Allitération En F

Méthodologie Compétences visées : -Je suis capable de reconstituer des vers (et connais les vers les plus fréquents)-Je sais retrouver des rimes et les nommer (révision système de rimes)-Je sais repérer des assonances et des allitérations et comprendre l'effet qu'elles produisentSupports : Différents petits extraits de poèmesManuel p 238 ex 3,4 et 5Activité 1 : Manipulation3 p 238Activité 2 : Les rimesP238, n° 4Faites un rappel des systèmes de rimesActivité 3 : Les sonsP 238, n°

» au v 33 témoigne de la distance qui oppose la situation du poète de celle de la foule. Cette différence suscite aussi le mépris et la raillerie et Hugo reprend le motif romantique du poète maudit et incompris : verbes « raille » et « rit » + allitération en [R]+ champ lexical du mépris (insulte/ raille/ contempteurs/rit). B - un élu de Dieu : Cette distinction s'explique par l'élection divine du poète. Il convient de noter l'importance du champ lexical de la religion. Le poème s'ouvre sur le

« clartés »/ « obstruées »). * Allitérations (en « p » v.5, en « f » v.6-7, en « m » v.8). III- Le destin tragique de l’homme a) L’évocation de la vieillesse et de la mort * Dernière strophe offre une image traditionnelle de la posture voûtée du vieillard (v.13) -> impression d’écrasement avec * Participe présent « courbant ». * Préposition « sous » (différente de « sur » dans les autres strophes). * Adjectif « bas ». * Allitération en « l ». * Ecrasement progressif

tempête, cieux funèbres Ne croit-on pas entendre dans la répétition de certains sons des 3 premiers vers la violence du vent, la tempête ? Essayez de trouver ces sons(consonnes qu’on appelle « allitérations » ) et soulignez-les dans le poème. Dans ces 3 vers, on entend des allitérations en « f » et en « v » dans les mots suivants : « enfants,se fut enfui, vêtus, échevelé, livide, devant, Jéhovah » Compléments de verbes et compléments de noms a-L’homme sombre arriva Relevez les

« du goudron, du musc et de l’huile de coco » (lignes 20-21). La musicalité du poème en prose sont notamment repris par différentes allitérations évoquant chacune des émotions éprouvées par Baudelaire. Ligne 5, c’est une allitération en « m » qui suscite douceur à ce passage et notamment laisse paraître un chant musical peut-être marmonné. Les allitérations en « f » et « p » dans la phrase « où l’atmosphère est parfumée par les fruits, par les feuilles et par la peau humaine » (lignes 9-10) s’unissent

(mitraille-raille/fumant-saintement /damassées-ramassées/noir-mouchoir) et aussi pauvre (bleu-feu/broie-joie/d’or-s’endort) Les rimes (mitraille-raille /broie-joie/damassées-ramassées) sont féminine Les rimes des 2 quatrains sont croisées. Analyse détaillée Allitération en « r », « f », qui reproduisent des sonorités agressives Champ lexical de la guerre : mitraille, bataillon, feu, cent milliers d’hommes Métaphore : « les crachats rouges de la mitraille » symbolisent les coups de feu Métaphore filée : aux vers 4 et

l’avait théorisée avec son Rendez-vous du « donner et du recevoir » (à | |noter les constantes du style nègre associées aux richesses de l’occident : verset, assonance, rythme + cordes, cuire, swing…)  | |- Allitération en « f » et « v » : renvoie à la douceur de la mère patrie  | |- Expression de l’engagement du poète aux cotés des opprimés, (gradation croissante avec l’expression

avec la porté de ce fruit qui est amer dans le paradis alors qu’il est savoureux, il prend ses distances avec le récit bilingue. L’homme est en harmonie avec la nature ( il le montre en construisant des vers régulier et qui sont équilibrés, avec allitérations (répétition d’une consone). Après la végétation il décrit la population. L’homme est mince. Il est décrit à travers son corps. Contrairement à la femme qui est décrit à travers son esprit. Il se méfit de la femme, Il montre que la relation

DES HORREURS DE LA GUERRE A travers ce poème lyrique, Pierre REVERDY critique la guerre, exprime ses Inquiétudes , expriment ses sentiments. Il dénonce la violence de la guerre, ainsi peut on observer dès le début du poème des allitérations en « R » et «F» pour évoquer la déflagration d’une explosion et le souffle produit. Le vent est une métaphore du souffle, le poète insiste sur « trop fort » une hyperbole montrant la violence des combats qui atteignent la population « Les nuages

maître de son destin. - Représenté à travers une énumération d’adjectifs à connotation négative. Ils font référence à la théorie platonicienne de l’enthousiasme (poète comme un oracle). - Dans les deux premiers vers du poème on identifie des allitérations : en [f] : "insensé, furieux farouche, fantasque" => sifflement de la foule en [m] : "maussade, malplaisant, médit" => grondement de la foule => Identification d’une harmonie imitative. - Le choix des adjectifs insiste sur l’absence de socialité du