Allitération En R

Forme: Il y a trois strophes. Ce poème est formé de trois Sizains. Syllabes: Dans chaque vers il y a huit syllabes. Allitération: _Dans la première strophe : il y a allitération des sons « R », « S », « P ». _Dans la deuxième strophe : il y a allitération des sons « S », »L », »A ». _Dans la troisième strophe : Il y a allitération des sons « O », « N », « V ». Il y a le phénomène de la Synérèse. Les rimes: les deux premiers vers de chaque sizain ont

str 2 : « se » + infinitifs (d’abord en « re », puis en « er »), + assonances en « r » et allitérations en « ou », ce qui crée un rythme et des allitérations, donc un effet musical (allitération suggestive, qui suggère le glissement des pas), le rythme 3-3 régulier (sauf 2ème moitié v 5 et 1ère moitié v 8) : évoque le rythme du ballet ; impression de ballet sans fin, amplifiée par les assonances en liquides : « r » et « l », et dentales « t » et « d » : ballet terrestre et spectacle collectif suggéré

ménager une pause et un rythme plus lent pour : « Encerclés par l’immensité de la mer. Dérivant avec la lenteur de l’agonie. » -Votre diction doit être travaillée et l’on doit entendre les liaisons et les jeux sur les sonorités : allitérations ou assonances : « On savait que si

se rend solide pour agir « vieux, jauni » -> champs lexical de la vieilles -> décrit rapidement  Le contenant n’est pas le plus important. « Armoire, coffret, flacon, maison » -> registres réalistes La serrure -> personnification et allitération en r « grince » -> angoissante « Une âme qui revient » -> allusion à une vie après la mort, référence à Lazare « Une âme » -> souvenir, passé, personne mystérieuse, caché -> agit quand découvert (-> génie, Aladin, 1001 nuits) « On dirait » ->

qui permet voir comment est construit le poème. Le poète jouer sur les formes, l'image d'unne courbe, une linge circulaire. Sensation visuelle (Qui suscite l'imagination). Question 2 : strophes de quintil en une phrase. L'alliteraiton en '' R '' qui permet d'insisté sur la fluidité du texte : Assonance en ''Ou '' instant sur le cercle en rondeur ; '' ce '' douceur de la femme. Lecture Analytique Part II La courbe de tes yeux est extrait du recueil Capitale de la

dures→quatrains glissent vers le présent « ont fait » : passé composé→résultat d’un passé, conséquences→conséquences : peu de fruits vermeils→son travail ne comporte que peu de résultats, poésies→paysage intérieur dominé par le tourment→jeu d’allitération en : r, are, re, ere→ »sorcellerie évocatoire » pour alourdir l’atmosphère du quatrain 2ème quatrain-→ « automne des idées » : temps adulte, évolution, saison symbolique car associé à la déchéance, dégradation, d’usure→jeune (36 ans) mais malade→métaphore filée

devient plus sonore : vagabondes colore. +de sonorité = +de vitalité. Cela renvoie au fait qu’il y a une apparition, un effet de surprise dans les tercets. Allitération en R dans les vers 3 et 4.  Effet de roulement. Quand le son donne à entendre ce qui est dit, c’est une harmonie imitative. 2ème quatrain : allitération en R dans liée à l’assonance en R liée à l’assonance en é. Tercets : assonance en I = surprise, sollicitation. Voyelles nasalisées = harmonie. Malgré une inspiration peu originale,

s’est arrêté » : l’amante n’est pas maîtresse de ses émotions : « mon œil » est sujet, ce n’est qu’une partie d’elle-même qu’elle ne maîtrise pas ; elle est victime de son attirance pour la beauté de l’être aimé dans ces deux derniers vers, les allitérations en « r » soulignent le danger de cet amour : « d’Amour », « dangereuses », « voir », « arrêté » ; de même que le « t » répété au début et à l’initiale et à la finale du vers « tant », « arrêté » 2ème quatrain énonciation : cette fois, c’est le cœur

contes, ainsi que l'imparfait -rythme binaire et harmonieux: 6/6 dans le parallélisme de construction.  Cf les 2 relatives. -allitération en [s] + écho de rimes « bien / festin » b) marquée par la rupture - « un jour » + le passé composé, qui marque l'accompli par rapport au présent--> répercussions ici et maintenant. -rythme bcp plus court, hâché: 2/6/4 -allitération en [r], absence de rimes, mais présence d'un vers blanc « Je me suis armé contre la justice » (décasyllabe) --> révolte! c) l'appel

de rimes sont alors des rimes en « esse » et en « art ». Ce qui est très ingénieux de la part de Clément Marot car nous avons repéré deux sortes d’allitérations dans le poème entier. Des allitérations sifflantes et donc comme le mot l’indique en ‘s’ et des allitérations uvulaires et donc en ‘r’. Ces allitérations sont formées des mêmes sons et des mêmes consonnes que toutes les rimes de ce Rondeau ce qui renforce l’harmonie imitative. La sifflante peut s’interpréter comme installant le calme et la