Allitération En R

personnage de précieuse et de coquette qui aime le beau langage. Roxane est déçue par Christian qu’elle trouve beau mais fade. -Voir la réponse plate de Christian. (v.2) phrase minimale ! Conditionnel de politesse et souhait bien irréel. -Rejet de R dans un jugement négatif : « Non ! Vous parlez trop mal ! » « Vous ne m’aimez plus !» : emploi de l’exclamation, la négation et de l’impératif pour le congédier : « Allez-vous-en ! » -Christian, désemparé, supplie sa belle mais il manque de vocabulaire

qui les adorait tant. - Le symbole des calèches armoriées et vides représentent le luxe, la position sociale des filles à travers les armoiries, mais aussi le vide de leur cœur, l'absence de toute humanité. - Elles sont cependant présentes grâce à R. qui pose une photo d’elles au temps de leur amour désintéressé pour leur Père. - Photo posée « religieusement », qui parle du temps de la pureté du cœur, de l’Amour, non perverti par les intérêts « du temps ou elles ne raisonnaient pas ».  Rastignac

Au vers 7, il est "étendu", intensifie l'impression de confort ; vers 8 " un lit vert", la nature lui a construit un lit. Si on regarde d'un peu plus près, nous voyons qu'il paraît mort : vers 14 "deux trous rouges sur le côté droit", + allitérations en "r". À partir de ce moment nous basculons dans l'horreur, dénouement très brutal. III - Aspects contradictoires La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2 signifie

parallélisme de construction, mais les rôles sont inversés. c) les objets L’Homme devient « il », il s’efface devant les objets qui passent à la 1ere place. Ils semblent dotés de volonté. - Le Trésor : champ lexical de la richesse exploité ++, allitérations en [l], son rôle déterminant. - La masure : non décrite, simplement définie par sa vétusté qui devient symbole de la fragilité de la condition humaine. - La corde : « licou » : animal, personnifiée, avide de son pendu, incarne la destinée. Le

du poème) mais également "étrange et pénétrant" (vers 1) -> confusion et contradiction car ce qui est familier n'est en général pas étrange : Verlaine rêve d’un monde différent ("étrange") mais dans lequel il se retrouve ("familier"). Les allitérations en [r] et en [t] font sonner durement ce premier vers. Rythme confus, flou : nombreux enjambements (vers 1, vers 3, vers 5...), refus de la césure à l’hémistiche, (vers 9, 13-14..),diérèses ("inflexion" à prononcer en 4 syllabes vers 14). Le lieu

sonnet. Au vers 7, il est "étendu", intensifie l'impression de confort ; vers 8 " un lit vert", la nature lui a construit un lit. Si on regarde d'un peu plus près, nous voyons qu'il paraît mort : vers 14 "deux trous rouges sur le côté droit", + allitérations en "r". À partir de ce moment nous basculons dans l'horreur, dénouement très brutal. La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2 signifie l'agitation de la rivière. Nous

lexical de la chasse poie et attachée . Stylistique : Rythme et sonorité : « c’est venus toute entière a sa proie attachée » Consonnes : alliterations en « ss » et « t » Voyelles : alliteration en « é » et « a » alexandrin sonorité : voyelles orales « é » « ou » « a » consonnes sifflantes « ss » nasale « n » Occlusives « p » « t » vibrantes « r » constrictives « ch » « v » « ss » « c’est venus /toute entiere /a sa proie/attachée/ » 3/3/3/3

Au vers 7, il est "étendu", intensifie l'impression de confort ; vers 8 " un lit vert", la nature lui a construit un lit.     Si on regarde d'un peu plus près, nous voyons qu'il paraît mort : vers 14 "deux trous rouges sur le côté droit", + allitérations en "r".     À partir de ce moment nous basculons dans l'horreur, dénouement très brutal. III - Aspects contradictoires     La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2 signifie

par la foule = complément circonstanciel de lieu « autour de moi »= chiasme+Personnification de la rue = »hurlait »+ allitération en r = inconfort rue = inquiétante voc péjoratif + hyperbole . Le poète est détaché de la rue ...La rue se referme sur lui. V2 Énumération adj épithète « longue,mince»=beauté moderne + en se rapprochant « en grand deuil »= habillé de noir +allitération en «d» = renforcement + oxymore «douleur majestueuse» il trouve de la beauté dans la douleur . Cela fait d'elle une

Une scène romanesque A- Un décor hostile à la rencontre : la rue - allitération en [r], personnification de la rue. - encadrement du poète : chiasme sonore - B- Une rencontre tel un coup de foudre - 2 unités de sens quatrains puis tercets - 1er tercet : aussitôt produite, rencontre appartient déjà au passé. - Champ lexical du fugitif - Une femme majestueuse