Alphaville Godard

alors à ses rivales : Jeanne Moreau (Viva Maria, Louis Malle, 1965) ou Claudia Cardinale (Les Pétroleuses, Christian-Jaque, 1971). Le Mépris (Jean-Luc Godard, 1963), la seule fois où elle aura tourné avec un réalisateur de la Nouvelle Vague, constitue en fait la seule œuvre vraiment marquante de la seconde moitié de sa carrière. Après Clouzot, Godard met à nouveau en évidence ses qualités de comédienne. Il modifie son image en substituant à la Juliette de Et dieu créa la femme, symbole de la jeunesse

Pourquoi le cinéma ? Jean Epstein, Chantal Akerman , Jean-Luc Godard A l’attention de Claudine Le Pallec-Marand Université Paris VIII Sujet Nagisa Oshima, L’empire des sens (1976) Axelle Pierre – L3 Information&Communication – 235162 Janvier 2010 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION 3 Le Documentaire 4 La Photogénie 4 Le Dispositif 5 Le Rythme Cinématographique et Montage 5 CONCLUSION 7 BIBLIOGRAPHIE 8 FILMOGRAPHIE 9 FICHE TECHNIQUE 10 INTRODUCTION

Avant Propos J'ai choisi d'étudier le film de Jean Luc Godard Le Mépris, le tableau de Kandinsky Jaune Rouge Bleu et l'œuvre du Corbusier, en particulier la Cité Radieuse. Bien que ces trois œuvres soient au programme, je considère que le film de Godard est mon œuvre « libre » tant mon choix a été poussé par des raisons personnelles. J'ai beaucoup aimé ce film, grâce au jeu tantôt enfantin tantôt grave de Brigitte Bardot, sur une une situation tragique. Le fait que ce film soit inscrit

avoir vu des photos démontrant les conditions dans lesquelles les animaux étaient tués, elle décida de devenir végétarienne et entama sa première bataille. En 1963, à 27 ans, elle tourne dans le chef-d'oeuvre cinématographique, Le Mépris, de Jean-Luc Godard, avec Michel Piccoli et Jack Palance à Capri, Puis en 1965, elle joue aux côtés de Jeanne Moreau dans Viva María ! de Louis Malle, réalisateur qu'elle retrouvait trois ans après Vie Privée. L'histoire de deux chanteuses de cabaret, au Mexique, embrassant

ne peut pas se définire seulement par ses techniques cinématographiques révolutionnaires pour l’époque mais aussi par ceux qui la composent tels François Truffaut, Eric Rohmer, Agnès Vaeda, Jean Eustache, Jacques Rivette, Claude Chabrol et Jean-Luc Godard qui constituent le cœur du mouvement. Le mouvement n'est pas le fruit d'une longue recherche sur le cinéma, mais le produit immédiat d'une époque et le fruit de la rencontre de plusieurs jeunes cinéastes. C’est une partie de l’histoire dans cette

Perceptions et usages des mouvements de caméra “Les travellings sont affaire de morale” Jean-Luc Godard Par Florent Wolff Université de Montréal, 2003 Département d’histoire de l’art, secteur des études cinématographiques Séminaire d’Histoire du cinéma, problèmes et méthodes Professeur : M. André Gaudreault Plan Introduction : un article fondateur ? I. Origines des mouvements de caméra 1. Le dispositif 2. Le(s) premier(s) travelling(s) et la question de l’intentionnalité 3. Évolutions techniques

Jean-Daniel Pollet (1936-2004). - Agnès Varda (1928-). - Et tous ceux des Cahiers du cinéma. Par nouvelle vague on désigne surtout l'école des cahiers du cinéma où les élèves sont formés à la critique et au court-métrage. Parmis es élèves : Jean-Luc Godard, François Truffaut, Claude Chabrol, Eric Rohmer, Jacques Rivette ... 2. Les précurseurs de la Nouvelle-vague. Jean-Pierre Melville (1917-1973), un résistant influencé par le cinéma amériain. Le Silence de la mer, Melville, 1947/1949: son

série de courts métrages réalisés par les jeunes des cahiers, séduits par les conditions semi professionnels du tournage et le peu de moyens employés. Ainsi, chacun y va de son court métrage, Eric Rohmer avec Véronique et son cancre 1958, jean Luc Godard avec Tous les garçons s’appellent Patrick 1957, et puis Truffaut avec Les mistons 1957. En 1958, Chabrol est le premier à se plonger dans le long métrage. Grace à un héritage il réalise les cousins et le beau serge. Ce passage à l’acte donne naissance

formes filmiques - parfois empruntées au roman : on peut penser à Virginia Woolf, à la technique littéraire du flux de conscience et au mélange aux contours flous entre ce que fait le personnage et ce à quoi il pense, que l'on retrouve chez Jean-Luc Godard (lequel rendra directement hommage à Virginia Woolf dans ses Histoire(s) du cinéma). Toutes ces stratégies circonscrivent un goût de la vérité plus ou moins documentaire : le cinéma a trop menti, a trop monté la réalité, il est temps de la montrer

les ennemis et torturé. II réussit à s'évader et à accomplir sa mission mais on assassine la femme qu'il aime. Résultat: l'homme devant sa liberté. Il modifie son sujet, certes, par le traitement, mais surtout par la mise en scène . La caméra de Godard semble s'éparpiller dans tous les sens, sans raison, alors que ces courses incessantes ne sont autres qu'une fouille du réel. II cerne et cerne le réel jusqu'au moment où il a saisi la vérité. Et la séquence la plus révélatrice est celle où Michel