Allitération En F

hommes pour les punir. On peut penser que déjà au Moyen-Âge, Villon dénonce l'absurdité et l'atrocité d'un telle sentence et il se base sur la religion pour appeler à la charité et la pitié des croyants. Sonorités et rythmes les plus marquants allitération en [R] ; [K] ; [S] ; [P]→ sonorités dures qui s'accumulent → rythment les paroles de Villon vers 3 : rythme en 1/9 vers 3 : « Car, » → mis en valeur, insistance, silence qui crée une attente vers 10 : « priez » → diérèse, insistance sur le verbe

"tortueux" vient de "tordre") , évocation soutenue par les allitérations de dentales [t]. Quant à la place , le participe présent "grouillant" offre l'image d'une foule impénétrable , sans visages puisque les hommes sont présentés par l'intermédiaire de la métonymie. Le deuxième paragraphe est placé sous le signe de la mort "glas funèbre""pénitents noirs" , de la douleur "sanglots...cris" et du sadisme "rires féroces". Les allitérations [ f ] concourent à communiquer l'angoisse , d'autant que la

cherche à établir une correspondance avec le contenu du poème: les voyelles peuvent être aigües et claires (i,è,é) ou graves et obscures (ou,on,o); les consonnes peuvent être douces (f,v,ch,j,s) ou dures (p,b,k,t,d,g) sifflantes(s,z) ou liquides(l). -Allitération et assonance Répétition de sons-consonnes (allitération): « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes » Répétition de sons-voyelles (assonance): « Lève, Jérusalem, lève ta tête altière » Racine 6)Disposition et groupement

jaguar. " il va frottant ses reins musculeux qu’il bossue " allitération en " s " et en " r " assonance du " u " sonorité expressive; lien entre " musculeux " et " bossue ", c’est le relief des muscles sur le pelage, le frottement du fauve sur l ’écorce. Le " s " de soufflant suggère la souplesse de l’animal. 2. Le fauve au repos : Au vers 15, la chute molle est suivie par l’immobilité, pas de coupe marquée mais une allitération nette du " l ", consonne liquide, évoquant l’allongement de

sont comparées au ciel. Elle utilise aussi des associations inhabituelles de mots comme les oxymores. Ligne 2 « brillamment blanchâtre » et ligne 8 « dentelle noirâtre ». Cette nouvelle forme possède des effets sonores et rythmiques comme les allitérations, les assonances ou les anaphores. Ligne 7, il y a l’allitération « les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles » avec le son en [k] et ligne 9, il y a l’assonance « flue et reflue à l'odeur et à la vue » en [u]. Cette poésie est belle

sur schéma : F/M/M/F, M/F/F/M…Rimes pauvres ou suffisantes. Outils d’analyses : Niveau de langue courant et familier I)1 Champs lexical polémique (v.17,18,25) Impératifs (v.21,v.17) Tournures injonctives (v.22) Métaphore péjorative (v.19,v.27) Majuscules (v.13,v.17,v.14,v.18,v.2,v.19,v.23) = Mettent en relief, importance du mot pour l’auteur. Une apostrophe (v.25) = Symbole de l’usage poétique Questions oratoires (v.24,v.25,v.28) = Pour relancer le rythme du poème Allitération en r (v.17 au

côté droit » une parallère avec  une blessure mythique (celle de  Jesus) qui rapporté à la  jeunesse et l'isotope de  l'innocence rend le sacrifice  encore plus obscène. Je n'ai pas repris en détail les explications sur la musicalité, hiatus, assonances et autres allitérations qui sont longuement détaillées dans l'explic ci dessous Classons maintenant les relevés de façons à faire émerger le mieux possible les techniques narratives au service du sens Sourirait un enfant malade, il  fait un somme: Nature, berce­le chaudement: il 

description du poème→ Douceur ≠ Horreur- Allitération en [m] :→ Dimension un peu ridicule2ème quatrain :- Comparaison : « Comme une femme lubrique »→ La sensualité est associée au dégoût, ce qui est très paradoxal.→ Association amour charnel/décomposition→ Corps mort/vivant, animé de désirs- Dégouter le lecteur : « suant les poisons » / « exhalaisons »→ Insister sur l’odeur pestilentielle/méphitique- Utilisation de l’imparfait→ Description3ème quatrain :- Allitération en [r] : « Le soleil rayonnait sur

théâtre social. Baudelaire décrit l’albatros comme « vaste oiseau des mers », il nous donne ainsi une impression de majesté, de fluidité et rend aussi tranquille l’eau sur laquelle vogue le navire grâce aux sonorités du vers 4 en « v », « s » et « f ». Cette impression de tranquillité avait déjà était légèrement introduite dans le vers précédent avec « indolents compagnons de voyage », le terme « indolent » donnant une sensation de sérénité, de douceur. Il y a donc deux mondes bien différents, le

Ô le chant de la pluie ! c Il pleure sans raison e Dans ce cœur qui écœure. a Quoi ! nulle trahison ?... e Ce deuil est sans raison. e C'est bien la pire peine f De ne savoir pourquoi d Sans amour et sans haine f Mon cœur a tant de peine ! f I) Organisation du poème La découpe des vers Hexasyllabes (6) combinées sur deux vers  rythme de l’alexandrin Quatre strophes, quatre vers Les répétitions Position forte (à la rime ou à la césure)