Allitération En R

(longueur des vers, enjambements, peu de ponctuation, assonances et allitérations,…) - Jeu sur les sonorités et effet : Dans la première strophe, il y a une assonance en « i ». Dans la seconde, il y a une allitération en consonnes occlusives (« c », « p »,…). Dans la troisième strophe, on retrouve une assonance en « a ». Dans la quatrième strophe, il y a une allitération en « r ». Dans la sixième strophe, il y a une allitération en « p » et dans la dernière, une assonance en « è ». Une strophe

le poème d’Apollinaire ce distingue des autres par un trait singulier. En plus, ces poèmes résident sur un registre commun, bien que chaque poème ait son registre propre. On constate en effet, que les documents A, B et D, reposent sur les allitérations en [r] :<<Prennent>> ;<<albatros>> ;<<navire>> ;<<gouffres>> ;<<amers>> ;<<rois>> ;<<azur>> ;<<maladroits>> ;<<grandes>> ;<<avirons>>

brise »v.5 -> gradation croissante, les termes sont de plus en plus violents. La violence du conflit est croissante. ->dénonce l’horreur de la guerre.  Métaphore v.14, champs=mère  Allitération : répétition de consonnes. V.15-16 en [r]->son dur  Assonance en [ou] v.17-18-> accentue la violence  Allitération en [d] v.8->violence de détruire l’autre. II) L’engagement du poète en faveur de la cause. A) La mise en scène d’une famille : une stratégie argumentative  Champ lexical de la

phrase qui s’étend. Ce contraste entre la longueur des phrases montrent les moments où Antiochus est actif, où il réagit et les longues phrases s’apparentent à un chant élégiaque qui n’en finit pas. Musicalité des allitérations Allitération en [r] qui retranscrit la souffrance : allitération filée. Vers 30,31 « Pour me venir encor déclarer son amant//Quel fruit me reviendra d’un aveu téméraire » ensuite on a au vers 32 : « partir », « déplaire ». Puis vers 33 : « Retirons-nous », « découvrir »

participe du rythme rapide de la fable. L’oxymore « onde menaçante » qui désigne le torrent suffit à montrer la frayeur que ce cours d’eau provoque. Deux noms seulement évoquent toute sa puissance : « fracas », frayeur » (notons que l’allitération en [ r ] dénote la tonitruance.. R2 Le rythme de la fable tient le lecteur en haleine et le séduit pour mieux le conduire vers la leçon. A2 Mais encore, pour mieux faire comprendre son propos, le narrateur nous propose un système d’oppositions systématiques

valeur du mode de vie traditionnel des antillais, peuple sensible à la poésie (d'une pensée jamais lasse). Le paradis perdu et ses images d'une vie idyllique (le fleuve des tourterelles et les trèfles de la savane) est conforté par les allitérations en « t », « r », « f » et surtout par la douceur des sonorités. Il se prémunie contre la contagion de la civilisation occidentale qui apparaît dans la construction orgueilleuse de buildings de vingt étages, orgueil qui engendre la dégénérescence physique

| | |-le loup : fauve dominé par la faim : allitération « r » vers 7-8 + champlex : faim colère rage vengeance. | | |-l'agneau : innocence : « je tète » v21 + allitération «d»«s» vers 3-4 (sonorité douce) | | |

sonores Citations Remarques sur le style Interprétations -« cloches ; hurlement ; geindre » -v. 13-14 « Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement » -Champ lexical du bruit -Allitérations en « k », « t » et « r ». -ces allitérations montrent la violence de la crise. 2) Les hallucinations visuelles Citations Remarques sur le style Interprétations - « corbillards » (v7), « drapeau noir » (v20), « vaincu » (v19) -champ lexical de la mort Conclusion :

importants du texte « cœur » (v. 1-3-19-12-23), battre (v.1-3-14-19-23), le rythme des marées, des saisons (v. 3-19-14-24). On retrouve des allitérations en « r » en « m » et en « ch » dans le premier texte au (v.7-8) la consonne « r » et une consonne de menace. Il y a également des allitérations et assonance en « a » et en « ba » (au v. 1 et 2) qui rappelle la guerre. Dans

à la peste  situation de crise qui permet de brosser un portrait de la société en analysant les réactions de chacun + accentué par le champ lexical de la violence et de la mort : « Achéron », « mourante », « guerre », proie », « terreur ». Allitération en « r » qui confirme cette atmosphère sinistre et macabre. -Référence explicite à la mythologie avec l’allusion à « l’Achéron ». -Idée du destin et de la fatalité, force supérieure qui guide le destin, très caractéristiques des récits antiques grecs