Alliterations

« vaste » qui caractérise à la fois la nuit et la clarté (antithèse). Noter l'harmonie imitative du v 5 : allitérations et assonances (k, d, l, on) : échos qui répètent l'idée des correspondances. § 3 : A partir de ce tercet, le poète applique la théorie et prend des exemples de synesthésies. Il va partir d'une sensation très abstraite : un parfum, qui est impalpable (cf allitération en fricative, comme le vent) ; il va donc trouver des équivalences plus palpables. V 9 et 10 : B. va jouer

la mort, de l'emprisonnement et du silence. Pour renforcer cette déprime du poète il y a un oxymore "jour noir", les personnifications des cloches de l'Espoir, l'antithèse "vaincu/despotique", une métaphore "mon crâne incliné" = soumis et des allitérations en [m], [p] et assonance en [an] [on], des sons lourds synonymes de douleur. La chauve-souris représentent la folie comme quelqu'un de désorienté... L’Horloge p 120-121 : Discours direct, l'Horloge parle. Ce poème est basé sur la rhétorique

gloire passée. Les reliques remplacent la ville Poétique des ruines, de l’effacement : -Vocabulaire réduit -parcimonie métaphorique (images de cendre, d’eau et de poussière) -champ lexical de la déconstruction, de la réduction en cendre + allitérations (ou occlusive + r → mimer l’effritement, ) présence furtive, cachée *Invocation incantatoire. Nouvelle apostrophe et répétition d’ « esprits ». Relance de l’adresse après la relative du premier quatrain. Mais encore une imbrication, un retardement

d'identification qui aboutit au "moi" final. Dans le décor nocturne "métallique", romantique mais un peu inquiétant, que dessine la première strophe, l'ombre lunaire de la végétation "vert sombre" forme des plaques de métal "clair", opposant les allitérations en "L" à celles en "R". Le même rapport antithétique se retrouve à la deuxième strophe dans ce chant d'"une nuit sans air", qui à la fois anime ce silence nocturne, car il retentit "tout vif" et pourtant est "enterré" sous un massif et, plus loin

• Leur valeur : riches, suffisantes, pauvres • Leur disposition : rimes plates (AABB), rimes embrassées (ABBA), rimes croisées (ABAB). ☺Certaines "formes fixes" ont des dispositions spécifiques. ►Allitération et assonance • C’est la répétition d’un même son dans le vers : consonne (allitération) ou voyelle (assonance) en vue de créer un effet de style. ►Enjambement ♦ L’enjambement est permis, sauf pour l'alexandrin : L'enjambement est interdit au vers alexandrin, surtout dans les genres

écrivain est avant tout un amoureux des mots, pour leur "physionomie" dirait Valéry. 1. Les effets sonores (concernent aussi la prose) a) Les allitérations C'est le fait de répéter la même consonne : b) Les assonances C'est le fait de répéter la même voyelle. c) Les échos sonores On reprend des syllabes entières : assonances + allitérations 2. Les effets rythmiques (concernent aussi la prose ) Il est déterminé par le nombre de pieds dans le vers, la longueur des phrases, la césure

d’un cours d’eau lui aussi qualifié de « beau » (répétition). De plus, les sonorités de la première strophe suggèrent la douceur du printemps : « bel aubépin, fleurissant…le long de ce beau rivage » allitérations en [b, p, f, v] = consonnes labiales, « bel… le long…des longs… lambruche… » allitération en [l] qui produit une harmonie imitative : les sonorités de la langue cherchent à imiter ce qu’elle décrit, c’est-à-dire le cours d’eau. Enfin, l’apostrophe « Bel aubépin » appartient bien au registre

rimes Elles peuvent être plates (aabb), croisées (abab), embrassées (abba) Les allitérations et les assonances, l’homophonie interne Les rimes peuvent créer des effets sonores à l’intérieur d’un même vers. L’allitération correspond au retour d’une même consonne ; l’assonance au retour d’une même voyelle. Par exemple, dans "Voici venir les temps où vibrant sur sa tige" (Baudelaire), on trouve dans ce vers une allitération en [v] et une assonance en [ã]. Le rythme des vers | La combinaison de la

Principales figures de style -Allégorie : Personnification d'une idée abstraite Exemple : « Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! » -Allitération : Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Exemple : Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine :     Cassandre sous son   Capuce -Anaphore : Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers Exemple : Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits 

Les figures de style TABLEAU RECAPITULATIF | NOM | DEFINITION | EXEMPLE | ALLEGORIE n.f. | Personnification d'une idée abstraite | - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! | ALLITERATION n.f. | Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots | Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine :     Cassandre sous son     Capuce | ANAPHORE n.f. | Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers | - Partout l’image idée, partout la pensée