Allitération En F

musicalité du poème en prose. On relève une allitération en [m] dans : « Mon âme voyage sur le parfum comme l’âme des autres hommes sur la musique ». Elle confère douceur au passage et donne à entendre le murmure du chant musical. De même, l’assonance en [ã] dans le passage suivant qui évoque aussi un chant et une musique n’est pas innocente : « un port fourmillant de chants mélancoliques ». On remarque encore que le son du roulis est renforcé par des allitérations en [r] et en bilabiales [b] et [p] : « bercées

« éternels » et « sans retour » montre que le temps passe, inexorablement. C’est la contemplation du lac qui fait naître cette réflexion, et le souvenir l’envahit. Il est submergé par ses états d’âme. La vague de ses sentiments le recouvre (vers 1 : allitération en « v »). La présence de participes passés montre à quel point l’homme n’a pas de prises sur la fuite du temps. Il est emporté par le temps comme il le serait par une vague. Au vers 3 et 4, le poète utilise une métaphore qui sera filée dans tout

attaque : anonymat des ennemis (pluriel), on ne sait qui parle « les voix » l 14 B. Le déchaînement de la violence champ lexical du bruit qui traduit la violence (« hurle » « fracas » l5 et 27 ; violence des bruits qui assourdissent = allitération en r et en f l5, en t l6) verbes qui traduisent la violence« crèvent » l 10+ « crève la nuit » l 30 ; « éclatent » l12« piochent » « vomir » l 31 + « vomissent » l36 l 38 « cognent » l 41 « criblent » l45 « assassine » l47 une attaque qui est

le sifflement. Pour évoquer la vision et l'ouïe avec des sensations visuelles et auditives. Trajectoire du crachat du canon. Le rouge du vers 1 est repris par écarlate v.3, c'est plus pathétique. Sonorités dures : Allitération en - "r", "crachat, raille, croulent" - "f", "infinie, fumant" - "sse", "masse…" Sensation visuelle "rouge" et auditive agressive. 2. Déshumanisation des hommes Vue du ciel proposé par Rimbaud dans les 6 premiers vers est un champs de bataille. Les

et lui confère une longueur particulière, on insiste sur l’aspect doux reveur du personnage pour mieux détromper le lecteur : le pers n’est pas un doux rêveur mais un matérialiste. Diérèse sur insoucieux, insistance sur cet aspect : ironie + allitération en « f » au vers 3. Deux alexandrins au vers 3 et 4 dont la longueur est poétique, on présente aussi la beauté prometteuse, propre à la rêverie d’un paysage poétique « le printemps en fleur », mais c’est une simple broderie sur une paire de pantoufles :

adverbiale « sans fin » = fatalité de la vie du poète· Registre élégiaque : le poème est un chant de plainte· Rythme binaire des phrases (exemple de l’hémistiche du 2ème vers) comme si le monde autour du poète était trop rapide pour lui· Allitération en [v] / [f] / [r] = harmonie imitative du vacarme des usines · Portrait très sombre du quotidien de Samain à l’effigie de celui des mineurs· Dernier vers de rupture qui sert de transition à la prochaine strophe· Passage du passé-composé à l’imparfait

novice d'un domaine. Ici, l'amour. Seulement pour 48 heures car dans ce réseau social on ne reste jamais longtemps novice. Comme pour l'amour, on se sent expert après peu de temps. - Avec les allitérations (répétition d'une consonne ou d'un groupe de consonnes dans plusieurs mots qui se suivent) en [ F ] et en [ L ], STROMAE développe les différentes étapes d'une romance, en faisant un parallélisme (évolution suivie de deux choses comparables) avec Twitter. On s'affilie: Tout commence par le fait

couvert de dominance noire qui avale jusqu’au soleil. Au final, le rouge de l’astre semble à peine préparer en amont la canicule étouffante dans laquelle est rapidement plongé Angelo. En effet, le second paragraphe débute par une phrase aux allitérations en f et en ch (« chaleur », « étouffante », « soif », « chaud »), consonnes fricatives, raclant presque la gorge asséchée ; de même que la répétition des mots « chaleur » et « chaud » qui alourdissent cette tension ; ou l’opposition entre « étouffante »

crise de démence qui semble l’habiter, comme le prouve la métaphore : « De votre entreprise il vous faut voir sortir » (v.1367) : Il apparaît comme un homme et borné, et sûr de lui. · Son mécontentement apparaît cependant à travers les allitérations en [ k ], et en [ s ], laquelle évoque son soupir de résignation : « Je c onfe ss e qu ’ici ma c

morales et sociales ▪ Insistance sur la droiture avec « loyauté » et « franchise » c. La naissance du mythe de l’Eldorado (datant du XVIIème siècle) ➢ Insistance sur l’or et des richesses incroyables ▪ Allitération qui fait ressortir l’hyperbole : « merveilleuse magnificience » ▪ Image du paradis originel troublé par les méchants. III. Un point de vue Humaniste sur la conquête. a. La foi dans le progrès ; l’enseignement