Allitération En R

l'effroi. 1. Le champ phonique : a : rime riche.  B : rime suffisante. c : rime riche. D : rime suffisante. e : rime riche. Rime incluse F : rime riche.   Rime incluse j : rime riche (ai/z/e) Allitération en s au vers 3, 7, 11 et 13 Allitération en v au vers 9 et 11 Allitération en r au vers 7 Assonance en a au vers 10, 12 et 13   2. Le champ morpho-syntaxique : Inversion au vers 1 et 2 : Comme les angles à l’œil fauve, Je reviendrai … Normalement, on dit : je reviendrai comme les

« avare » : avide, cupide. Avare bourreau de la création : allitération en « r ». « de ceux qu’il assassine » : allitération en « s » : sournoiserie. Dans son tronc douloureux ouvre… allitération en « ou » : élargissement. 3ème Strophe : Elle a pour sujet le pin. « Regretter… goutte à goutte » : allitération de g - k ; gutturale « sang » est mis pour sève. Le sang bouillonne : synonyme de la vie. Allitération des « v » et « b » : imite le bouillonnement de la vie (la sève

trois premiers quatrains (on entend que les araignées avec les allitérations en –R et en-S) et qui est brusquement rompu par la « furie » »des cloches » qui sonnent le glas et annoncent le thème de la mort qui occupent les deux derniers quatrains. - V.14 « un affreux hurlement », personnification des cloches qui représentent le cri de douleur absolue lancé par le poète. -V.15/16 : Plainte du poète rendue par les allitérations en –R et –S. Le poète est harcelé par la douleur du Spleen ( « o-pi-ni-â-tre-ment

des arts plastiques * Champ lexical de la musique * Champ lexical du théâtre * « cristal » l. 1 : optique * « des ciels gris de cristal » l.1 métaphore * Allitération en [an] l.2 * Allitération en [l] l. 3 et 4 : canal, élément fluide * Assonance en [i] l.1 et allitération en [r] * Allitération en [b] « blanc » l.10 « tombant » l. 11 * « on » l.7 seul pronom du poème * L.9 accumulation voir même gradation * « des restants » l.9 bouts partiels * « anéantit »

Prévert analyse linéaire : -répétition de ma maison V.1,6,48,50,56 = refrain -les vers sont hétérométriques = différentes syllabes Dans la 1ère strophe : -des assonances en « a » et « é » -des allitérations en « r », »s » et « m » -dernière strophe en « a » et « n » -allitérations en « r » et « t » A)Lyrisme Poème lyrique car il exprime les sentiments personnels du poète. B) énonciation Dans le texte , on peut relever un désir obsessionnel qu'il éprouve envers une femme qui nous

la persuader de partager son amour. La première strophe de ce poème se présente comme une invitation ; on remarque que le poète invite Cassandre à aller voir avec lui si la rose est morte, et qu'elle n’a pas perdu ses pétales. Il y a allitération des sons « R », « S », « P ». Anaphore du mot « Mignonne », ce mot est répété trois fois dans le poème, pour chaque strophes. Le poète décrit la rose en des termes appliqués d’habitude aux « vêtements » d’une femme : le « Las! » qui

Comment les sonorités (allitérations, assonances) contribuent-elles à suggérer les différents bruits perçus par le poète ? (Le tout dans un développement organisé) Dans ce poème nommé «Fenêtres ouvertes» rédigé par Victor Hugo, notre sens de l’ouïe est particulièrement sollicité puisqu’il nous décrit une série de bruits et de sons. En effet, le poème débute par « J’entends », et c’est le verbe le plus important car il nous indique le thème. De plus, de nombreuses allitérations et assonances sont présentes

peut imaginé que Apollinaire est voulue suggéré le lent empoisonnement pas les colchiques, en déréglant son sonnet. Il a aussi sans doute voulu renouveler une forme traditionnelle en la conservant. Répétition de automne, de s’empoisonne. Allitération en « r » vers 4 et 6. Ce poème renvoie à la tradition de comparer la fleur avec la femme, du 16eme siècle avec Ronsard. Caractère éphémère de la beauté avec la rose qui fane ® femme qui vieillit. Le Colchique est une fleur d’automne, vénéneuse : idée

a une idée de généralisation. Il désigne le poète mais aussi le lecteur. L'état de cette souffrance est quelque chose de récurent. Quelque chose de récurent dans la souffrance présent d’habitude et participe présent. Assonance en i / en allitération en l/ n / S / le fait de répéter souvent les même sons colle à l'idée de récurrence. On essaye de faire partager sa souffrance au lecteur. On provoque une musique qui accentue le mal être. Un crescendo se fait tout au long du texte. Deuxième

imperfection physiques • " fortemt paumadés v.2" => on parle des cheveux de la baigneuse INVERSION DE LA REPRESENTATION MYTHIQUE: à l'image traditionelle de Vénus Oppose Jeunesse à la veillesse. b) Lourdeurs des formes •Allitération en R " rondeur, reins " allitération en Gr " gras, gris " • evoquation de la célulite vers 8.9 • 2x "large" en résonnance avc "court" => corps aux formes pas élégantes Venus trditionnel représente la beauté tandis qu'ici rimbaud l'oppose à la laideur c) Nudité