Relevé Interprétation Anaphores v. 1, 6, 11, 23, etc. / v. 25-28 /

évidemment parodique. Le ton s’anime puis est marqué par une émotion intense. La phrase s’allonge sur trois vers, avec de nombreuses coupes qui permettent la mise en valeur en tête de vers de l’apostrophe ‘’Las’’ ainsi que ses répétitions. - allitération en [s] marque l’insistance de son attente déçue, ainsi que par des assonances, avec utilisation de consonnes dentales ‘’t/d’’ souvent accompagnée du ‘’r’’. (‘’Perdu, marâtre, ternir, dure, nature’’) -Indignation avec ‘’Ô’’ (vocatif, apostrophe)