Allitération De Nerval

lyrique Sommaire du dossier 1. Le lyrisme Rutebeuf, La Complainte Rutebeuf 2. Les thèmes lyriques Pierre de Ronsard, Je n'ai plus que les os… 3. L'écriture lyrique Victor Hugo, Vieille chanson du jeune temps 4. Le JE lyrique Gérard de Nerval, El Desdichado 5. Le temps et l'espace dans la poésie lyrique Guillaume Apollinaire, Le Pont Mirabeau Fiche de synthèse sur la poésie lyrique 1. Définition du lyrisme Rutebeuf, poète français La Complainte Rutebeuf Note : Maître

· amour présenté comme une évidence, presque une fatalité : « Je suis venu vers toi comme le fleuve va à la mer » illustre métaphoriquement une relation qui est commandée par les lois de la nature + l ’allitération en « v » crée un écho entre les mots · « Lermontov » qui a reçu une balle : « la balle qui traverse Larmontov a passé par mon cœur » : le coup de foudre + le terme d’ »un coup » vers 2 suggère aussi l’idée d’un coup de foudre

Victor Hugo Victor Hugo : 19 ème siècle romantisme opposition au siècle des lumières. Le romantisme met en valeur les sentiments, les passions et les traditions culturels régionales. Principaux artistes romantiques sont Hugo, Nerval. Lecture du texte Ce poème décrit le désir, la passion, l’amour voir même l’admiration qu’a le poète pour cette jeune fille qu’il rencontre de façon surprenante. Il est composé de 4 quatrains écrits en alexandrin (12 syllabes). Nous allons

Commentaire  : Le Romantisme est un mouvement littéraire du XIXème siècle caractérisé par le lyrisme. Gérard de Nerval est un auteur phare de ce mouvement, notamment avec son recueil Odelettes (1832-1835). Le poème « Fantaisie » émane de ce recueil. Il exprime le lyrisme provenant d’une ode, et l’onirisme qu’elle inspire au poète. Le lyrisme, présent dans « Fantaisie », émane d’un air que le poète chérit. Le lyrisme est caractérisé, dans un premier temps, par l’expression du Moi. Ainsi,

d’accord entre les couleurs, les sons et les parfums. Il me semble alors qu’ils se manifestent tous de la même façon mystérieuse dans la lumière du soleil pour se fondre ensuite en un merveilleux concept. ». De plus, Baudelaire subit l’influence de Nerval, tiré d’Aurélia : « Comment ai-je pu exister si longtemps hors de la nature et sans m’identifier à elle. Tout vit, tout agit, tout se correspond. ». De plus, Baudelaire se déclame ouvertement des mystiques : « L’imagination est la plus scientifique

Travail d'Analyse de texte Myrtho Gérard de Nerval Je pense à toi, Myrtho, divine enchanteresse, Au Pausilippe altier, de mille feux brillant, A ton front inondé des clartés de l'Orient, Aux raisins noirs mêlés avec l'or de ta tresse. C'est dans ta coupe aussi que j'avais bu l'ivresse, Et dans l'éclair furtif de ton œil souriant, Quand aux pieds d'Iacchus on me voyait priant, Car la Muse m'a fait l'un des fils de la Grèce. Je sais pourquoi, là-bas, le volcan s'est rouvert …

nuit profonde D'un seul regard l'éclaircirait ! 
Mais non, - ma jeunesse est finie... Adieu, doux rayon qui m'a lui, - Parfum, jeune fille, harmonie... Le bonheur passait, - il a fui ! Il s'agit d'un poème qui a été écrit par Gérard de Nerval qui n'est pas son vrai nom puisqu'il s'appelle en vrai Gérard Labrunie . Il est né à Paris le 22 mai 1808 et il y est aussi mort le 26 janvier 1855 . C'était un poète français renommé . Une allée du Luxembourg est un poème tiré du recueil Odelettes

est nécessaire, et qu’il la conserve il ne faut pas en abuser, il faut « rendre la rime un peu assagie ». Il préfère utiliser d’autres éléments sonores comme les assonances : «  ciel d’automne attiédi » et les allitérations «  plus vague et plus soluble que l’air » avec une allitération en « l » et « pl ». Cela permet de faire des répétitions plus harmoniques. Ainsi, Baudelaire a employé ces procédés dans ses « Correspondances » qui font partis des Fleurs du mal, pour suggérer la notion d’écho :

par la méditation qu’elle suscite chez le Passant.Elle est parfois tragique. « La passante » mystérieuse du poète canadien Emile Nelligan, revêt le même sens métaphorique que celle de Nerval, mais annonce d’emblée la couleur ou, plutôt, le deuil de son état A- Un décor hostile à la rencontre : la rue- allitération en [r], personnification de la rue.- encadrement du poète : chiasme sonore-B- Une rencontre tel un coup de foudre- 2 unités de sens quatrains puis tercets- 1er tercet : aussitôt produite

maladies et faiblesses Essentiellement par le mot « incommodités « , on voit + loin que même la mort est symbolisée en emprunts à la maladie et ses attributs , notamment par « pale » . = Absence de vitalité qui domine cette 1ere strophe Allitérations en( s) au V1 . On peut donc imaginer qu'elles peuvent symboliser l'invasion sournoise et implacable de la vieillesse . B) Rapidité Proximité entre la vieillesse et la mort Les mots sont tres prôche puisque vieilllesse apparaît au 1er hémistiche