Allitération En R

Or’ sur un mont, or’ dans une vallée, Or’ près d’une onde à l’écart recelée, Libre folâtre où son pied le conduit :   De rets ni d’arc sa liberté n’a crainte, Sinon alors que sa vie est atteinte, D’un trait meurtrier empourpré de son sang : allitération   Ainsi j’allais sans espoir de dommage, Le jour qu’un œil sur l’avril de mon âge Tira d’un coup mille traits dans mon flanc. Comment est décrit l’être aimé ? L’œil synecdoque, regard foudroyant, fatal, comme des flèches. Femme comme

EVOCATION DES HORREURS DE LA GUERRE A travers ce poème lyrique, Pierre REVERDY critique la guerre, exprime ses Inquiétudes , expriment ses sentiments. Il dénonce la violence de la guerre, ainsi peut on observer dès le début du poème des allitérations en « R » et «F» pour évoquer la déflagration d’une explosion et le souffle produit. Le vent est une métaphore du souffle, le poète insiste sur « trop fort » une hyperbole montrant la violence des combats qui atteignent la population « Les

Au vers 7, il est "étendu", intensifie l'impression de confort ; vers 8 " un lit vert", la nature lui a construit un lit. Si on regarde d'un peu plus près, nous voyons qu'il paraît mort : vers 14 "deux trous rouges sur le côté droit", + allitérations en "r". À partir de ce moment nous basculons dans l'horreur, dénouement très brutal. III - Aspects contradictoires La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2 signifie

Rome dans les deux tercets sont froids et durs (le front audacieux, le marbre dur, le Tibre latin, le mont palatin, l’air marin ALLITERATIONS. en dentales D et T + R) , alors que les termes qui servent à décrire le village regretté sont extrêmement simples et chaleureux (me plaît, mes ayeux, l’ardoise fine, mon Loire, mon petit Liré, la douceur angevine ALLITERATIONS. en liquides L + M, N) 3.Opposition syntaxique : la comparaison Répétitions de la structure comparative renforcent l’opposition:

« chocs funèbres » , l’obscurité est évoquée avec «  froides ténèbres ». Cette partie sombre est renforcée par une énumération de sentiments «  haine , frissons , horreur , labeur , et force ». L’auteur insiste sur l’état d’angoisse avec les allitérations en « r » d’un grande dureté, ainsi que l’oxymore «  enfer polaire » . Il n’y a aucunes sensations agréables notamment avec : «  solaire polaire , inutile … » . Les trois premières strophes correspondent au spleen car une sensation celle de l’évocation

morte" : tous cela fait référence à un sentiment de mal-être, de refus de la vie. La mélodie des poèmes est, d'une autre manière, aussi un procédé rappelant la mélancolie. Nous avons les allitérations en [on] et [en], sons nausaux, qui marquent la langueur du poète. D'autres allitération de consonnes dures en [r], [t], qui sont des consonnes dures qui marquent la douleur de l'auteur. Les rythmes sont souvent réguliers au début des poèmes, jusqu'à une rupture de celui-ci avec des mots ou des ponctuations

dans le titre et au vers 1 et placé juste avant la césure du vers 1. - "rêve familier" en oppposition avec "rêve étrange et pénétrant" (v.1) : confusion et contradiction : monde différent ("étrange") mais où l'auteur se retrouve ("familier") - Allitérations en "r" (uvulaires) et en "t" (dentales) font sonner durement ce premier vers - Rythme étrange/flou : - nombreux enjambements (v.1, v.3, v.5...) - refus de la césure à l’hémistiche, (v.9, v.13-14..) - diérèses ("inflexion" à prononcer en

Lecture analytique 2 : chapitre 22 « la descente dans le volcan » Introduction : à rédiger. I –Une description scientifique de la nature a) une description méticuleuse, étape par étape  Récit : descente dans le volcan. Personnages présents : professeur Lidenbrock, le guide islandais Hans et Axel, le neveu du professeur. Point de vue interne : Axel raconte « nous descendions » l. 7 « nous allions » l.16 1ère personne pluriel + imparfait : temps du récit. « je songeais

crise, rongé par un mal que, par peur ou superstition, on n’ose pas nommer dès le début de la fable. deux périphrases désignent cette maladie (v. 1-3). l’anaphore du mot “mal” (métonymie de la peste), la rime masculine fureur/terreur, une allitération en liquides (l, r), dentale (t) et labiale (p) dans les trois premiers vers, produisent un effet d’attente et montrent la violence de ce mal divin. la colère divine est à l’origine de ce châtiment envoyé aux hommes (v.2) un vocabulaire qui connote la violence

apparence physique, coquetterie, séduction, ressemblance → personnification « Sa robe pourpre . . . les plis . . . robe pourprée » allitération en P et en B renforce • La femme devient rose → fraicheur de la jeunesse « Fleuronne », « verte », « cueillez » → métaphore avec vocabulaire botanique pour la femme b) Rapports Cassandre/Ronsard : • Impression que R est proche de C, qu’ils se connaissent bien « Mignonne » • Impression d’éloignement, ils ne se connaissent pas bien « Vous me croyez