Alliterations

rapidité. Elle serait donc empressée →personnification de la pluie. « il a plut » renvoi au verbe pleuvoir et au verbe plaire. Francis Ponge, par un réseau de sonorités, suggère le clapotis de la pluie : les allitérations et les assonances produisent un effet d'harmonie initiative ; ex → allitération en [g] (ls.7-8 et 14-24). Cette répétition évoque le clapotis des gouttes ; répétition en « ui » qui évoque l'écoulement continu ; répétition en « y » , aiguillettes →les gouttes sont assimilées à l'éclat

mots de la même sonorité "sot" et "saut" donnant de la légèreté pour l'un, alourdissant l'autre. - Cassandre => un vieillard pervers. Il est selon les représentations : père de Colombine, ou son amant. Cassandre "sous son capuce" présente une allitération en [s]. Cette sifflante minimise l'allure menaçante soit d'un père veillant sur sa fille, soit d'un vieillard qui avance masqué. - Arlequin demeure un personnage important (et contrairement aux autres personnages) en dehors de Colombine,

césure Modernité poétique : Tous les vers ne sont pas rimés L’absence de ponctuation (Apollinaire : alcool)  fluidité Plan : I. Musicalité et calme du poème liée à l’eau Allitération en « s » et « l » : effet de monotonie  fait penser à une berceuse Provoque une harmonie initiale (v1) Assonance en [an] associée aux allitérations provoque une harmonie et de la douceur Vers 4 et 7, on observe une certaine musicalité Rythme lent Enumération : effet d’insistance qui dénote un calme plat II. Personnifica°

contradictoire 1) Grossièreté de L’huitre Surtout dans le premier paragraphe qui décrit l’extérieur de L’huitre : * Description complète : accumulation de comparatifs avec une découverte sensorielle dont la taille, le toucher et l’aspect. * Allitération en G, en R * oxymore « brillamment blanchâtre » ligne 3, qui insiste sur la dualité de l’huître + ironie, péjoratif. * Rendu non poétique par la répétition du titre « L’huitre » au risque d’être redondant dès le début du texte -> ressemblant

TERMES LITTÉRAIRES Allitération n. f : L'allitération est une répétition d'un même son consonne.
Le cas le plus célèbre d'allitération se trouve chez Racine: «Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes» Il s'agit ici d'une allitération en [S] Oxymore n. m. Figure de style qui consiste à placer l'un à côté de l'autre deux mots opposés (voir antonymes). On trouve des cas célèbres d'emploi de ce procédé : « Cette obscure clarté » (Corneille, Le Cid ), un silence éloquent, un

 Figure de style Définition Exemple ALLEGORIE n.f. Personnification d'une idée abstraite - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Allitération en [s] dansColombine de Verlaine :     Cassandre sous son     Capuce   ANAPHORE n.f. Répétition d'une même expression ou d'un même mot en début de phrase ou de vers - Partout l'image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits - Anaphore de "il y a" dans le poème Enfance

grande abondance de mots très brefs (1 ou 2 syllabes), des phrases (ou unités syntaxiques) plutôt brèves - syntaxe simple, limpide (seuls des compl. de temps précèdent le gr.verbal) - grande abondance de mots courts (une ou deux syllabes) - Allitérations en [d] et [t] rythment toute la description : rapide, vive, saccadée  Cela suggère-t-il la démarche de la jeune fille ? D’autant que cela se ralentit quand elle se couche, s’allonge L’abondance des [s] et des liaisons en [z] : les moustiques

raillé Baudelaire décrit une scène banale, celle d’un albatros « vastes oiseau des mers » (v2). Le groupe nominal périphrastique mis en relief (une hypallage), présente un animal majestueux et insouciant « indolent » (v3). Nous noterons la double allitération en en [-s] et [-z], mimétique à la fois, du glissement du bateau et de la perfidie des hommes. Le poète utilise un vocabulaire positif lorsqu’il est question du vol « vastes » (v2), « compagnons » (v3), « rois de l’azur » (v6). La première

phrase à plusieurs propositions enchâssées ce qui sous-entend un travail sérieux, sans interruption. Nul bruit ® sérieux, concentration, le lecteur est plongé dans la scène. prise sur le vif. Si ce n’est : marque l’exception. Froissement, feuillet : allitération, assonance? On croit entendre le bruit des feuilles. Vélin : Sorte de parchemin fabriqué avec de la peau d'animal jeune ® chère. Gothiques : anciens, vénérable Doigt, docteur, détachait : pareil, cela « roule » idée, on a l’impression de suivre

- La présence éventuelle d'images et de figures de style effet propre à chaque image, l'originalité du texte Le fait d’identifier une figure de style entraîne obligatoirement une analyse : pas de remarques stylistiques sans analyse. - Les allitérations et assonances mise en valeur de certains mots, musique du texte - Répétitions, parallélismes, oppositions, ruptures toujours à commenter La progression du texte : Les indices qui permettent de la repérer Ce qu'ils peuvent indiquer