Allitération En R

ément corrompu» adverbe «jamais» accentue l’impossibilité de guérir son mal être, utilisation du passé composé montre que cela a des répercussion dans le présent (il est dans le spleen)+ allitération en «r» qui montre la difficulté allégorie ( élément= mal être) Une alchimie négative s’est opérée dans ce corps et il perd toute espoir ver 15-16 «Et dans ces bains de sang qui des Rom ains nous viennent//Et dont sur leurs vieux

se servir d'un couteau ébréché, s'y reprendre à plusieurs fois. » souligne la nécessité de s'y reprendre à plusieurs fois. Le rythme décroissant (11, 9, 8) souligne la lente progression + la violence de la lutte est rendue sensible par les allitérations en [r] et [q] (« curieux, coupent, cassent, coups, porte, marque »). - Volonté de saisir sous tous ses aspects, par les différents sens. * La vue : la taille « la grosseur », l'aspect « apparence plus rugueuse », la couleur « d'une couleur moins

encore dans l'image de la prostituée. On est très loin de l'image traditionnelle de Venus avec le poème de Rimbaud ou elle est moche et vieille Une femme lourde « Col gras et gris » avec un allitération en « gr » qui renforce l'idée de grosseur. « Rondeur des reins » avec une allitération en « r » qui produit le même effet. « La graisse sous la peau parait en feuilles plates ». « L'échine est un peu rouge ». Tout cela désigne la cellulite. L'adjectif large est utilisé a deux reprises au

“funèbre, funèbres” Répétition de l'adjectif“sanglots funèbres d’une cellule” “dont frissonnait chaque fleur” Personnifications L’angoisse se répand à l’intérieur de tout, elle habite le rêve. “funèbres, plaintifs, féroces, frissonnaient, fleur” Allitération en f Sonorité désagréable, inquiétante “pénitents noirs” Référence religieuse Suscite l’épouvante (ce sont eux qui accompagnaient les condamnés à mort) Ponctuation, rythme « ce furent »x3 Mêmes procédés que dans la strophe 1 que l’on retrouve

érotique : « extase langoureuse » « fatigue amoureuse » où les êtres semblent ressentir des sensations d’alanguissement bien montrées par le choix des adjectifs longs : « langoureuse » , « amoureuse » et la rime riche en [urɶ̃z] et des allitérations en consonnes liquides [l] et [r] qui montrent l’étalement, la langueur. Les mots « étreinte »v4 - « frissons »v3 reprennent cette idée d’amour physique de désir mais très vite associé à la nature, elle même personnifiée par le mot « cri »v9 L’usage de consonnes

lorsqu’il a écrit ce texte. Les mots qui se succèdent ont des similitudes phoniques : Courbe Cœur (allitérations en [r] et en [C])  Rosée roseaux (allitération en [r]) : on peut alors comprendre la métaphore sourires parfumés ds le même vers : rosée, roseaux évoquent indirectement la rose, d’où la métaphore du parfum Danse douceur(allitération en [d]) Tour cœur(rime intérieure en [r]) Jour mousse source couleur(assonance en [ou]) Paille astre(assonance en [a]) La logique du poème

Phèdre. Question 1: Il y a des allitérations en ‘’f’’ et en ‘’r’’ dans la première tirade, ‘’fureur’’, ‘’feux’’, ’’refus’’, ’’faible’’ vers 1228 à 1230, ‘’horreur’’, ‘’remords’’, ‘’refus’’, ‘’injure’’, ‘’endure’’, vers 1228 à 1230. Ces allitérations valorisent la douleur qu’éprouve Phèdre, mais aussi la jalousie qu’elle ressent, sentiment le plus insupportable à vivre.  1225, on n’a deux exclamations qui s’enchaine et qui donnent l’impression que Phèdre vit un véritable cauchemar, ‘’Ah ! douleur

décor maritime. Rayons irisés par décor aquatique _ Souhait physiquement impossible : « voulut ». Le deuxième hémistiche du premier vers rappelle l’ancien testament avec « sur » juste après la césure. _ Décor heureux : « bénin », « embellie » _ Allitération en –b + assonance en –an b) Le mystère du « nous » _ Écho sonore à la césure du v3 : « tous » --> mystère sur les pronoms « nous » & « elle » _ Oxymore « belle folie » souligne l’approbation apportée par le verbe « se prêter à » _ Le caractère

théâtre grec, avec l'effet de chœur des courtisans. L'intrigue elle-même peut évoquer la tragédie d' " Œdipe roi ", de Sophocle : Thèbes est ravagée par une épidémie de peste, et l'on recherche le coupable de ce châtiment divin. Mais aussi : - allitération en " r " : " répand ", " terreur ", " guerre ",... - hyperbole dans le vocabulaire violent ; - rimes masculines (fureur, terreur), donc dureté ; - syntaxe très étudiée : la peste est définie par 2 appositions avant d'être nommée. Il établit ainsi

description du poème→ Douceur ≠ Horreur- Allitération en [m] :→ Dimension un peu ridicule2ème quatrain :- Comparaison : « Comme une femme lubrique »→ La sensualité est associée au dégoût, ce qui est très paradoxal.→ Association amour charnel/décomposition→ Corps mort/vivant, animé de désirs- Dégouter le lecteur : « suant les poisons » / « exhalaisons »→ Insister sur l’odeur pestilentielle/méphitique- Utilisation de l’imparfait→ Description3ème quatrain :- Allitération en [r] : « Le soleil rayonnait sur cette