Ambivalence Du Rire

professeur de la classe.   Introduction   [entrée en matière]            Habituellement et très scolairement, on considère que la poésie est faite de mots plaisants et d'images suggestives. Mais l'expressivité d'un vers se développe aussi à partir des ambivalences, des incertitudes du texte. Incertitudes  qui nous plongent dans un univers parfois opaque. Ce qui vaut pour ce curieux poème intitulé « Chantre ».  [origine et contenu du poème]           On sait que l'auteur d' « Alcools » a rajouté au dernier

naturelle marron da la terre et ces bandes horizontales traitées comme des écorces d’arbre. Elle nous ramène à l’art tribal (de plus, la pièce était exposée au centre Georges Pompidou aux côtés d’œuvres tribales et exotiques, aux matériaux bruts. Enfin, le rire serait évoqué par les béances qui suggèrent une superposition de sourires, de bouches ouvertes. ------------------------------------------------- Le spectateur est conduit à s’interroger sur sa propre positon dans l’espace : de près, la pièce semble

« grossières » (l. 10) les réactions engendrées par l’ethnocentrisme et de « naïf » (l. 26) le point de vue dont il relève. 7. L’ethnocentrisme est toujours présenté comme négatif, mais sous deux aspects à la fois : le ridicule et le dangereux. Cette ambivalence est d’abord soulignée par la phrase : « Ainsi se réalisent de curieuses situations où deux interlocuteurs se donnent cruellement la réplique » (l. 53-54). Alors que l’épithète « curieuses » peut signifier le caractère  plaisant de la situation

dont la distance est encore accrue par l’emploi de « vous ». Vers 77 à 80 : « Tu te moques de toi et comme le feu de l'Enfer ton rire pétille/Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie/C'est un tableau perdu dans un sombre musée/Et quelquefois tu vas le regarder de près » Ces mauvais rires, sarcastiques et incrédules, sont inspirés par Satan. Mais le rire a le pouvoir d’illuminer une vie sinistre. L'artiste étant aussi un artificier, des étincelles forment la mouvante auréole de la sombre

issue du carnaval……………………….………5 1. Introduction ………………………………….…………………...……5 2. Les fêtes et le carnaval …………………………………………...…...12 3. De la spontanéité à la formalisation du théâtre comme genre…...……22 4. Le carnavalesque ……………………………………….…………….25 i) Le rire …………………………………………………………26 ii) La collectivité ………………………………………………...30 iii) Le dialogisme ………………………………………………..34 iv) Le renversement …………………………………………......38 v) Le grotesque ………………………………………………….40 vi) Le renouvellement …………………………………………...47 5. Conclusion

précipitons dans les contrariétés, les contrastes, les déchirements, les sautes d’humeur et les drames de la vie ordinaire. Vivre dans les contradictions semble normal. Notre vie entière est une série de contradictions. On se met souvent dans une ambivalence et se place délibérément dans un état de conflit. Voilà la dualité »[8]. Selon Baudelaire, « il y dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées, l’une vers Dieu, l’autre vers Satan »[9] D’ici se pose la problématique : est-ce que

l’inconscient sont souvent désemparé devant leur enfant, alors que les enfants ont besoin de Les parents veulent parfois le guider excessivement (intrusion) et alternativement l’abandonnent quand il est en difficultés. Il existe donc une ambivalence des adultes vis-à-vis de la petite enfance. D’un côté cette période est idéalisé comme celle de tous les possibles, d’un autre coté on ne fait pas confiance aux enfants tels qu’ils sont, on ne les considère pas comme des interlocuteurs malades et

motivation est une instance d'intégration et de régulation d'une multitude de paramètres relatifs aux opportunités d'un environnement et aux sollicitations d'une situation. Aussi le rôle de la motivation est-il proportionné aux degrés d'ambiguïté et ambivalence d'une situation : elle doit dissiper la complexité voire la confusion des données et leur conférer différentes valeurs avant d'en tirer une conclusion en termes de comportement : le choix et l'investissement dans la direction préférée. 1.2. –

Page 167 Référence au Léviathan Chapitre 7 - Ombres furtives et grandes futaies Page 174 Prise de conscience de l’état de saleté. Pages178-179 Ralph se rappelle chez lui. Page 182 Le jeu pour rire qui fait mal à Roger. Scène où le groupe de chasseurs s’en prend « pour rire » à Roger. Désir de Maurice de jouer pour de bon. Ralph commence à être effrayé : jusqu’où pourront-ils aller ? Pages 184-185 Description d’une forêt dangereuse et impraticable. Page 185 Page 192 Ralph

sacrez Des saincts prestres Romains, je ne veulx rien escrire Que la vierge honteuse ait vergogne de lire, Je veulx toucher sans plus aux vices moins secretz, Mais tu diras que mal je nomme ces regretz, Veu que le plus souvent j’use de mots pour rire, […] Si je ry, c’est ainsi qu’on se rid à la table, Car je ry, comme on dit, d’un riz Sardonien. (Sonnet 77) « Là tout le mérite est de joindre la solennité à la dissimulation » (Vianey 1974, 115), la révérence à la simulation « d’une brave