Allitération En R

vers 7, il est "étendu", intensifie l'impression de confort ; vers 8 " un lit vert", la nature lui a construit un lit. Si on regarde d'un peu plus près, nous voyons qu'il paraît mort : vers 14 "deux trous rouges sur le côté droit", + allitérations en "r". À partir de ce moment nous basculons dans l'horreur, dénouement très brutal. III - Aspects contradictoires La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2 signifie

course l’a donc soudainement piégé et privé d’amour. De même que sa période amoureuse se traduit par des allitérations douces en [l], [s] et [m] avec des mots tels que « mot » (v. 1,2,3,4), « larme » (v.1), « l’amour » (v.2), « délices » (v.3), « sèvre » (v.3), « j’aimais » (v.6), « lie » (v.7), de même la réalité se traduit par le biais de sonorités plus dures, telles que des allitérations en [r] et [t] avec des mots tels que « tranche » (v.2), « départ » (v.3), « éternité » (v.4), « comprendre »

toucher « la caresse » Allitération des « s » cela provoque la sensualité Lou est comparée à la déesse de l'Amour « si » émet une hypothèse – une montée en puissance du désir envers Lou – effet langoureux champs lexical du feu «  flamme » « flambe » « phénix » : évoque l'amour éternel III- Retour à la réalité vers plus petit et vers libres anadiplose « chaque jour » il pense à Lou mais il y a aussi un retour à la réalité image du tramway – désagréable, allitération de « r » et assonance de « i »

mais de la retenue constitué de jeu de sonorités significatives qui contribue a créer l’émotion poétique en participant à la musicalité du texte par un effet d’écho, une allitérations qui signifie une répétition d’un même son consonantique en –p et en –m pour quatrain 1, des allitérations en –v et en –p pour le quatrain 2, en –r et en –v pour le quatrain 3 de même de pour le quatrain 4 et pour finir, sifflantes, dentales et gutturales pour le quatrain 5. c)Dans le poème d’Alfred de Musset, nous

du chat  dans la  cervelle  de  l’auteur  (“​ Dans ma cervelle​ ” L­1)  Vers​  : Octosyllabe  Strophe​  : Dix quatrains    Musicalité (allitérations, assonances, échos et rimes)  Assonances :​  “​ Un beau cha ​t​ , fort, doux et cha ​r​ mant”​  L.3 → charme, envoûtement     “​ Peut­ê ​t​ re e ​s​t­il fé ​e,​  e ​s​t­il dieu ?” II. L.8v → exotisme,​  mystère  Allitérations :​  “​ Ta ​nt son t​ i​ mbre est  t​ ​ndre et discret” L.5  e Écho :​               le son “​ en”  :​  “​ Tant son timbre est tendre et discret” e

terne « brouillard » (21) « livide » (13) flou, couleurs classiques du fantastique _ Rouge « une tâche rouge » (6) mort, cruauté _ Opposition « rose et verte » (25) tournant pictural du poème, connotation de l’espoir b) Les images _ Allitération en « b » « Une mer de brouillard baignait les édifices »  paysage noyé sous la brume _ Métaphore « L’essaim des rêves » (3) image de l’essaim de mouches. _ Comparaison et Assonance en « ou » « Où comme un œil sanglant qui palpite et qui bouge »

scène. 2/ Les sonorité et les images Durant tous le poème on observe un jeu sur les sonorité : dans la strophe 3 il y a une allitération en «R» et une autre allitération constructive en «CH». Ce qui donne un sentiment d'être pris au piège comme dans une toile d'araignée. Localement chaque personnage est enfermée. Ils se débattent (supplice de la roue). Les allitération reflète l'agonie et les mouvements pour se débattre. Tous cela évoque la souffrance, le chuchotement de la foule mais aussi célébration

témoignage direct du narrateur. Le vocabulaire employé évoque des reptiles : "murailles lézardées", "tortueux", "grouillant". Il y a des allitérations en "r"à"furent d'abord", "raconte", "muraille". Ces allitérations renforcent la structure des strophes, cela rend plus cohérent. Il y a des phrases nominales (sans verbes). Le narrateur perçoit des sons avec des allitérations en "f" et en "l". Un dialogue entre les différents sons dans chaque scène est suggéré par la répétition de mots ou par antithèse :

Combat déjà terminé => plus-que-parfait "avait été" mais la violence est toujours perceptible : "le choc avait été très rude"  - superlatif "très" - isolation de la phrase derrière la césure "rude"// -phrase brève, allitération de consonnes dures avec le "t" et le "d" (dentales), le "r" et le "c" dur lexique de la violence : "choc", "rude", "carnage" chiasme vers 3-4 "humaient" "carnage" "âcres" "parfums" => ivresse meurtrière des combattants 3) Les conséquences du combat - importance des pertes

le récit d’une rencontre singulière (1à9) 1) Environnement urbain qui renouvelle le lieu de la rencontre amoureuse modernité· Contexte bruyant de la ville : chiasme rue/hurlait (parallèle entre rue et bruit) Allitération en-r (agressivité du contexte) 2) Un portrait ambigu de la passante · Apparition spectaculaire de la passante :· Antéposition des adj qui la qualifient et qui peuvent au départ se confondent avec la rue : la passante est une