Amadou Lamine Drame

Kouafilann SORY Diakarya Sibiri Oumar Yoro Mamadi Philippe Anne-Lise Jean Serge Maurice Lala Isabelle Lakoun Julien Xavier Berthe Bibata Daouda Eneida Charlotte Jean-François Seïdina Oumar Alassane Tiémoko Sidi Modibo Suzanne Abdourahmane Harouna Saïbou Amadou Tidjani M. S. Nour Laurent Jérôme Foustin Baba Sow Amy Jean Joachim Diaga Yves Jules Anani Emanuel Têtê Rodrigue P. Mohamed Martial Kpakpovi Abdoulatiphe Didier Alexandre Abalovi Patrick Théodore G. Pierre Yaovi Kwame Kodjovi Mawuéna OUATTARA COULIBALY

Ce dimanche 13 septembre, le jour­ nal Ennahar a publié en « une » une photo inédite de l’homme, en costume et cravate, les yeux dissi­ mulés derrière des lunettes de soleil. L’information est tombée quelques heures plus tard : le général Mohamed Lamine Mediène, dit « Toufik », le re­ douté patron du département du renseignement et de la sécurité (DRS, service de renseignement militaire), s’en va. → LIR E PAGE S 8 E T 9 ÉCONOMIE CES GRANDS ÉVÉNEMENTS QUI RUINENT LES VILLES → LIR E LE C A HIE

intégral des attributions de ce dernier. 21 juin Jean Moulin est arrêté à Caluire. 26 juin Le géénral de Gaulle reçoit André Gide à dîner à la villa des Oliviers à Alger. 27 juin Le général de Gaulle se rend à Tunis où il rencontre le bey Sidi Lamine. Le général de Gaulle prononce un discours à Tunis où il proclame la résolution de la France dans la guerre. Le général de Gaulle tient une conférence de presse à la résidence. 28 juin Le général de Gaulle regagne Alger. 3 juillet Les

ressources naturelles, dans la perspective d’une gestion durable. La notion de mise en valeur pourrait être appliquée à de nouvelles formes de gestion des ressources forestières, faunistiques. L’évocation de compétitions sévères, tournant parfois au drame, entre cultivateurs et pasteurs suffit à démontrer que le progrès technique est impuissant à régler les problèmes de développement s’il n’est assorti de la mise en place d’institutions capables d’en répartir équitablement les fruits. La délicate question

qui avait l'oreille du président et qui, par le truchement de celui-ci, faisait et défaisait toutes les carrières dans les sphères de l'Etat et dans l'appareil du Pds. * 25 Les cas les plus patents sont ceux des frondeurs de Dakar : Doudou Wade, Lamine Ba et Abdou Fall. Les deux derniers nommés seront d'ailleurs écartés du Gouvernement. C'est le même sort que subira le Ministre Aminata Tall. Ironie du sort, toutes ces personnes siègent actuellement au Gouvernement contrairement à monsieur Seck qui

marqué ma vie d’apprenant, en me donnant l’amour de l’école, le goût du sérieux, de la persévérance et du travail bien accompli. Au Département de Géographie, je remercie nommément les professeurs Fadel Kane, Amadou Abdoul Sow, Amadou Tahirou Diaw, Alioune Ba, Ndiacé Diop, Honoré Dacosta, Lamine Konaté, Awa Fall Niang, Diène Dione, ainsi que la secrétaire Madame Ciss Jeanne. Pour leurs conseils pleins de sagesse, pour leur assistance efficace, leurs encouragements. Cette recherche ayant été entreprise

temps précieux, fructueux ... »2. Ces moments-clés font partie des temps forts de l’histoire et lorsqu’ils sont repris par le récit, la précision temporelle disparaît; il est vérifié dans la suite du texte qu’Alain saisira d’autres opportunités pour amadouer sa tante, et qu’il passera souvent d’un état d’euphorie au désespoir le plus sombre, mais tout ceci sera noyé dans une sorte « d’atemporalité ». Cette caractéristique des récits sarrautiens sera également à exploiter quand nous aborderons l’étude

 FORCES  ET  DE  NOS   FAIBLESSES  FACE  AUX  PAYS  EMERGENTS   36   4 INTRODUCTION « Nos destins sont liés. Il y a 12 kilomètres qui séparent le continent africain du continent européen. Votre échec serait notre drame, votre succès sera notre opportunité. ». C’est ainsi que le Président de la République a posé, le 30 janvier dernier, devant les chefs d'Etat africains réunis au sommet de l'Union africaine à Addis-Abeba, les termes de l’enjeu que représente l’Afrique

l’ambulance et des voitures de police aux gyrophares activés les avait peut-être empêchés de dormir. Maintenant que le jour s’était levé, ils venaient aux nouvelles. Vers midi, alerté par Emma, Hans Makkenroth me rendit visite. Il était abattu par le drame qui me frappait. « Quel malheur ! » dit-il. Et il me prit dans ses bras. Nous nous étions attablés dans la cuisine et nous avions écouté la pluie tambouriner sur la vitre. Sans un mot. Sans un mouvement. Emma nous rejoignit à son tour. Elle portait

dit-il avant de se pencher pour l’embrasser. C’est alors que M. Harbish fit une soudaine apparition en pyjama. – Tu ne vas nulle part, dit-il en anglais. – Écoute, papa. Je suis obligé. Regarde-le. Il est complètement laminé. Colin se tourna vers M. Harbish d’un air aussi laminé que possible. – Colin part avec ou sans moi, poursuivit Hassan. Sauf qu’avec moi il aura quelqu’un pour le surveiller. – Colin est un bon garçon, dit Mme Harbish à son mari. – Je vous appellerai tous les jours, ajouta