Amour Chez Racine

texte est un monologue d’Hermione issu d‘une pièce de théâtre nommé Andromaque. Ce texte est l’extrait de l’acte V scène1 .Le dramaturge ayant écrit cette pièce se nomme Jean Racine, très célèbre lui aussi pour ces comédies tragiques. Il est né en 1639 et mort en 1699, il a vécu durant le XVIIème siècle. Tout comme Corneille, Racine aussi s’inspire des textes mythologiques. C’est pour cela que les deux prénoms des héroïnes ont une consonance grecque.

avoue quoi à qui ? - texte A : Phèdre avoue à Œnone, sa confidente, la cause de son désespoir, l’inavouable : son amour pour Hippolyte, le fils de son mari, Thésée. - texte B : Cléante et Angélique s’avouent mutuellement leur amour - texte C : Cyrano, se faisant passer pour Christian, avoue son amour à Roxane - texte D : Monsieur A et Madame B s’avouent mutuellement leur amour => on peut repérer que l’aveu est mutuel, la scène équilibrée dans les textes B et D (comédies), alors que l’aveu

fuira Aricie dont il est amoureux. Cet amour est interdit car il transgresse une règle paternel.; De plus, nous apprenons que Phèdre est en proie a un mal mystérieux. En outre, on sait que Hippolyte est persuadé que sa belle mère, Phèdre le Phdhait. La scène trois de l'acte un est la premier apparition de Phèdre. Oenone va l'interroger sur les raisons de ce mal mystérieux. Phèdre finit par céder, lui avoue qu'elle aime et lui fait le récit de cet amour. L'histoire de Phèdre trouve déjà son

Si la tragédie classique s'inspire considérablement de la tragédie antique, dont elle reprend les personnages et les thèmes, elle en diffère sur deux points: - le spectateur grec appartient au peuple alors que le public visé par Corneille et Racine appartient plutôt à la cour ; - dans la tragédie classique, rien ne doit choquer le spectateur : on y supprime toute violence physique. 2 - Les NORMES de la tragédie. La tragédie classique, genre strictement défini, se caractérise du triple point

‘Survivre’ ‘crime’ ‘mort’ ‘sang’ ‘poignard’ ‘malheur’ ‘douleur’ ‘trépas’ ‘fille d’enfer’ ‘démons’  Ces mots évoquent le désespoir d’Oreste lorsqu’il apprend la mort d’Hermione. Pylade fait de son texte un récit très imagé qui provoque l’horreur chez le lecteur comme chez le spectateur. On peut ajouter à ces termes les connotations morbides des couleurs rouge et noire qui obsèdent Oreste dans son hallucination. b) La non-représentation de la mort au théâtre au XVII° siècle La tragédie raconte le renversement

assez. Epargne−moi le reste. Je meurs, pour ne point faire un aveu si funeste. OENONE Mourez donc, et gardez un silence inhumain ; Mais pour fermer vos yeux cherchez une autre main. Quoiqu'il vous reste à peine une faible lumière, Mon âme chez les morts descendra la première ; Mille chemins ouverts y conduisent toujours, Et ma juste douleur choisira les plus courts. Cruelle, quand ma foi vous a−t−elle déçue ? Songez−vous qu'en naissant mes bras vous ont reçue ? Mon pays, mes enfants

donc faire face à un amour douloureux. Par la suite, Phèdre se fait dévorer par Vénus, et plus brûler comme Prométhée dans la mythologie grecque : « C'est Vénus toute entière à sa proie attachée » ( v 306). Ainsi, au cours du temps la douleur et la souffrance de Phèdre sont de plus en plus fortes. Pour finir, Phèdre a le sentiment d'avoir sa « raison égarée » (v 282), elle est troublée. Sa passion pour Hippolyte la déchire en deux parties ; elle voit Hippolyte comme un amour, elle en est idolâtre

Bérenice est l'oeuvre de Jean-Racine né en 1639 a La Ferté Milon. Orphelin, il est élevé à l'école de Port Royal ou il s'imprègne de la culture grecque. Envoyé a Paris, il étudie la philosophie et se lie d'amitié avec La Fontaine et Boileau. Il a des debuts difficiles et puis, connait enfin son premier succès avec Andromaque. Racine s'affrime donc contre Corneille . Nommé historien officiel du roi après plusieurs oeuvres il se marie et renonce au théâtre . Sa vie s'achève dans une retraite édifiente

la comédie de caractère, remplaçant la farce rudimentaire en vogue par des textes inspirés de la vie des honnêtes gens. De 1630 à 1636, il écrit cinq nouvelles. En 1633, âgé de vingt-sept ans, il publie Mélite ou Les Fausses Lettres, inspirée d’un amour malheureux avec une grande dame de Rouen, appelée Madame du Pont. Cette comédie connaît un succès suffisant pour décider Corneille, qui n'a alors que vingt-trois ans, à entreprendre une carrière théâtrale. En 1635, il aborde la tragédie avec Médée

part car elle consiste en une figure à venir dans des textes nouveaux tandis que d’autres figures comme par exemple celle de Prométhée semblent plus ou moins périmées ces dernières décennies. L’histoire de la marâtre, incapable de maîtriser son amour pour le fils de son mari, a inspiré une pléthore d’ œuvres littéraires et artistiques de sorte que son personnage devenu légendaire a pu passer dans la sphère du mythe. Au moment de l’avènement de la condition postmoderne, des flots d'encre continuent