Allitération En F

misère les déshumanise. On a aussi un glissement de focalisation car c'est Zola qui s'exclame "lasse d'enfanter des meurt de faim", on a une antithèse entre enfanter et meurt de faim. Cela signifie qu'à peine nés, ils sont déjà condamnés. La sonorité en "f" et en "m" associe les femmes et les enfants. 3. Du plan général au plan restreint : On distingue trois groupes de femmes : "quelques-unes", "d'autres", "tandis que". Le premier est constitué de femmes matures qui tiennent les enfants. Il y a d'ailleurs

: "une vague épouvante" = espace qui cause l'épouvante (l'espace pour la cause) FIGURES DE DICTION OU DE SON* La rime: -vers 3/4 - dissonance (réseau de l'argent/réseau amoureux = dissonance ironique)-vers 5/6*Allitérations en R:-vers 1/11 *Le terme "vers" (9) fait référence à l'animal qui ronge le cadavre et, bien sur, à la poésie. Il y a un jeu sur l' homonymie qui prépare la dernière image du vers 24: la figure de l'Antiquité

Hétérométrie : décasyllabe, vers de 4 syllabes, vers de 6 syllabes puis à nouveau décasyllabe. (jeu ? celui du milieu fait 6+4=10 comme les vers les encadrants)· Rimes avec même structure répétée : ABAA. Changement à chaque strophe. Rimes suffisantes.· Allitération en « l » et « s » sur l’ensemble du texte > encore une fois mimétique de l’écoulement de l’eau.1ère strophe : évocation d’un amour passé· Le pont Mirabeau est un édifice moderne (construit en 1896), il se trouve dans le quinzième arrondissement

misère les déshumanise. On a aussi un glissement de focalisation car c’est Zola qui s’exclame "lasse d’enfanter des meurt de faim", on a une antithèse entre enfanter et meurt de faim. Cela signifie qu’à peine nés, ils sont déjà condamnés. La sonorité en "f" et en "m" associe les femmes et les enfants. 3. Du plan général au plan restreint : On distingue trois groupes de femmes : "quelques-unes", "d’autres", "tandis que". Le premier est constitué de femmes matures qui tiennent les enfants. Il y a

b) Description des conditions de travail : un travail répétitif ↳ nombreux procédés rythme identique, ternaire : GN + proposition subordonnée relative anaphore de «même» v.6, «tout» v.10, «jamais» v.11 allitération en [m] : v.6 rythme binaire : v.9 un travail qui dure ↳ précision numérique : «quinze heures» v.4 → réalisme ↳ précision temporelle : «de l'aube au soir» v.5 ↳ adverbe «éternellement» v. 5 → la longueur de l'adverbe traduit la

b- Un jeune homme en sommeil: * Champ lexical du sommeil : dort ; étendu ; lit ; tranquille le poète veut nous faire croire que le soldat ne fait que dormir * Répétition du verbe « dort » * Inactivité : alitérations en [n] et [f] + la négation du vers 12 « les parfums ne font pas frissonner sa narine » cela montre que : alors que la nature est vivante, ce soldat ne bouge pas c- Il semble malade : * Adjectif « pâle », « un lit vert » la nature lui a donc construit

| |Rôle de la musicalité |Rejets |Strophe 2 : |Opposition : | |Les allitérations démontrent particulièrement bien le | |« Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu/ |Rimbaud met l’emphase sur le fait que le soldat est | |thème de la mort. Étant donné que ce sont les

|1 |Allitération (répétition des mêmes |Cette obscure clarté qui tombe des |A | | |consonnes) |étoiles. | | | | |Un silence assourdissant. | | |2 |Assonance (répétition des mêmes |Je ne parlerai pas de son insolence, |B | | |voyelles) |encore moins

forge « le faire rouge, la tête du boulon, le métal ». Le texte est sonore puisqu’il est rythmé par les bruits assourdissants du forgeron « série de coups d’une précision rythmée, taper la mesure, retombait en cadence ». La description contient une allitération en –k qui rappelle les coups de marteaux « coups, colonne, comme, cou ». La description insiste sur les parties du corps, qui participent au travail « poitrine, épaule, bras ». Le lecteur découvre la puissance et la virilité qui se dégage de Goujet

immense corps » | | |(l.13) | | |Allitération en [l] « alors », « levai », « voiles », |Insiste sur l’aspect rapide et léger de la course, comme s’il s’agissait d’un | |« l’allée », « la plaine » (l.9) |vol.