Allitération En R

Au vers 7, il est "étendu", intensifie l'impression de confort ; vers 8 " un lit vert", la nature lui a construit un lit. Si on regarde d'un peu plus près, nous voyons qu'il paraît mort : vers 14 "deux trous rouges sur le côté droit", + allitérations en "r". À partir de ce moment nous basculons dans l'horreur, dénouement très brutal. III - Aspects contradictoires La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2 signifie

vers une nouveauté  c’est abstrait (sens difficile à comprendre car il y a trop de sensations et d’émotions) « Bazard organisé » Le contenu du poème Sons et mots qui se répètent :  Assonances en « r » : grincement violon, son discordant  Allitérations en « o » et « on » : vers 11  lourd  Allitérations en « é » : vers 17 & 18  Assonances en « ç » et « s » : vers 17 & 18  Répétitions : « violon-girafe »  Anaphore : « que personne jamais ne.. » L’aspect surréaliste Des images absurdes étranges

Aspect BESTIAL : vers 19, 21, 22 -> sang, terme violent vers 7, 16, 18 (sur les mots qui comportent la diérèse) -> aussi des termes violents anaphore (répétition) du mot « leur » (v.5/6) -> violent entre eux (qui se voit par le vers 8) allitération du son [r] -> montre la dureté de la guerre assonance du [ou] enjambement vers 15/16 et vers 19/20 B- grossissement des images vers 8 fait penser à l'épopée MAIS valorisation du héros donc pas ici Jamais désigné comme enfants de camps différents

l’exil à Epire lorsqu’elle fut enlevée par Pyrrhus. Il parle aussi du cygne qui s’est échappé de son cirque et se retrouve perdu dans un environnement qu’il ne connaît pas. Sa souffrance est renforcée par une allitération en « r » au vers 8 : « rongé d’un désir sans trêve ». Cette allitération renforce la souffrance des thèmes abordés. De même la négresse se sent perdue loin de son pays natal. D’autre part nous constatons beaucoup d’exclamations aux vers 12, 18, 24… qui montrent la douleur ressentie

poème historique --> R. fait une leçon à Napoléon en passant par Louis XIV | -En symphonie --> quatre parties précédées de chiffres romains | -Ode-Sous forme de roman --> avec 3 chapitres --> des péripéties | -9 quatrains en alexandrins en symétrie autour du quatrain 5 et de deux quatrains identiques d'octosyllabes qui commencent et achèvent le poème (incipit et clausule) | -Sonnet: deux quatrains, deux tercets | Registre | -Ironie --> déception de R. face à la résistance de

éléphants. Terme dépréciatif dans ce contexte « cornacs ». - allitérations en /b/ /p/ ou en /r/(consonnes labiales): gros bureaux bouffis (g-r-b-r-b); bourgeois poussifs (b-r-p); rondeurs de ses reins (r-r-r). Ces consonnes roulées provoquent une idée de lourdeur. - boureaux

par l’obligation des enjambements et des rejets. Le rythme binaire classique des Alexandrins est accéléré pour devenir Ternaire (V.11) et devient même irrégulier car ternaire cassé dans le dernier tercé (V.13). * Allitérations = retour d’un même son consonantique. Ici [l], [r], [p], [b] = 1er quatrain. * Assonance(s) = Retour d’un même son vocalique. Ici [a], [i], [o] = 1er quatrain. Texte B : En vers libres : « Prose de Transsibérien et de la petite Jeanne » B. Cendrars. Différences par

consommation sans frein des victuailles du jardinier. La dernière péripétie (lâchasse au lièvre) nous montre la course poursuite du lièvre dans le potager. La préparation est toute militaire (v.41). Les trompes et les cors font un tel tintamarre. Allitération (T). Le mouvement rapide et violent de la troupe qui chasse le lièvre est évoqué au vers 48. Face à cette expédition militaire le jardinier est impuissant. Il en est réduit à une résignation fataliste. Elle apparait au vers 53. Le dénouement repose

d'altitude (v.18-20). L'atmosphère décrite par Michaux a l'air oppressante, inhabituelle pour lui. Il a une perte de repère (v.2), introduction avec le verbe «disparaît». A la première strophe nous pouvons voir une assonance en AN ainsi qu'une allitération en S, vers 4-5 nous pouvons remarquer une enjambement ainsi qu'une répétition «qui s'étendent», il y a là une idée d'immensité. Nous pouvons voir une piège de nuages, avec un euphémisme au vers 3, les sens sont troublés, pas de liberté : «impression»

duré. Elle est liée au rythme de l’octosyllabe à rimes plates et aux accents prosodiques. On peut ainsi relever de nombreuses allitérations en « r »et « p ». De plus les sonorités nasales aux rimes aux vers 1 et 2 se retrouvent décimées dans l’ensemble du poème. Le texte repose sur un jeu d’échos subtils : il y a l’inversion des sonorités dans les rimes, par des allitérations qui rythment le vers. Les baladins traversent un paysage « triste », « terne »car « sans église », ils semblent être à la recherche