Allitération En F

Marseillaise est un chant guerrier qui est accompagné des instruments qui suivent les troupes: les cuivres: "sécheresses de cuivre"(12), le tambour: "ainsi qu'un tambour que frappent les baguettes"(14), trompette: "monstrueuses trompettes"(11). Il y a une allitération, les sons du tambour qui reviennent dans les mots: "roulait"(4). Egalement chant guerrier car: "note ardente du chant national"(16), "vengeance et liberté"(30). C'est un chant qui est crié: "la campagne criait"(29), "le rugissement populaire"(31)

puisque 'les tramways musiquent leur folie ' qui fait écho 'au mélodieux délire ' de la première strophe . 4eme quintil : La quatrieme strophe est consacré aux bruits divers que l'on peut entendre dans les 'cafés gonflés de fumée ' Il y a une allitération en F et une assonance en é Les violons des tziganes le bruit sourd des siphons d'eau gazeuse personnifiés par l'epithète 'enrhumés' les cris des garcons des cafés qui passent leur commandes , dont ressort , sur le fond de pantalon noir le tablier

guerre et de l'occupation. Les faits évoqués comme par exemple mangé, dormir, avoir froid, sont très quotidien et très simples. Mais ses situations quotidiennes suggèrent une tragédie. Le premier vers indique les manques, ou l’allitération en F insiste sur ce couple du malheur (« froid / faim »). Ensuite vient la privation (« Paris ne mange plus » vers 2). Le poète insiste sur le manque de nourriture (« ne mange plus / travailleurs affamés ») et la conséquence de la faim, vers 14 « De ta pâleur

le sifflement. Pour évoquer la vision et l'ouïe avec des sensations visuelles et auditives. Trajectoire du crachat du canon. Le rouge du vers 1 est repris par écarlate v.3, c'est plus pathétique. Sonorités dures : Allitération en - "r", "crachat, raille, croulent" - "f", "infinie, fumant" - "sse", "masse…" Sensation visuelle "rouge" et auditive agressive. 2. Déshumanisation des hommes Vue du ciel proposé par Rimbaud dans les 6 premiers vers est un champs de bataille. Les

compassion à l’égare des petites vieilles (il faut quand même les aimer bien que se soient des « montres »).- « Ils rampent » (v.9) → ANIMALISE LES PETITES VIEILLES : Portrait dépréciatif. - « ...flagellés par [...]roulant des omnibus » (v.9 à 10) → ALLITÉRATION EN [F]: Aussitôt animalisées , là encore le poète en fait un portrait pathétique des petites vieilles qui sont maltraitées par leur environnement urbain. - « iniques » (v.9) → ADJECTIF « .., tout pareils à des marionnettes » (v.13)→ COMPARAISON

Analyse : I) Le discours de la passion violente 1. Aveu direct On remarque le passage du vouvoiement au tutoiement. La déclaration est crue dès le premier vers, on note la brutalité saccadée de l'allitération en [t] puis la vibration de l'allitération en [f] (vers 670 à 672). Le vers clef de cette aveu est le vers 673 avec le passage de "j'aime" à "je t'aime". 2. Violence de la passion Cette violence est visible dès le vers 672 avec le sens de "fureur" mis en valeur en fin de vers. Elle entraîne une douleur

image, originalité du texte -> analyse | -Allitérations et assonances | Allitérations, assonances | Mise en valeur de certains mots, musique du texte | -Répétitions, oppositions, parallélismes, ruptures | II | Tjrs à commenter | * Poème : -forme -nombre de strophes, longueur -rythme : parallélisme, symétries, gradations, écarts -rimes : genre, disposition, richesse, oppositions ou rapprochement sémantiques -allitérations, assonances -mots situés aux endroits forts

en valeur à la fin de la phrase, pour exprimer avec humour l’impossibilité de l’ouvrir. De même, le rythme et les sonorités de « les doigts curieux s’y coupent, s’y cassent les ongles » 5 : accumulation de mots brefs d’une ou deux syllabes, allitérations en « c » (curieux, coupent, cassent « ) et assonances en i (« curieux, s’y, s’y ») pour souligner la dureté des chocs sur la coquille. b) argument 2 : mais c’est surtout dans le deuxième paragraphe que le texte devient poétique. S’y développe

et la difficulté qu’a l’homme d’y résister. Cette violence est renforcée par des verbes de mouvement : « se leva », « souleva », « montait », « s’engouffre ». Ils traduisent le mouvement des vagues qui submergent tout et détruisent tout. Les allitérations en [f] [v] et [s] renforcent cette violence des éléments naturels. Ce déchaînement des éléments naturels contre toute une cité n’est pas sans rappeler les malédictions divines de l’Ancien Testament et donne à cette description une dimension apocalyptique :

dont il était question dans la première strophe. Puis de proche en proche, par des phases floues, il parvient à une évidence énoncée avec force. Ces « confuses paroles » sont devenues les « longs échos », ces perceptions indistinctes que les allitérations en KDL prolongent de « Comme de longs échos […] » en « qui de loin […] ». L’aspect sec, hésitant et liquide de ces consonnes est amplifié par l’étirement et l’assourdissement des voyelles nasalisées abondantes : « Comme de longs échos qui de loin se