Allitération En R

valeur du mode de vie traditionnel des antillais, peuple sensible à la poésie (d'une pensée jamais lasse). Le paradis perdu et ses images d'une vie idyllique (le fleuve des tourterelles et les trèfles de la savane) est conforté par les allitérations en « t », « r », « f » et surtout par la douceur des sonorités. Il se prémunie contre la contagion de la civilisation occidentale qui apparaît dans la construction orgueilleuse de buildings de vingt étages, orgueil qui engendre la dégénérescence physique

passion Vers 7. Début du dialogue > D.D. > question agrssive > "mon" (qui renvoie aux seigneurs) + allitération en [r]. "hardi" = ton méprisant et agressif. langage soutenu > noblesse + tutoiement "te" Vers 8. rage = passion Intervention du narrateur qui qualifie loup et prend parti augmentation de l'angoisse chez le lecteur. Vers 9. justice > châtié hardi > devient témérité allitération en "t" Vers 10. soumission. Réponse de l'Agneau. Flatte le loup. "Sire" "Majesté" début et fin

des temps du récit au passé – imparfait (« passais ») et passé simple (« je crus ») – qui nous entraîne dans l’univers du conte.Le quatrain initial se conclut sur cette invitation : et je lui dis : veux-tu t’en venir dans les champs »La vibrante allitération en « v » (« veut-tu », « venir ») souligne le désir du poète pour la jeune fille. L’interrogation crée un effet d’attente à la fin de cette première strophe.Au cinquième vers, le polyptote sur le mot regard (polyptote= utilisation du même mot sous

homme malheureux => Comment la présentation du rêve représente le portrait de la femme idéal ? 1. Portrait de la femme idéal - L'amour est réciproque: "et que j’aime, et qui m’aime" (vers 2), "et m'aime et me comprend" (vers 4) - Légère allitération douce en [m] au vers 2 - Vers 2 et 3 : 6/3/3/3/3/6 - Anaphore de "elle seule" -> Elle seule est capable de comprendre et consoler le poète, unique amour - "cœur transparent" (vers 5) : la femme comprend les émotions du narrateur. - "regard

(agressifs) : allitération en S et R, il s’isole, reste au milieu de la rue, ville sombre assimilée à la nuit, métaphore état du poète, état de spleen : violence. Rencontre= éclair, lumineux, choc, femme, opposé de la nuit et de la vie sombre du poète. C’est dans ce cadre que le poète aperçoit cette femme. C’est comme un coup de foudre. C’est cette idée qui apparaît dans la description de cette femme. II. Une femme double Une femme double (portrait d’une passante, quête idéale, allitération en L,

couleurs. Rimes alternées. Beaucoup d’images se rapportant à la nature. Musicalité : enjambement -> Rythme ample et lent pour décrire la beauté du paysage. 2 rejets poétiques, “Argent”(v.3) et “Luit”(v.4) -> luminosité et soleil (=beauté) Allitération en S et en R -> écoulement de la rivière. Assonances en OU -> sons clairs qui mettent en évidence la magnificience de la nature. 2ème strophe -> 1 quatrain d’alexandrins. 1 personnage cadre, le soldat : -> Précisions sur son aspect, sa posture. Enumération

meilleurs:Nous l’allons montrer tout à l’heure » ainsi qu’au vers 7 et 8 « Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage ».La Fontaine joue sur les sons entre autre au vers 4 « Dans le courant d’une onde pure » où il y a allitération en [n],elle symbolise la pureté et l’innocence de l’Agneau. La fable « La Loup et l’Agneau » met en valeur les talents du fabuliste La Fontaine grâce à une écriture soucieuse de vivacité et de dynamisme. Le discours argumentatif occupe

tercets. 2 premiers quatrains, ce qui se passe simultanément sur le champ de bataille et le lieu de culte dans les tercets. Les deux premiers quatrains : propositions subordonnées. -> description champ de bataille + églises = liés vers 1 : allitération en R . harmonie imitative tente de reproduire la mitraille → personnification. Description visuelle presque picturale. ''rouges'' → sang ou coup de feu / donne le ton du poème : dénonce la guerre. → Guerre inverse les valeurs , H → objet /

Mépris de la vie et consolation contre la mort (analyse) (1er quatrain) «Assied-toi» apostrophe du lecteur pour lui suggérer un spectacle «Flot sur flot roulant en mille et mille tours»hyperbole (figure d’intensité, d’exagération). Vers 2 et 3= allitération en «r» et «l» consonnes pour imiter l’écoulement de l’eau. 4e vers=puissance de la rivière. (2e quatrain) «Mais tu ne verras rien»opposition au deuxième vers «tu la verras» «et» du 3e vers marque une antithèse. Enjambement perpétuel sur les deux premiers

en chiasme), enfermant le poème et le poète dans la courbe des yeux de la femme aimée. b) Echos phonétiques sur « courbe » (consonnes = allitérations, voyelles = assonances) : « tour, cœur, douceur, tout (X 2), toujours (X2), jour (X2), mousse, sourires, couvrant, sources, couleur, couvée, coule ». c) Réseau lexical de la circularité (et allitération en « r ») : courbe, tour, rond, auréole, berceau, sourires, couvrant. Et mouvement ondoyant de la danse qui berce le poème : « danse (v. 2), « vent